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 Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo)

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Denis
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MessageSujet: Re: Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo)   Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo) Icon_minitimeMer 9 Aoû 2017 - 10:40

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Denis
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MessageSujet: Re: Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo)   Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo) Icon_minitimeLun 2 Jan 2017 - 17:22

Les chercheurs en nanomédecine s’expriment parfois comme des auteurs de science-fiction. « Si on voulait développer des nanorobots artificiels pour livrer des médicaments au cœur d’une tumeur, il nous faudrait des moteurs moléculaires capables de les propulser à très haute vitesse, une source d’énergie, un moyen de les guider… le tout en moins de 2 micromètres (µm) pour se faufiler dans les plus petits des capillaires », énumère le professeur Sylvain Martel.

Pionnier dans le domaine de la nanorobotique médicale, il a trouvé mieux qu’un nanorobot : une bactérie qui remplit toutes les conditions. « On a gagné à la loterie, s’enthousiasme-t-il. C’est comme si la bactérie attendait qu’on la découvre et qu’on l’utilise pour sauver des vies humaines. »

Présentons la championne. Magnetococcus marinus est une bactérie de 1,5 µm dotée de flagelles – donc autopropulsée. Elle est magnétotactique, c’est-à-dire qu’elle fabrique des nanoaimants qui agissent comme une boussole pour lui permettre de s’orienter et de se déplacer grâce au champ magnétique. Pour croître, elle préfère des zones pauvres en oxygène et, afin de les trouver, elle compte sur ses senseurs d’oxygène. Cerise sur le gâteau, la bactérie voyage à 200 µm par seconde. À l’échelle d’un chat, c’est comme s’il courait à plus de 200 km/h !

Par ses atouts naturels, elle est le véhicule tout indiqué pour transporter des agents anticancéreux. Quand une tumeur est active, elle consomme beaucoup d’oxygène, ce qui appauvrit son milieu immédiat et fait le bonheur de notre bactérie ! « Les cœurs des tumeurs sont les parties les plus actives et les plus difficiles à soigner par les traitements classiques », rapporte Sylvain Martel.

Avec l’équipe qu’il dirige au Laboratoire de nanorobotique de Polytechnique Montréal, il a testé ce mode de livraison sur des souris présentant des tumeurs colorectales. Il a injecté 100 millions de bactéries, avec sur chacune d’elles environ 70 nanoliposomes – des sortes de petits sacs – chargés d’anticancéreux et les ont guidées à bon port. « À l’aide d’une station dite de magnétotaxisme, on a fait en sorte de créer un nord magnétique à l’endroit de la tumeur, pour que les bactéries s’y dirigent sans hésiter », explique le professeur. Une fois sur place, leurs senseurs d’oxygène ont pris le relais, pour qu’elles restent en son cœur et livrent la thérapie.

L’expérience fut un succès et a été l’objet d’une parution dans la revue Nature Nanotechnology, en août 2016. Les bactéries ont rejoint toutes les tumeurs, preuve que le téléguidage fonctionne. Et 55 % d’entre elles ont atteint les zones hypoxiques pour la livraison finale. « C’est énorme si on compare aux 1 % à 2 % d’agents anticancéreux qui atteignent leur cible en chimiothérapie classique, où les molécules se perdent dans le réseau sanguin de près de 100 000 km, provoquant des effets secondaires au passage », note le professeur Martel. Car il faut le dire, mieux cibler les tumeurs, c’est réduire la dose de médicament requise et diminuer la toxicité pour l’organisme.

Dans le laboratoire de nanorobotique de Sylvain Martel, une salle donne un aperçu des hôpitaux de demain. Un lit robotisé peut circuler d’une plateforme à l’autre : de l’IRM pour repérer la tumeur, à la station de magnétotaxisme pour guider les bactéries vers elle, en passant par une station d’hyperthermie, capable d’ouvrir un instant la barrière hématoencéphalique qui mène au cerveau et permettre aux agents de passer si la tumeur y est localisée. Tout est prêt; il ne reste qu’à transposer ces procédés en applications cliniques. Science-fiction disions-nous ?
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Denis
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MessageSujet: Re: Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo)   Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo) Icon_minitimeVen 23 Sep 2016 - 0:04

Researchers funded in part by the National Institute of Biomedical Imaging and Bioengineering (NIBIB) have recently shown that magnetic bacteria are a promising vehicle for more efficiently delivering tumor-fighting drugs. They reported their results in the August 2016 issue of Nature Nanotechnology.

One of the biggest challenges in cancer therapy is being able to sufficiently deliver chemotherapy drugs to tumors without exposing healthy tissues to their toxic effects. One way researchers have attempted to overcome this is by developing nanocarriers -- extremely small particles packed with drugs. The nanocarriers are designed so they're only taken up by cancer cells, thereby preventing the drugs from being absorbed by healthy tissues as they travel through the body's circulation.

Yet while nanocarriers do a good job protecting healthy tissues, the amount of drug successfully delivered to tumors remains low. The main reasons for this shortcoming are that nanocarriers rely on the circulation system to carry them to the tumor, so a large percentage are filtered out of the body before ever reaching their destination. In addition, differences in pressure between the tumor and its surrounding tissue prevent nanocarriers from penetrating deep inside the tumor. As a result, nanocarriers aren't able to reach the tumor's hypoxic zones, which are regions of active cell division that are characterized by low oxygen content.

"Only a very small proportion of drugs reach the hypoxic zones, which are believed to be the source of metastasis. Therefore, targeting the low-oxygen regions will most likely decrease the rate of metastasis while maximizing the effect of a therapy," says Sylvain Martel, Ph.D., Director of the Polytechnique Montréal NanoRobotics Laboratory and lead researcher of the study.

Martel and his research team were attempting to develop robotic nanocarriers that would travel to hypoxic zones when they realized nature may have already created one in the form of a bacteria called magnetococcus marinus or MC-1. MC-1 cells thrive in deep waters where oxygen is sparse. In order to find these areas, the bacteria rely on a two-part navigation system. The first part involves a chain of magnetic nanocrystals within MC-1 that acts like a compass needle and causes the bacteria to swim in a north direction when in the Northern Hemisphere. The second part consists of sensors that allow the bacteria to detect changes in oxygen levels. This unique navigation system helps the bacteria migrate to and maintain their position at areas of low oxygen.

With funding support from NIBIB and others, Martel's research team conducted a series of experiments to show that the bacteria's unique navigation system could be exploited to more efficiently deliver drugs to tumors.

In an initial experiment, mice that had been given human colorectal tumors were injected with either live MC-1 cells, dead MC-1 cells, or as a control group, non-magnetic beads (roughly the same size as the bacteria). The injection was made into the tissue directly adjacent to the tumors after which the mice were exposed to a computer-programmed magnetic field, meant to direct the cells or beads into the tumor. Upon examination of the tumors, the researchers found minimal penetration of the dead bacterial cells and the beads into the tumor, whereas the live bacterial cells were found deep within the tumor and especially in regions with low oxygen content.

"When they get inside the tumor, we switch off the magnetic field and the bacteria automatically rely on the oxygen sensors to seek out the hypoxic areas," says Martel. "We constrain them to the tumor and then let nature do the rest."

Next, the researchers wanted to see whether attaching vesicles loaded with drugs to the cells would affect their movement into the tumors. They attached approximately 70 drug-containing vesicles to each bacterial cell. The cells were then injected into another set of mice with colorectal tumors and exposed to the magnet. After examining the tumors of those mice, the researchers estimated that on average, 55% of the injected bacterial cells with attached vesicles made it into the tumor. For comparison, some researchers estimate that only approximately 2% of drugs delivered via current nanocarriers make it into tumors.

"This proof-of-concept work shows the potential to tap into the intricate and optimized cell machinery of single celled organisms such as bacteria," said Richard Conroy, Ph.D., director of the Division of Applied Sciences and Technology at NIBIB. "The ability to actively and precisely target drug delivery to a tumor will help reduce side effects and potentially improve the efficacy of treatments."

The next step for Martel's team is to determine the effects of the drug-loaded bacterial cells on reducing tumor size. They would also like to test whether the bacteria can be used to deliver other types of cancer-killing medicines such as molecules that instruct the immune system to attack tumors.

In addition, the team is working to expand the types of tumors the bacteria could be used for. Currently, the bacteria have to be injected very close to the tumor because, if injected into arteries, the excessive blood flow and the distance needed to travel would impact the number of bacteria that reach the tumor. This limits the drug delivery approach to cancers that are easily accessible such as colorectal, prostate, and potentially breast cancer. However, Martel's team has shown in animals that they can transport the bacteria through arteries and sufficiently close to the tumor by first encapsulating them in magnetic carriers and propelling them by the magnetic field of an MRI scanner. The bacteria can then be released from the carriers, like torpedoes from a submarine, once close to the tumor. This multi-step approach could potentially open the door for using the bacteria to deliver drugs to tumors deeper in the body.

Martel says that preliminary test results of the bacteria in mice and rats and the fact that the bacteria die within 30 minutes of being injected, suggest that they could potentially be safe in humans.

"These bacteria are really the perfect machine. They replicate, they're cheap, and we can inject hundreds of millions or more at a time," says Martel.

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Les chercheurs financés en partie par l'Institut national d'imagerie biomédicale et Bioengineering (NIBIB) ont récemment montré que les bactéries magnétiques sont un véhicule prometteur pour fournir plus efficacement des médicaments pour combattre les tumeurs. Ils ont rapporté leurs résultats dans le numéro de Août 2016 de "Nature Nanotechnology".

Un des plus grands défis dans le traitement du cancer est d'être en mesure de fournir suffisamment de médicaments de chimiothérapie pour les tumeurs sans exposer les tissus sains à leurs effets toxiques. Un des chercheurs ont tenté de surmonter ce problème en développant des nanocarriers - des particules extrêmement petites emballées avec des médicaments. Les nanocarriers sont conçus de telle sorte qu'ils n'absorbés par les cellules cancéreuses, empêchant ainsi les médicaments d'être absorbé par les tissus sains comme ils voyagent à travers la circulation du corps.

Pourtant, alors que nanocarriers font un bon travail pour protéger les tissus sains, la quantité de médicament livré avec succès à des tumeurs reste faible. Les principales raisons de cette lacune sont que nanocarriers comptent sur le système de circulation pour les porter à la tumeur, de sorte qu'un grand pourcentage sont filtrés hors du corps avant d'atteindre leur destination. En outre, les différences de pression entre la tumeur et le tissu environnant empêchent nanocarriers de pénétrer profondément à l'intérieur de la tumeur. Par conséquent, les nanocarriers ne sont pas en mesure d'atteindre des zones hypoxiques de la tumeur, qui sont des régions de division cellulaire active qui sont caractérisés par une faible teneur en oxygène.

"Seule une très faible proportion de médicaments atteignent les zones hypoxiques, qui sont censées être la source de métastases. Par conséquent, en cibler les régions à faible teneur en oxygène fera très probablement diminuer le taux de métastases tout en maximisant l'effet d'une thérapie», dit Sylvain Martel, Ph.D., directeur de l'École Polytechnique de Montréal Laboratoire de NanoRobotique et chercheur principal de l'étude.

Martel et son équipe de recherche ont tenté de développer des nanocarriers robotiques qui voyageraient aux zones hypoxiques quand ils ont réalisé que la nature peut avoir déjà créé une sous la forme d'une bactérie appelée marinus de magnetococcus ou MC-1. Les cellules MC-1 se développent dans les eaux profondes où l'oxygène est rare. Afin de trouver ces zones, les bactéries reposent sur un système de navigation en deux parties. La première partie comprend une chaîne de nanocristaux magnétiques au sein de MC-1 qui agit comme une aiguille de boussole et provoque les bactéries de se baigner dans une direction nord quand elles sont dans l'hémisphère Nord. La seconde partie comprend des capteurs qui permettent aux bactéries de détecter les changements dans les niveaux d'oxygène. Ce système de navigation unique aide les bactéries à migrer et à maintenir leur position dans les zones à faible teneur en oxygène.

Avec le soutien financier de NIBIB et d'autres, l'équipe de recherche de Martel a mené une série d'expériences pour montrer que le système de navigation unique de la bactérie pourrait être exploitée pour fournir plus efficacement des médicaments à des tumeurs.

Dans une première expérience, les souris qui avaient reçu des tumeurs colorectales humaines et ont été injectées avec soit des cellules vivantes MC-1, des cellules mortes MC-1, ou en tant que groupe témoin, des billes non magnétiques (à peu près la même taille que les bactéries). L'injection a été faite dans le tissu directement adjacent à la tumeur, après quoi les souris ont été exposées à un champ magnétique programmé par ordinateur, destiné à diriger les cellules ou les billes dans la tumeur. Après examen des tumeurs, les chercheurs ont constaté une pénétration minimale des cellules bactériennes mortes et des perles dans la tumeur, alors que les cellules bactériennes vivantes ont été trouvées au fond de la tumeur et en particulier dans les régions à faible teneur en oxygène.

"Quand ils arrivent à l'intérieur de la tumeur, on éteint le champ magnétique et les bactéries se fient automatiquement sur les capteurs d'oxygène pour rechercher les zones hypoxiques», dit Martel. «Nous les amenons à la tumeur et laissons la nature faire le reste."

Ensuite, les chercheurs ont voulu voir si attacher des vésicules chargées de médicaments aux cellules affecteraient leur mouvement dans les tumeurs. Ils ont attaché environ 70 vésicules contenant un médicament à chaque cellule bactérienne. Les cellules ont ensuite été injectées dans un autre ensemble de souris présentant des tumeurs colorectales et exposées à l'aimant. Après avoir examiné les tumeurs de ces souris, les chercheurs ont estimé que, en moyenne, 55% des cellules injectées avec des vésicules bactériennes attachées se rendait dans la tumeur. A titre de comparaison, certains chercheurs estiment que seulement environ 2% des médicaments délivrés par nanocarriers actuels se rendent dans les tumeurs.

"Ce travail de preuve de concept montre le potentiel de puiser dans la machinerie cellulaire complexe et optimisée des organismes unicellulaires tels que les bactéries", a déclaré Richard Conroy, Ph.D., directeur de la Division des Sciences Appliquées et de Technologie à NIBIB. «La capacité à activement et précisément à cibler l'administration de médicaments à une tumeur contribuera à réduire les effets secondaires et potentiellement améliorerera l'efficacité des traitements."

La prochaine étape pour l'équipe de Martel est de déterminer les effets des cellules bactériennes au médicament chargé de la réduction de la taille de la tumeur. Ils aimeraient également vérifier si les bactéries peuvent être utilisées pour fournir d'autres types de médicaments contre le cancer  tels que des molécules qui instruisent le système immunitaire à attaquer les tumeurs.

En outre, l'équipe travaille à élargir les types de tumeurs pour lesquelles les bactéries pourraient être utilisées. À l'heure actuelle, les bactéries doivent être injectées très proches de la tumeur, car, si elle est injectée dans les artères, le débit sanguin excessif et la distance nécessaire pour déplacer aurait un impact sur le nombre de bactéries atteignant la tumeur. Cela limite l'approche de l'administration de médicaments à des cancers qui sont facilement accessibles tels que le cancer colorectal, celui de la prostate et le cancer du sein potentiellement. Cependant, l'équipe de Martel a montré chez les animaux qu'ils peuvent transporter les bactéries à travers les artères et suffisamment proches de la tumeur d'abord en les encapsulant dans des supports magnétiques et en les propulsant par le champ magnétique d'un scanner IRM. Les bactéries peuvent ensuite être libérés des supports, comme des torpilles d'un sous-marin, une fois à proximité de la tumeur. Cette approche multi-étape pourrait ouvrir la porte à l'aide des bactéries pour délivrer des médicaments à des tumeurs plus profondément dans le corps.

Martel affirme que les résultats préliminaires des tests de la bactérie chez la souris et le rat et le fait que les bactéries meurent dans les 30 minutes après avoir été injecté, suggèrent qu'ils pourraient être sécuritaire chez l'homme.

"Ces bactéries sont vraiment la machine parfaite. Ils répliquent, ils sont pas cher, et nous pouvons injecter des centaines de millions ou plus à la fois», dit Martel.

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Denis
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MessageSujet: Re: Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo)   Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo) Icon_minitimeDim 21 Fév 2016 - 12:23

Rhume et maraba : fierté canadienne

Des chercheurs ontariens ont élaboré un traitement qui combine le virus du rhume et le virus Maraba, tiré d’un moustique brésilien. Alors que le rhume permet d’activer le système immunitaire, le virus Maraba permet de tuer les cellules du cancer. Toujours à l’étape de l’expérimentation, le tout premier essai clinique mondial pour ce traitement a été lancé cet été dans quatre hôpitaux canadiens, a annoncé l’Hôpital d’Ottawa.
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MessageSujet: Re: Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo)   Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo) Icon_minitimeDim 1 Nov 2015 - 20:15

Les chercheurs canadiens, dirigés par le professeur Peter McPherson, se sont concentrés sur son rôle, en cas de cancer, dans la migration cellulaire nécessaire à la dissémination métastatique. Ils ont pu montrer que DENND2B activait une autre protéine dans la cellule appelée Rab13, une enzyme qui favorise la migration des cellules malignes. Ces travaux ont confirmé le rôle-clé de Rab13 dans une forme très agressive de cancer du sein et ont montré que des souris, privées de Rab13, ne développent pas le cancer. L’enzyme Rab13 apparaît à la lumière de ces travaux comme une cible stratégique pour bloquer la formation de métastases.
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MessageSujet: Re: Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo)   Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo) Icon_minitimeDim 1 Nov 2015 - 19:55

Une équipe mixte des universités de Copenhague (Danemark) et de Colombie Britannique (Canada) a en effet identifié une protéine, baptisée VRA2, présente à la surface des globules rouges infestés par Plasmodium falciparum (le parasite vecteur du paludisme) qui se lie avec les cellules du placenta (Voir UBC News).

Or il se trouve que les cellules tumorales et placentaires présentent des caractéristiques communes : une croissance rapide et une propension à envahir les tissus voisins. Ali Salanti et ses collègues ont donc émis l'hypothèse que la protéine identifiée dans les cellules placentaires était également présente dans les cellules cancéreuses. Ils ont alors essayé d'associer une molécule anticancéreuse, l’hemiasterline, à celle-ci, dans l’espoir que celle-ci aille détruire directement les cellules tumorales chez des souris atteintes d'un cancer de la Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo) 307098 métastasé. Le résultat a été très encourageant : in vitro, toutes les cellules cancéreuses au contact du couple VRA2-hemiasterline ont été détruites. En outre, chez des souris présentant un cancer du Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo) 307163 très métastasé, ce traitement a fait disparaître, en moins de deux mois, toute trace de métastase chez cinq des six souris traitées…


Dernière édition par Denis le Ven 23 Sep 2016 - 0:08, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo)   Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo) Icon_minitimeMer 14 Oct 2015 - 11:54

Scientists at the University of British Columbia, Vancouver Coastal Health and the BC Cancer Agency have discovered a protein from malaria that could one day help stop cancer in its tracks.

This new approach, which halted the growth of various tumours in mice, was based on a discovery by collaborators at the University of Copenhagen. While exploring why pregnant women are particularly susceptible to malaria, they found that the mosquito-borne parasite produces a protein that binds to a particular type of sugar molecule in the placenta.

That discovery led to another: that same sugar molecule is also found in most cancers. This commonality is understandable, because both cancers and placentas grow rapidly, often pushing aside other tissues in the process.

The Copenhagen and Vancouver researchers realized that the sugar molecule could be a target for anti-cancer drugs, and that the malarial protein, called VAR2CSA, could provide the tool for carrying such drugs to tumours.

"Scientists have spent decades trying to find biochemical similarities between placenta tissue and cancer, but we just didn't have the technology to find it," said project leader Mads Daugaard, an assistant professor of urologic science at UBC and a senior research scientist at the Vancouver Prostate Centre, part of the Vancouver Coastal Health Research Institute. "When my colleagues discovered how malaria uses VAR2CSA to embed itself in the placenta, we immediately saw its potential to deliver cancer drugs in a precise, controlled way to tumours."

To test that theory, Daugaard and colleagues enlisted the expertise of John Babcook and his team at The Centre for Drug Research and Development (CDRD). They attached a novel toxin to VAR2CSA and treated hundreds of normal and cancer cell lines. The drug compound specifically targeted and killed more than 95 per cent of the cancer cell lines.

The drug was then tested on mice that were implanted with three types of human tumours. With non-Hodgkin's lymphoma, the treated mice's tumours were about a quarter the size of the tumours in the control group. With prostate cancer, the tumours completely disappeared in two of the six treated mice a month after receiving the first dose. With metastatic breast cancer, five out of six treated mice were cured from metastatic disease. The mice showed no adverse side-effects, and their organs were unharmed by the therapy. The results were published in Cancer Cell.

"This is an extraordinary finding that paves the way for targeting sugar molecules in pediatric and adulthood human cancer, and our groups are vigorously pursuing this possibility together," said Poul Sorensen, a UBC professor of Pathology and Laboratory Medicine and distinguished scientist with the BC Cancer Agency and co-senior investigator on the study.

"There is some irony that a disease as destructive as malaria might be exploited to treat another dreaded disease," said Ali Salanti, a professor of immunology and microbiology at the Centre for Medical Parasitology, at University of Copenhagen.

Two companies, Vancouver-based Kairos Therapeutics and Copenhagen-based VAR2 Pharmaceuticals, are developing the compound for clinical trials in humans, which will take another three to four years.


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Les scientifiques de l'Université de la Colombie-Britannique, Vancouver Coastal Health et la BC Cancer Agency ont découvert une protéine du paludisme qui pourrait aider à arrêter le cancer.

Cette nouvelle approche, qui a interrompu la croissance de diverses tumeurs chez la souris, a été basée sur une découverte par des collaborateurs de l'Université de Copenhague. Tout en explorant pourquoi les femmes enceintes sont particulièrement vulnérables au paludisme, ils ont constaté que le parasite de moustique produit une protéine qui se lie à un type particulier de molécule de sucre dans le placenta.

Cette découverte a conduit à une autre: cette même molécule de sucre est également présente dans la plupart des cancers. Cette communauté est compréhensible, parce que les deux cancers et placentas se développent rapidement, poussant souvent de côté d'autres tissus dans le processus.

Les chercheurs de Copenhague et de Vancouver ont réalisé que la molécule de sucre pourrait être une cible pour des médicaments anti-cancéreux, et que la protéine du paludisme, appelé VAR2CSA, pourrait fournir l'outil pour la réalisation de tels médicaments à des tumeurs.

"Les scientifiques ont passé des décennies à essayer de trouver des similitudes biochimiques entre les tissus de placenta et le cancer, mais nous ne vient pas de la technologie pour le trouver", a déclaré le chef de projet Mads Daugaard, professeur adjoint de science urologique à l'UBC et un chercheur scientifique principal au Vancouver Prostate Centre, qui fait partie de l'Institut de recherche en santé du Vancouver Coastal. «Quand mes collègues ont découvert comment le paludisme utilise VAR2CSA pour s'intégrer dans le placenta, nous avons immédiatement vu son potentiel pour délivrer des médicaments contre le cancer d'une manière précise et contrôlée à des tumeurs."

Pour tester cette théorie, Daugaard et collègues appel à l'expertise de John Babcook et son équipe au Centre pour la recherche et le développement des médicaments (CRDM). Ils ont attaché une nouvelle toxine à VAR2CSA et traitées des centaines de lignées de cellules normales et cancéreuses. Le composé médicamenteux spécifiquement ciblé et a tué plus de 95 pour cent des lignées cellulaires de cancer.

Le médicament a ensuite été testé sur des souris qui ont été implantés avec trois types de tumeurs humaines. Avec le lymphome non hodgkinien, les tumeurs des souris traitées étaient d'environ un quart de la taille des tumeurs dans le groupe témoin. Avec le cancer de la prostate, les tumeurs ont complètement disparu dans deux des six souris traitées d'un mois après avoir reçu la première dose. Avec le cancer du sein métastatique, cinq des six souris traitées ont été guéries de la maladie métastatique. Les souris ne montrait aucun des effets secondaires indésirables, et leurs organes ont été indemne de la thérapie. Les résultats ont été publiés dans Cancer Cell.

"Ceci est une constatation extraordinaire qui ouvre la voie pour le ciblage des molécules de sucre dans le cancer humain pédiatrique et adulte, et nos groupes poursuivent vigoureusement cette possibilité ensemble," a déclaré Poul Sorensen, un professeur UBC de pathologie et de médecine de laboratoire et scientifique distingué avec le BC Cancer Agency et co-investigateur principal de l'étude.

"Il ya une certaine ironie qu'une maladie aussi destructrice que le paludisme pourrait être exploité afin de traiter une autre maladie redoutée", a déclaré Ali Salanti, professeur de microbiologie et d'immunologie au Centre de parasitologie médicale, à l'Université de Copenhague.

Deux sociétés, basées à Vancouver, Kairos Therapeutics. et basée à Copenhague, VAR2 Pharmaceuticals, s'occupent du développement du composé pour les essais cliniques chez les humains, ce qui prendra encore trois à quatre ans.
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MessageSujet: Re: Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo)   Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo) Icon_minitimeVen 10 Juil 2015 - 11:48

July 10, 2015

Canadian researchers have launched the world’s first clinical trial of a novel investigational therapy that uses a combination of two viruses to attack and kill cancer cells, and stimulate an anti-cancer immune response. Previous research by this team and others worldwide suggests that this approach could be very powerful, and could have fewer side effects than conventional chemotherapy and radiation, although it will take years to rigorously test through this trial and others.

The therapy was jointly discovered and is being developed by Dr. David Stojdl (Children’s Hospital of Eastern Ontario, University of Ottawa), Dr. Brian Lichty (McMaster University) and Dr. John Bell (The Ottawa Hospital, University of Ottawa), and their respective research teams and colleagues. The clinical trial, which is funded by the Ontario Institute for Cancer Research and coordinated by the NCIC Clinical Trials Group, is expected to enroll up to 79 patients at four hospitals across Canada. Up to 24 patients will receive one of the viruses and the rest will receive both, two weeks apart.

Christina Monker, 75, a former nurse from Rockland, Ontario, is one of the first patients treated in the trial. She was diagnosed with cancer in 2012 and, despite six weeks of radiation therapy and two rounds of chemotherapy, the cancer spread to both her lungs. After completing another 30 rounds of chemotherapy, she enrolled in the trial at The Ottawa Hospital and was treated on June 2, 2015.

“The nausea of chemotherapy was worse than I ever could have imagined, but with the viral therapy I just felt like I had the flu for a couple of days, and the symptoms were easily managed,” said Ms. Monker. “It is too soon to know if I may have benefited from this therapy, but I’m very glad to contribute to this important research that could improve care for others.”

The idea of using viruses to treat cancer has been around for more than a century, with sporadic reports of cancer patients experiencing remarkable recoveries after viral infections. However, it is only in recent years that viral therapy has begun to be developed and tested in a rigorous way. Drs. Bell, Lichty and Stojdl began investigating viral therapies for cancer nearly 15 years ago when they worked together at The Ottawa Hospital.

“We found that when normal cells become cancerous, it’s like they are making a deal with the devil,” explained Dr. Bell, a senior scientist at The Ottawa Hospital and professor at the University of Ottawa. “They acquire genetic mutations that allow them to grow very quickly, but these same mutations also make them more susceptible to viruses.”

The two viruses being tested in this clinical trial are called MG1MA3 and AdMA3. MG1MA3 is derived from a virus called Maraba, which was first isolated from Brazilian sandflies, while AdMA3 is derived from a common cold virus called Adenovirus. Both of these viruses have been engineered to stimulate an immune response against cancer cells that express a protein called MAGE-A3, but the Maraba virus also achieves an extra layer of anti-cancer activity by replicating inside many kinds of cancer cells and killing them directly. These viruses are manufactured in specialized facilities at The Ottawa Hospital and McMaster University.

“The idea behind this trial is to use the Adenovirus to prime the patient’s immune system to recognize their cancer, and then use the Maraba virus to directly kill their cancer and further stimulate their immune system to prevent the cancer coming back,” said Dr. Brian Lichty, associate professor at McMaster University. “We’re enthusiastic about the potential of this unique therapy.”

“We’re very excited about this first clinical trial,” said Dr. Stojdl, senior scientist at the Children’s Hospital of Eastern Ontario and associate professor at the University of Ottawa. “We’re continuing to push very hard to develop a suite of biological therapies with the goal of launching similar trials tailored to other types of tumours, including brain cancer and several devastating childhood cancers.”

Viral therapies are one component of a growing field of cancer research that seeks to use biological materials (including cells, genes, antibodies and viruses) to attack cancer cells and stimulate an anti-cancer immune response. This field of research has been called biotherapy or immunotherapy. Dr. Bell and his colleagues recently launched the $60M BioCanRx network to advance this area of research.

The Maraba virus is an important part of a broad biotherapeutics clinical trial development program in Canada that is combining viruses and vaccines with standard and emerging therapies to treat different types of tumours. Drs. Lichty, Bell and Stojdl and their institutions, in cooperation with the Fight Against Cancer Innovation Trust, have formed Turnstone Biologics in order to engage the private sector and to help fund further clinical trials.

“Immunotherapy is a very exciting field of cancer research, with antibody-based therapies showing the most promise in clinical trials so far,” said Dr. Derek Jonker, the overall lead for the clinical trial, a medical oncologist at The Ottawa Hospital and a professor at the University of Ottawa. “Viral therapies have also shown promise in laboratory studies, but it is too soon to know what impact they may have on patients. This clinical trial will help us find out and we’re very grateful to the patients who have participated.”

“Ontario is pleased to support innovative research through the Ontario Institute for Cancer Research,” said Reza Moridi, Ontario Minister of Research and Innovation. “Our investments have enabled our researchers to be at the forefront of this new therapy. Immunotherapy has the potential to vastly improve the way cancer is treated, and is another example of how research investment brings tangible benefits to Ontarians and people around the world.”

"The NCIC Clinical Trials Group is very pleased to conduct this trial, which offers a potential new therapeutic approach for cancer patients that has been developed by Canadian researchers," said Dr. Janet Dancey, director, NCIC Clinical Trials Group and professor at Queen's University in Kingston.

“Our Government is committed to investing in research that will accelerate efforts to find a cure for cancer, a disease that kills thousands of Canadians each year. The clinical trial announced today represents an innovative approach to treating cancer. We are proud to have contributed to the development of this therapy and wish the researchers and clinicians every success as they carry out this important study,” said the Honourable Rona Ambrose, Canada’s Minister of Health.

In addition to The Ottawa Hospital, the clinical trial is also taking place at the Juravinski Cancer Centre of Hamilton Health Sciences (under the leadership of Dr. Sebastien Hotte), Princess Margaret Cancer Centre of the University Health Network in Toronto (under the leadership of Dr. Albiruni R A Razak) and the Vancouver Centre of the BC Cancer Agency (under the leadership of Dr. Daniel Renouf).

The trial was approved by Health Canada, the Ontario Cancer Research Ethics Board and the BC Cancer Agency Research Ethics Board. Further details about the trial are available at clinicaltrials.gov. Patients wishing to participate in the trial should speak with their own oncologist and ask for a referral to one of the participating hospitals. Further details for patients at The Ottawa Hospital are available online.

While this trial is primarily funded by the Government of Ontario through the Ontario Institute for Cancer Research, many other funding organizations have also supported the research of Drs. Bell, Lichty and Stojdl, including The Ottawa Hospital Foundation, CHEO Foundation, Canadian Cancer Society, Terry Fox Research Institute, Canadian Institutes of Health Research, Ontario Ministry of Research and Innovation, Canada Foundation for Innovation, Ottawa Regional Cancer Foundation, Hair Donation Ottawa, Angels of Hope, BioCanRx, Pancreatic Cancer Canada, NAV Canada and several philanthropic donors.

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10 juillet 2015

Des chercheurs canadiens ont lancé le premier essai clinique au monde d'un nouvewau traitement expérimental qui utilise une combinaison de deux virus pour attaquer et tuer les cellules cancéreuses, et pour stimuler une réponse immunitaire anti-cancer. Des recherches antérieures par cette équipe et d'autres à travers le monde suggèrent que cette approche pourrait être très puissante, et pourrait avoir moins d'effets secondaires que la chimiothérapie et la radiothérapie conventionnelle, mais il faudra des années pour tester rigoureusement à travers ce procès et d'autres.

La thérapie a été découvert conjointement et est développé par le Dr David Stojdl (Hôpital pour enfants de l'Est de l'Ontario, Université d'Ottawa), le Dr Brian Lichty (Université McMaster) et le Dr John Bell (L'Hôpital d'Ottawa, Université d'Ottawa), et leurs équipes et leurs collègues de recherche respectifs. L'essai clinique, qui est financé par l'Institut ontarien de recherche sur le cancer et coordonné par le Groupe des essais cliniques de l'INCC, devrait recruter jusqu'à 79 patients dans quatre hôpitaux à travers le Canada. Jusqu'à 24 patients recevront l'un des virus et le reste sera recevoir à la fois, deux semaines d'intervalle.

Christina Monker, 75, une ancienne infirmière de Rockland, en Ontario, est l'une des premières patients traitées dans l'essai. Elle a été diagnostiquée avec le cancer en 2012 et, malgré les six semaines de radiothérapie et deux cycles de chimiothérapie, le cancer se propager à ses deux poumons. Après avoir terminé un autre 30 cycles de chimiothérapie, elle inscrit dans le procès de L'Hôpital d'Ottawa et a été traité le 2 Juin 2015.

"Les nausées de la chimiothérapie était pire que je ne pouvais imaginer, mais avec la thérapie virale, je me sentais comme si j'avais la grippe pour un couple de jours, et les symptômes ont été facilement gérée", a déclaré Mme Monker. "Il est trop tôt pour savoir si je peux avoir bénéficiée de cette thérapie, mais je suis très heureux de contribuer à cette importante recherche qui pourraient améliorer les soins pour les autres."

L'idée d'utiliser des virus pour traiter le cancer a été dans les esprits depuis plus d'un siècle, avec des rapports sporadiques de patients atteints de cancer qui éprouvent des recouvrements remarquables après les infections virales. Cependant, c'est seulement ces dernières années que la thérapie virale a commencé à être développée et testé de manière rigoureuse. les Drs. Bell, Lichty et Stojdl ont commencé à enquêter sur les thérapies virales pour le cancer il y a près de 15 ans quand ils ont travaillé ensemble à L'Hôpital d'Ottawa.

"Nous avons constaté que lorsque les cellules normales deviennent cancéreuses, c'est comme si elles faisaient un pacte avec le diable», a expliqué le Dr Bell, chercheur principal à l'Hôpital d'Ottawa et professeur à l'Université d'Ottawa. "elless acquièrent des mutations génétiques qui leur permettent de se développer très rapidement, mais ces mêmes mutations les rendent également plus sensibles aux virus."

Les deux virus étant testés dans cet essai clinique sont appelés MG1MA3 et AdMA3. MG1MA3 est dérivé d'un virus appelé Maraba, qui a d'abord été isolé à partir de phlébotomes brésiliens, tandis que AdMA3 est dérivé d'un virus du rhume commun appelé adénovirus. Ces deux virus ont été conçus pour stimuler une réponse immunitaire contre les cellules cancéreuses qui expriment une protéine appelée MAGE-A3, mais le virus Maraba réalise également une couche supplémentaire de l'activité anti-cancer en reproduisant à l'intérieur de nombreux types de cellules cancéreuses et les tuer directement . Ces virus sont fabriqués dans des installations spécialisées à L'Hôpital d'Ottawa et l'Université McMaster.

"L'idée derrière ce procès est d'utiliser l'adénovirus pour amorcer le système immunitaire du patient pour reconnaître leur cancer, et ensuite utiliser le virus Maraba pour tuer directement leur cancer et de stimuler davantage leur système immunitaire pour prévenir la réapparition du cancer," a déclaré le Dr Brian Lichty, professeur agrégé à l'Université McMaster. «Nous sommes enthousiastes quant au potentiel de cette thérapie unique."

«Nous sommes très heureux de ce premier essai clinique," a déclaré le Dr Stojdl, chercheur principal à l'Hôpital pour enfants de l'Est de l'Ontario et professeur associé à l'Université d'Ottawa. "Nous continuons à pousser très fort pour développer une série de thérapies biologiques dans le but de lancer des essais similaires adaptées à d'autres types de tumeurs, notamment le cancer du Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo) 307180 et plusieurs cancers dévastateurs de l'enfance."

Les thérapies virales sont une composante d'un champ croissant de recherche sur le cancer qui cherche à utiliser des matériaux biologiques (y compris des cellules, des gènes, des anticorps et des virus) pour attaquer les cellules cancéreuses et stimuler une réponse immunitaire anti-cancer. Ce domaine de recherche a été appelé biothérapie ou immunothérapie. Dr Bell et ses collègues ont récemment lancé le réseau 60M $ BioCanRx pour faire avancer ce domaine de recherche.

Le virus Maraba est une partie importante de produits biothérapeutiques dans un large programme d'essai clinique en développement au Canada qui combine des virus et des vaccins avec des thérapies standard et émergentes pour traiter différents types de tumeurs. Les Drs. Lichty, Bell et Stojdl et de leurs institutions, en coopération avec la lutte contre le cancer Innovation Trust, ont formé à collier biologiques afin d'engager le secteur privé et pour aider à financer d'autres essais cliniques.

"L'immunothérapie est un domaine très passionnant de recherche sur le cancer, avec des thérapies à base d'anticorps qui se montrent trè prometteuses dans les essais cliniques jusqu'à présent", a déclaré le Dr Derek Jonker, le "général en chef" pour l'essai clinique, un oncologue médical à l'Hôpital d'Ottawa et un professeur à l'Université d'Ottawa. "Les thérapies virales ont également montré des résultats prometteurs dans des études de laboratoire, mais il est trop tôt pour connaître l'impact qu'elles peuvent avoir sur les patients. Cet essai clinique va nous aider à découvrir et nous sommes très reconnaissants envers les patients qui ont participé ".

«L'Ontario est heureux d'appuyer la recherche novatrice par l'Institut ontarien de recherche sur le cancer», a déclaré Reza Moridi, ministre de la Recherche et de l'Innovation de l'Ontario. «Nos investissements ont permis à nos chercheurs d'être à l'avant-garde de cette nouvelle thérapie. L'immunothérapie a le potentiel d'améliorer considérablement la façon dont on traite le cancer, et est un autre exemple de la façon dont les investissements de recherche apporte des avantages concrets pour les Ontariens et les gens du monde entier ".

"Le Groupe des essais cliniques de l'INCC est très heureux de mener ce test, qui propose une nouvelle approche thérapeutique potentielle pour les patients cancéreux qui ont été développées par des chercheurs canadiens," a déclaré le Dr Janet Dancey, directeur, essais cliniques de l'INCC Groupe et professeur à l'Université Queen à Kingston.

«Notre gouvernement est déterminé à investir dans la recherche qui permettra d'accélérer les efforts visant à trouver un remède pour le cancer, une maladie qui tue des milliers de Canadiens chaque année. L'essai clinique a annoncé aujourd'hui représente une approche novatrice pour le traitement du cancer. Nous sommes fiers d'avoir contribué au développement de cette thérapie et souhaitons les chercheurs et les cliniciens plein succès dans l'accomplissement de cette importante étude », a déclaré l'honorable Rona Ambrose, ministre de la Santé du Canada.

En plus de L'Hôpital d'Ottawa, l'essai clinique se déroule également au Juravinski Cancer Centre de Hamilton Health Sciences (sous la direction du Dr Sébastien Hotte), Centre de cancérologie Princess Margaret de l'University Health Network de Toronto (sous la direction de Dr. Al Biruni RA Razak) et le Centre de Vancouver de la BC Cancer Agency (sous la direction du Dr Daniel Renouf).

Le test a été approuvé par Santé Canada, le Comité d'éthique de la recherche Cancer Ontario et le Comité d'éthique de la recherche BC Cancer Agency. De plus amples détails sur le test sont disponibles à clinicaltrials.gov. Les patients qui souhaitent participer à l'essai devraient parler avec leur propre oncologue et demander un renvoi à l'un des hôpitaux participants. Autres informations sur les patients à L'Hôpital d'Ottawa sont disponibles en ligne.

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Denis
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MessageSujet: Re: Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo)   Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo) Icon_minitimeMer 11 Nov 2009 - 13:05

Nov. 11, 2009 — Researchers at Queen's University have found a link between two genes involved in cancer formation in humans, by examining the genes in worms. The groundbreaking discovery provides a foundation for how tumor-forming genes interact, and may offer a drug target for cancer treatment.

Les chercheurs à l,université de Queens ont trouvé 2 gènes impliqué dans la formation des cancers chez les humains en examinant ces gènes chez les vers. Cette grande découverte fournit une fondation pour savoir comment ces gènes interagissent et pourrait offrir une cible à d'éventuels médicament spour le traitement du cancer.

"When cancer hijacks a healthy system, it can create tumors by causing cells to divide when they shouldn't," says Ian Chin-Sang, a developmental biologist at Queen's and lead researcher on the study. "Certain genes control the normal movement and growth of cells, and by studying how these genes interact, we can understand what is abnormal when cancer is present."

Quand le cancer détourne un système sain, il peut créer des tumeurs en faisant que les cellules se divisent quand elles ne le devraient pas. certains gènes contrôlent le mouvement normal et la croissance des cellules et en étudiant comment ces gènes interagissent nous pouvons comprendre ce qui est anormal quand le cancer survient.

There is an important gene in humans called PTEN that acts as a tumor suppressor. When the PTEN gene function is lost, it can lead to cancers. For example, 70-80 per cent of all prostate cancers have lost PTEN function. Another gene family, called Eph receptors, often shows high levels in cancers, but a connection between PTEN and Eph Receptors in cancer formation has never been shown. The Queen's study shows the remarkable relationship between these genes in worms.

Il y a un important gène chez les humains appelé PTEN qui agit comme suppresseur de tumeur. Quand cette fonction du gène est perdue, cela peut conduire au cancer. Par exemple, 70 ou 80 % des cancers de la Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo) 307098 ont perdu la fonction de PTEN. Un autre gène appelé récepteur Eph montre souvent de hauts niveaux dans les cancers mais une connection entre PTEN et Eph n'avait jamais été démontré. L'équipe de Queens a démontré cette remarque relation entre les gènes chez un ver.
When the research team increased Eph receptor levels in worms, the PTEN levels diminished and the worms died prematurely. When they decreased the Eph receptor level in the worm, the PTEN levels went up and the worm lived longer than normal. The team believes the same principals are applicable to humans.

Quand l'équipe de recherche a augmenté le nioveua de récepteurs de Eph chez le ver, le niveau de PTEN a diminué et le ver est mort prématurément. Quand ils ont décru le niveau de Eph récepteurs chez le ver, le niveau de PTEN a augmenté et le ver a vécu plus longtemps que la normale.L'équipe croit que le même principe s'appliquerait à l'humain.


"Obviously humans and worms look very different," states Professor Chin-Sang, "but at a molecular level, they are very similar. In some instances, like the ones we are studying, the cellular mechanisms are so similar that the human genes can replace the worm's gene."

"Les vers et les hommes ont des aspects différents" dit le professeur Chin-Sang "Mais au niveau moléculaire, ils sont très similaire. Dans quelques exemples, comme celui que nous étudions présentement, les mécanismes cellulaires sont si similaires que les gènes humians peuvent remplacer les gènes du ver."
The next step is to take a closer look at the interaction of these two genes in humans. The findings could lead to exciting breakthroughs in cancer treatment.

La prochaine étape est de regarder de plus près l'interaction entre les deux gènes chez l'humain. Ces découvertes pourraient mener à d'exitantes avancées pour le traitement du cancer.
"There is a drug used in the treatment of breast cancer that some women develop a resistance to," adds Professor Chin-Sang. "Those same women have also lost their PTEN. Perhaps their Eph is overactive, and that has made the PTEN go down. The research on the worm may therefore provide a useful drug target for therapeutic intervention of breast cancer. In fact, this worm is becoming a bit of a scientific celebrity. Studies on this worm have won researchers three Nobel prizes in the last seven years."

"Il y a un médicament en usage pour le traitement du cancer du Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo) 307163 auquel quelques patientes ont développé une résistance" ajoute le professeur Chin-Sang." Ces mêmes femmes ont aussi perdu le PTEN. PEut-être que leur Eph est suractif et que c'est ce qui fait que le PTEN a chuté. La recherche sur les vers pourraient leur fournir un médicament utile pour agir sur leurs cancers. En fait ce ver est en train de devenir une vedette dans le monde scientifique. Des études sur ce ver ont conduit à 3 prix Nobel dans les 7 dernières années.
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MessageSujet: Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo)   Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo) Icon_minitimeMer 15 Fév 2006 - 10:29

Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo) 307141Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo) 307163


Sujet : une protéine appelée "facteur de croissance-beta (tgf-beta) joue un rôle important dans l'arrêt de la multiplicationt des cellules sans contrôle. Quand l'activité de cette protéine est interrompue, le cancer peut se développer Le docteur Attisano et son équipe étudie les réactions qui se passent après que la tgf-beta est entrée en action et comment ceci affecte le développement du cancer du sein et celui du côlon. Une meilleure compréhension du comment cette protéine fonctionne pourrait mener à de nouveaux moyens de prévenir ou de traiter le cancer.



Dans une recherche antérieure, le groupe du docteur Attisano a découvert la fonction d'une protéine appelé Smad2, qui transporte le signal beta TGF de la surface de la cellule à l'intérieur et ont montré que les versions altérés de Smad2 sont à mettre en lien avec le développement du cancer du côlon. Il sont aussi déterminé exactement comment chaque altérations cause le malfonctionnement de smad2. Plus récemment, l'équipe a montré que les protéines associés avec beta-TGF coopéraient avec un autre groupe de protéines pour controler l'activité d'un groupe de gènes chez la grenouille.


L'équipe planifie maintenant d'identifier les gènes qui sont controlés par ces protéines coopérantes et trouvés leur équivalent chez la souris et chez l'humain. Ils vont alors déterminer comment ces gènes sont impliqués dans le développement du cancers du sein et celui du colon.
Category of Research: Fundamental
Cancer Site Relevance: Breast, colon/rectum & various other sites 2003/2004: $167,665
2004/2005: $143,669
2005/2006: $143,669
2006/2007: $143,669
2007/2008: $143,669

Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo) 307141

Description CEACAM1 est un gène actif dans les cellules saines du côlon, il devient inactif lorsque les cellules deviennent cancéreuses et deviennent très actives quand les cellules cancéreuses commencent à s'étendrent à d'autres parties du corps. Le Docteur BEauchemin et son équipe ont créé une souris génitquement modifié sans le gène CEACAM1 et ont trouvés que ces souris développaient le cancer plus rapidement que les souris habituelles. Ils veulent maintenant savoir si le gène CEACAM1 coopère ou non avec un autre gène dans le développement du cancer chez la souris. Ils ont aussi observé que le manque de CEACAM1 faisait perdre la capacité de la souris à répondre à l'insuline. Ils veulent renormaliser la réponse de la souris à l'insuline pour voir si ça n'aurait pas un effet sur le développement du cancer.

2005/2006: $108,845
2006/2007: $115,490
2007/2008: $113,050

L'à propos : Le project de cartographie du génome humain nous amontré que les humains comptent seulement 2 fois plus de gènes que la mouche à fruit, il est clair que lenombre des gènes est moins important que ce que les gènes peuvent faire.Le Docteur Blencowe et son équipe étudient quelque unes des manières dont sont controlés nos gènes. Plusieurs maladies humaines, incluant les cancers, affectent la façon dont les cellules controlent l'activités des gènes mais nous ne savons pas encore comment. Cette recherche va améliorer notre compréhension de ces mécanismes essentielles qui conduisent au développement et à la progression du cancer.

Pour produire une protéine, le gène est copié dans une première étape sous la forme de pre-mrna, avec l'aide d'un enzyme appelé RNA polymérase. La pre-mrna est alors changé en en mRNA, qui est utillisé pour faire la protéine. Durant le procédé, la pre-NRA est divisé en parties non-fonctionnelles et en parties fonctionnelles, appelés exons, qui sont attachées ensemble. Toutefois les exons peuvent être attachées ensemble de différentes façons pour créer un grand nombre de protéines.
L'équipe du docteur Blencowe a étudié ce processus et quelques uns des facteurs reliés. Ils planifient maintenant d'étudier le méchanisme qui ocntrole la fabrication de la mRNA à partir de la pre-mRNA pour déterminer comment les différentes étapes dans la production d'une protéine communiquent entre elles.


2005/2006: $137,139
2006/2007: $137,139
2007/2008: $137,139


Le groupe de médicaments appelé "inhibiteur nucléosidique de la transcriptase inverse" qui inclut plusieurs médicaments utiles Toutefois pour que ces médicaments agissent correctement il faut qu'ils dépassent la membrane de la cellule.

Dr. Cass' group is studying transporter proteins-the proteins in the cell membrane that determine whether or not these drugs get into the cell. A more complete understanding of how these proteins work will allow doctors to choose the most effective drugs for cancer patients being treated with nucleoside analogs.
Progress During the Previous Grant: Dr. Cass' group has developed new ways to produce transporter proteins in yeast cells and laboratory-grown human cells that normally lack these proteins. They also helped to identify a new transporter protein that occurs in many types of human cells. Finally, they developed methods of measuring the levels of transporter proteins in human cancers and showed for the first time that patients with high levels of one of these proteins responded better to a certain nucleoside analog drug.
Current Proposal: The team is now working on identifying all the "rules" that determine which nucleoside analogs can enter the cell via which transporter proteins. These rules will then be used in the development of new nucleoside analogs to make sure that the drugs can enter the cancer cells they are intended to destroy.
Category of Research: Fundamental & intervention
Cancer Site Relevance: Various cancer sites 2005/2006: $150,000
2006/2007: $150,000
2007/2008: $150,000
2008/2009: $150,000
2009/2010: $150,000
7. Chin-Sang, Ian
Queen's University, Kingston, ON
CCS Research Scientist Award - Biomedical

Effectors of the VAB-1 Eph receptor tyrosine kinase
Category of Research: Fundamental Research
Cancer Site Relevance: Alimentary Tract, Bladder, Brain/neurological, Breast, Colon/rectum, Endocrine, Head And Neck, Hematopoietic, Kidney, Liver, Lung, Musculoskeletal, Ovary, Pancreas, Prostate, Skin/integument, Testes, Uterus/cervix, Other, All 2003/2004: $57,285
2004/2005: $59,832
2005/2006: $62,742
2006/2007: $65,512
2007/2008: $67,929
2008/2009: $70,369
8. Chin-Sang, Ian
Queen's University, Kingston, ON
CCS Research Grant

The role of the PTEN tumor suppressor ortholog in C. elegans Eph RTK signaling
Relevance: The usual reason that a cancer is life-threatening is because the cancer cells have spread from their original location to other parts of the body. We don't yet entirely understand how cancer cells detach themselves from the original cancer and move elsewhere, and Dr. Chin-Sang's team is working on this problem. They are studying genes that affect how cells move and whether they become cancerous, with the hope of eventually finding a way to "turn off" the processes by which cancerous cells develop or spread within the body.

La raison habituelle pour laquelle le cancer menace la vie humaine c'est que les cellules cancéreuses se répandent partout à partir de leurs location d'origine. Nous ne savons pas complètement comment les cellules cancéreuses se détachent de la tumeur originelle et vont ailleurs. Le docteur Chinsang et son équipe travaille à solutionner ces questions. Ils étudient les gènes qui affectent la manière dont les cellules cancéreuses peuvent se déplacer et si on pourrait trouver un interrupteur à ce procédé par lequel les cellules dangeureuses se répandent à travers l'organisme.

Description: Dr. Chin-Sang's group is using a microscopic worm as a model to study the genes involved in cell movements, since the worm genes closely resemble human genes. They are investigating a group of enzymes called Eph RTKs, which have been shown to play an important role in cell movement and also appear to affect the development of cancer. The group recently discovered the worm version of an important human gene called PTEN, which normally keeps cells from becoming cancerous. PTEN interacts with the Eph RTKs and Dr. Chin-Sang's team plans to now determine PTEN's role in Eph RTK behaviour.


Le docteur Chin-Sang utilise un ver microscopique comme modèle pour étudier les gènes impliqués dans le moouvement de la cellule, parce que les gènes du ver ressemble beaucoup à ceux de l'humain. Il investige un groupe d'enzyme appelé Eph RTKs qui joue un rôle important dans le mouvement des cellules et parait aussi affecté le développement du cancer. Le groupe a récemment découvert la version sur le ver d'un gène humain important appel. PTEN qui normalement empêche les cellules de devenir cancéreuses. PTEN interagit avec EPh et le docteur Chin-Sang veut savoir le rôle de PTEN dans le comortement de Eph.

Category of Research: Fundamental
Cancer Site Relevance: Various cancer sites 2004/2005: $80,000
2005/2006: $80,000
2006/2007: $80,000
9. Clarke, David
University of Toronto, Toronto, ON
CCS Research Grant

Inhibition of the human MDR1 multidrug transporter
Relevance: A major problem with the use of cancer chemotherapy (anticancer drugs) is that cancer cells can become resistant to all the drugs being used to kill them. This phenomenon is known as multidrug resistance. The best known cause of multidrug resistance is overproduction of a molecule called P-glycoprotein. Dr. Clarke's team is working to answer important questions about how this molecule operates and how it might be shut down. If P-glycoprotein could be turned off during treatment, chemotherapy would be much more effective against a wide range of cancers.
Un problème majeur avec la chimio thérapie c'est que les cellules cancéreuses développent de la résistance. La plus grande cause de résistance connue c'est la molécule appelé P-glycoprotéine. L'équipe du docteur Clark travaille a répondre à d'importantes questions au sujet de comment cette molécule fonctionne et comment on pourrait l'empêcher d'agir durant le traitement de chimio. si on pouvait empêcher cette molécule d'agir, la chimio pourrait devenir beaucoup plus effective contre une vaste variétés de cancers.

Description: P-glycoprotein is found on the surfaces of cancer cells and protects the cells by intercepting anticancer drugs and pumping them back out of the cell. However, not enough is known about how the molecule binds to the drugs and whether blocking its activity would mean blocking each of the different drug binding sites. Dr. Clarke's group has developed new techniques that should allow them to answer these questions. They also plan to explore a new way to turn off P- glycoprotein by shutting off its energy supply with a drug called disulfiram, which has not been tested for this purpose before.
Category of Research: Fundamental
Cancer Site Relevance: Various cancer sites 2004/2005: $149,720
2005/2006: $149,720
2006/2007: $149,720
10. Coomber, Brenda; Josephy, P.David; Rak, Janusz
University of Guelph, Guelph, ON
CCS Research Grant

Dr. Coomber's group is studying factors that can lead to or prevent these genetic changes. Their research will provide new insights into the biology of colorectal cancer and may suggest new ways to prevent or delay the development and progression of this cancer.

Des bactéries spéciales pour livrer le médicament. 📺 (vidéo) 307141
Un des gènes affecté dans le cancer colorectal et qui entraine un cancer est le gène appelé K-ras. L'équipe du docteur Coomber a découvert que les dommages causés à l'ADN d'une cellule, suivis par un manque dans le processus de réparage, va conduire souvent à un changement dans les gènes K-ras. Il sont aussi appris que l'environement dans les cancers solides aide à causer ces changements qui peuvent survenir plus d'une fois dans le même cancer. Ils planifient maintenant d'analyser l'impact du manque de courant sanguin dasn les changement de K-ras. Ils vont aussi analyser les effets de certains traitements anticancer sur les gènes de la famille de K-ras qui subissent des changements.
Category of Research: Fundamental
Cancer Site Relevance: Colon/rectum


http://66.59.133.168/grsearch/demccs_fr.phtml


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