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 Rendre sécuritaire la transplantation de cellules souches

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Denis
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MessageSujet: Re: Rendre sécuritaire la transplantation de cellules souches   Rendre sécuritaire la transplantation de cellules souches Icon_minitimeMar 21 Juin 2016 - 14:52

Mise à jour. On a découvert un moyen de multiplier les cellules de sang de cordon par 13, il s'agit en même temps de cellules plus jeunes donc le tout est plus sécuritaire.


La banque de sang de cordon d’Héma-Québec comportait 9345 unités de sang de cordon en 2014, qui ont servi à 19 greffes alors qu’il y avait 78 greffes de moelle osseuse cette année-là.

L’exemple de Mai Duong

La jeune vietnamienne Mai Duong, en rémission de la leucémie, a longtemps attendu un donneur de cellules souches compatible avec elle. Devant l’inexistence de ce donneur de moelle osseuse, c’est sa petite taille qui lui a permis d’avoir recours à une greffe de sang de cordon l’année dernière.

«Si cet essai clinique donne de bons résultats, ça donne tellement d’espoir à tous ceux qui sont toujours dans l’attente», souligne la jeune mère.

Durant les deux premières phases de cette étude, qui dureront trois ans, 25 patients provenant de Montréal, Québec et Vancouver seront traités.

«On devrait avoir les premiers résultats dès 2016, souligne Mme Marinier. S’ils sont bons, nous pourrons traiter des patients dans 5 à 6 ans.»

Le rejet de cette greffe est également moins susceptible de se réaliser que dans le cas des greffes de moelle osseuse. «Les cellules sont plus jeunes et moins matures, explique Mme Marinier. Le problème de compatibilité serait considérablement réduit.»

Mme Duong qui se réjouit de cette avancée, souligne que d’ici là, la plus grosse mission du Québec est de diversifier sa banque de donneurs. «Tellement de gens de différentes origines sont toujours dans l’attente.»
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Denis
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MessageSujet: Re: Rendre sécuritaire la transplantation de cellules souches   Rendre sécuritaire la transplantation de cellules souches Icon_minitimeLun 27 Sep 2010 - 13:50

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(26 septembre 2010) - L'identification d'une voie moléculaire de communications qui influe sur la mobilisation des cellules souches hématopoïétiques (du sang) pourraient mener à des thérapies ciblées pour améliorer les taux de succès de transplantation de moelle osseuse.

Les chercheurs disent qu'une inhibition de la voie de signalisation déclenchée par EGFr (récepteur du facteur de croissance épidermique) a augmenté la mobilisation de cellules souches hématopoïétiques chez la souris. La conclusion fournit une base scientifique pour l'amélioration de l'efficacité des greffes de moelle osseuse autologue, dans lequel le bénéficiaire donne son propres cellules souches avant la procédure.
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Denis
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MessageSujet: Re: Rendre sécuritaire la transplantation de cellules souches   Rendre sécuritaire la transplantation de cellules souches Icon_minitimeDim 4 Fév 2007 - 1:02

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Greffe


Résultats prometteurs

Des chercheurs de l'Université de Montréal ont fait une découverte qui pourrait favoriser la réussite d'un plus grand nombre de greffes de moelle osseuse et ainsi améliorer le sort de gens atteints de cancer du sang.

De nombreux patients qui subissent une greffe sont victimes de rejet, appelé RGCH (réaction du greffon contre l'hôte). « C'est une complication sérieuse, puisqu'elle peut toucher la plupart des organes du receveur et elle est fréquente. Elle survient chez environ 60 % des receveurs », explique Claude Perreault, professeur au département d'hématologie de l'Université de Montréal.

Pour les greffés victimes de rejet, cette réaction est provoquée par le donneur. Certains donneurs sont considérés comme dangereux, alors que d'autres ne le sont pas. L'équipe de recherche du professeur Perreault a voulu savoir pourquoi. Elle a étudié le fonctionnement de 20 000 gènes chez 50 donneurs. Les chercheurs ont découvert que 17 gènes caractérisaient les donneurs dangereux.

« On croit que ces 17 gènes nous permettront d'avoir un test prédictif pour identifier les donneurs dangereux et ceux qui ne le sont pas [...] Ça peut changer le taux de succès et le nombre de transplantations de moelle osseuse », soutient le professeur Perreault.

Cette recherche sur l'identification à l'avance des donneurs dangereux entre dans une nouvelle étape. Ses résultats doivent être validés partout en Amérique du Nord, ce qui devrait prendre encore deux ans.
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Denis
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MessageSujet: Re: Rendre sécuritaire la transplantation de cellules souches   Rendre sécuritaire la transplantation de cellules souches Icon_minitimeVen 2 Fév 2007 - 17:04

Le jeudi 01 février 2007


Greffes contre le cancer : les donneurs dangereux seront identifiés

PC

Montréal


Une équipe de chercheurs de l'Université de Montréal annonce que la génomique lui permet de prétendre à une avancée qui aura un impact fondamental sur le traitement de certains cancers du sang par voie de greffe de cellules sanguines.

La découverte, publiée dans la revue américaine Public Library of Science Medicine, aide à reconnaître de façon sûre si les cellules du donneur de moelle osseuse causeront une réaction chez le receveur, après la greffe. Ce test prédictif pourrait susciter un impact considérable pour l'avenir des malades.

La greffe de cellules-souches provenant de la moelle osseuse demeure la meilleure voie pour traiter ou guérir certains des patients atteints de leucémie et de lymphomes. Cependant, cette greffe demeure risquée en raison de la complication majeure qu'est la réaction du greffon.


Comme le souligne l'initiateur de ce projet, le Dr Claude Perreault de l'Institut de recherche en immunologie et cancérologie de l'Université de Montréal, ce test permettra de choisir le meilleur donneur et offrir une médecine personnalisée.

Pour réussir une telle avancée, les chercheurs ont utilisé deux techniques de biologie moléculaire qui permettent d'étudier le niveau d'expression des gènes dans les cellules du donneur.

Génome Québec affirme qu'il s'agit d'une avancée extraordinaire qui non seulement permettra d'améliorer et de sauver des vies, mais qui confirme l'importance de soutenir le savoir en génomique.

Seulement au Canada, 10 000 personnes ont pu être sauvées grâce à la greffe de cellules-souches.
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Denis
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MessageSujet: Rendre sécuritaire la transplantation de cellules souches   Rendre sécuritaire la transplantation de cellules souches Icon_minitimeMer 24 Jan 2007 - 14:11

Cet article rend compte d'un nouveau moyen trouvé pour réduire les décès dûe à une maladie ( GVHD ) qui se produit lorsque les médecins tranplantent des cellules souches à un patients atteint de certains cancers du sang. Cette technique qui est l'ajout d'un remède pris oralement réduit de 46% la mort après un an de suivi. Mais le médicament est un épée à double tranchant puisqu'il affaiblit le système immunitaire. Ça se passe aux États-unis et la FDA approuvera ou non le médicament en Juillet.
Je laisse l'article au complet si ça intéresse quelqu'un


Gastrointestinal graft-vs.-host disease is a common and potentially deadly side effect for patients who undergo an allogeneic stem-cell transplant to treat certain blood cancers. Now, new research from Fred Hutchinson Cancer Research Center shows that adding a widely used topical corticosteroid to the standard treatment for GVHD kept the disease in remission and significantly reduces deaths one year after therapy.

A reformulation of beclomethasone dipropionate (BDP) into two different pills specifically releasing the drug into the stomach and mid-small intestine prevented relapse of gastrointestinal GVHD and allowed those patients to be on a shorter treatment course of high-dose prednisone. Mortality was reduced by 46 percent a year following the start of treatment in a multi-center Phase III clinical trial, according to findings published today in the online edition of the journal Blood. The lead author is David M. Hockenbery, M.D., a member of the Clinical Research Division at the Hutchinson Center and a professor of medicine/gastroenterology at the University of Washington School of Medicine. BDP is an anti-inflammatory drug long used to treat a variety of diseases such as asthma and ulcerative colitis.

About 60 percent of patients who receive an allogeneic stem-cell transplant to treat blood cancers such as acute and chronic myelogenous leukemia, acute lymphocytic leukemia and non-Hodgkin's lymphoma develop gastrointestinal GVHD as a major side effect of being infused with donor stem cells. Those who show gastrointestinal symptoms of the disease usually receive a two to four-week course of high-dose systemic prednisone therapy that is then tapered slowly. However, that drug is a two-edged sword, Hockenbery said. On the one hand it is designed to suppress the donor cells so GVHD can be controlled. But suppressing the immune system also makes patients susceptible to potentially fatal infections.

In the clinical trial, 129 patients were randomized into two groups. One group received a short course of standard prednisone therapy and oral BDP for 50 days. The other group received a placebo in place of the oral BPD for the same period. At day 10, the prednisone dose was quickly tapered in patients whose symptoms had responded. Fewer patients randomized to BDP had a subsequent flare-up of GVHD. After completion of the 50-day treatment period, patients were followed for an additional 30 days to see if the treatment effect would last. Patients randomized to BDP had a significantly more durable response rate compared to those in the placebo group. At one year after treatment, mortality rates had been reduced 46 percent compared to the placebo group.

"Oral BDP provides much more tailored and targeted control of gastrointestinal GVHD and it allows patients to move away from the side effects of standard prednisone therapy. All of this improves the chances that patients will have a successful outcome," Hockenbery said. "I think this is a very convincing clinical trial because by targeting topical therapy to the areas most affected, we were able to keep symptoms at bay while minimizing systemic immune suppression."

The idea to reformulate BDP into an oral form for stem-cell-transplant patients belongs to George B. McDonald, M.D., one of the study co-authors and a colleague of Hockenbery's at the Hutchinson Center. McDonald, also a member of the Center's Clinical Research Division and a professor of medicine/gastroenterology at UW, initiated the early trials of oral BDP with funding from a U.S. Food & Drug Administration Orphan Products Development Grant. The goal was to target corticosteroid therapy to the areas of the GI tract affected by GVHD. The anti-inflammatory actions of the two BDP-containing pills would then be focused on the intestinal lining from top to bottom to suppress GVHD, thus avoiding excessive corticosteroid medication in the bloodstream.

The FDA is expected to decide whether to approve use of the oral form of the drug by July. If approved, it would be only the second drug approved by the FDA for treatment of GVHD in stem-cell transplant recipients.

The pivotal clinical trial was funded by an Orphan Products Development Grant of the U.S. Food & Drug Administration and by Enteron Pharmaceuticals Inc., a wholly-owned subsidiary of DOR BioPharma Inc. Fifteen other centers in the U.S. and France participated in the study. (Conflict of interest disclosure: George McDonald, M.D., is a consultant for Enteron Pharmaceuticals Inc. and has an equity position in the company.)
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