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 Un IRM/an recommandé pour les femmes à risque élevé

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Denis
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MessageSujet: Re: Un IRM/an recommandé pour les femmes à risque élevé   Un IRM/an recommandé pour les femmes à risque élevé Icon_minitimeLun 8 Juil 2013 - 9:51

July 7, 2013 — A new technique for detecting cancer by imaging the consumption of sugar with magnetic resonance imaging (MRI) has been unveiled by UCL scientists. The breakthrough could provide a safer and simpler alternative to standard radioactive techniques and enable radiologists to image tumours in greater detail.

Une nouvelle technique pour détecter le cancer par résonnance magnétique a été découverte par des scientifiques de l'université de UCL. La découverte pourrait amener un moyen plus sécuritaire et plus simple de permettre de faire des images des tumeurs plus détaillées.

The new technique, called 'glucose chemical exchange saturation transfer' (glucoCEST), is based on the fact that tumours consume much more glucose (a type of sugar) than normal, healthy tissues in order to sustain their growth.

Les tumeurs conmsomment plus de sucre que les tissus sains.

The researchers found that sensitising an MRI scanner to glucose uptake caused tumours to appear as bright images on MRI scans of mice.

Lead researcher Dr Simon Walker-Samuel, from the UCL Centre for Advanced Biomedical Imaging (CABI) said: "GlucoCEST uses radio waves to magnetically label glucose in the body. This can then be detected in tumours using conventional MRI techniques. The method uses an injection of normal sugar and could offer a cheap, safe alternative to existing methods for detecting tumours, which require the injection of radioactive material."

Professor Mark Lythgoe, Director of CABI and a senior author on the study, said: "We can detect cancer using the same sugar content found in half a standard sized chocolate bar. Our research reveals a useful and cost-effective method for imaging cancers using MRI -- a standard imaging technology available in many large hospitals."

La moitié d'une barre de chocolat suffit.

He continued: "In the future, patients could potentially be scanned in local hospitals, rather than being referred to specialist medical centres."

The study is published in the journal Nature Medicine and trials are now underway to detect glucose in human cancers.

According to UCL's Professor Xavier Golay, another senior author on the study: "Our cross-disciplinary research could allow vulnerable patient groups such as pregnant women and young children to be scanned more regularly, without the risks associated with a dose of radiation."

Les femmes enceintes et les enfants pourront être scannés sans risque plusrégulièrement.

Dr Walker-Samuel added: "We have developed a new state-of-the-art imaging technique to visualise and map the location of tumours that will hopefully enable us to assess the efficacy of novel cancer therapies."



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Denis
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MessageSujet: Re: Un IRM/an recommandé pour les femmes à risque élevé   Un IRM/an recommandé pour les femmes à risque élevé Icon_minitimeVen 4 Fév 2011 - 17:07

Prédisposition au cancer du sein : un test français plus rapide et plus efficace

Vendredi 04 février 2011


EMMA, la nouvelle technique de détection des prédispositions génétiques BRCA1 et BRCA2 aux cancers du Un IRM/an recommandé pour les femmes à risque élevé 307163 et de l' Un IRM/an recommandé pour les femmes à risque élevé 307215 mise au point par une équipe de l'Institut Curie s'avère particulièrement fiable, rapide et économique pour détecter une très grande variété de mutations, indique l'institut dans un communiqué publié à l'occasion de la Journée mondiale du cancer.
On évalue en France à 52 000 le nombre annuel de nouveaux cancers du sein et à 4 500 celui de nouveaux cancers de l'ovaire. Environ 5 % de ces cancers seraient dus à une prédisposition génétique majeure, une mutation des gènes BRCA1 et BRCA2. Chez les femmes porteuses de telles altérations, le risque de développer un cancer du sein est non seulement 8 fois plus élevé que dans la population générale, mais sa survenue est nettement plus précoce : 40 ans contre 60 ans pour les non héréditaires.

Il existe 16 laboratoires en France qui effectuent des tests de prédisposition à la recherche de telles mutations ; elles sont proposées aux femmes dont l'histoire familiale et/ou individuelle laisse supposer l'existence d'un risque connu. Au total, les laboratoires procèdent chaque année à 5 600 recherches.

Toute la difficulté réside dans la détection des altérations qui sont multiples et peuvent survenir tout au long des 2 gènes qui sont de très grande taille. Plus de 2 000 mutations différentes des gènes BRCA1 et BRCA2 ont été identifiées à ce jour, mais il en existe encore de nombreuses autres encore inconnues.

Pendant près de 7 ans, la société Myriad Genetics, grâce aux trois brevets qu'elle avait déposés auprès de l'Office européen des brevets, avait le monopole des tests génétiques, au grand dam des laboratoires français et européens. ici .En 2005, ces derniers ont gagné leur bras de fer juridique et peuvent depuis réaliser des tests à la recherche de gènes de prédisposition. Forts de cette victoire, les chercheurs de l'équipe des Pr Dominique Stoppa-Lyonnet et Jean-Louis Viovy ont mis au point la technique EMMA (Enhanced Mismatch Mutation Analysis ®️), mieux adaptée que la méthode américaine à la détection de mutations inconnues sur des gènes multiples ou de grande taille.

Dans une étude menée sur une grande cohorte (1 525 patientes), publiée en ligne dans la revue spécialisée Human Mutation, les chercheurs montrent que la technique EMMA "a permis de détecter une altération qui avait échappé à la stratégie de séquençage direct proposée par Myriad Genetics". Elle a notamment permis de repérer des mutations ponctuelles ou de petite taille, pour un coût deux fois moins important et dans un délai quatre fois moins élevé que le séquençage industriel proposé par la société américaine, souligne le Pr Stoppa-Lyonnet.

Cette technique constitue donc une avancée remarquable, à l'heure où les analyses génétiques occupent une place de plus en plus importante en cancérologie, que ce soit pour le diagnostic, le pronostic ou les décisions thérapeutiques, conclut le chercheur.

Amélie Pelletier

Sources
"Une nouvelle méthode de détection plus fiable, plus rapide et plus économique", communiqué de l'Institut Curie, 2 février 2011.


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Denis
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MessageSujet: Un IRM/an recommandé pour les femmes à risque élevé   Un IRM/an recommandé pour les femmes à risque élevé Icon_minitimeJeu 29 Mar 2007 - 11:55

Cancer du sein: l'imagerie par résonance magnétique recommandée
Associated Press

Atlanta
Les femmes qui courent un risque plus élevé de développer un cancer du sein devraient subir chaque année un examen d'imagerie par résonance magnétique (IRM) en plus d'une mammographie, recommande la Société américaine du cancer dans ses nouvelles directives.
Et une nouvelle étude médicale suggère que toutes les femmes ayant reçu un diagnostic récent de cancer du sein devraient passer un examen d'IRM, elles aussi. Ce mode d'examen a permis de détecter des cancers dans l'autre sein chez 3 pour cent de ces femmes, tumeurs que des mammographies ordinaires n'avaient pas permis de dépister.
L'étude survient après que la société du cancer ait développé ses directives, les premières à recommander l'IRM chez des femmes ne montrant aucun symptôme de cancer.
Ces directives s'adressent aux femmes asymptomatiques de 30 ans et plus qui ont une mutation des gènes BRCA1 ou BRCA2, à celles qui ont été traitées pour la maladie de Hodgkin, ou à celles dont des proches ont eu un cancer du sein ou des ovaires.

Cependant, l'IRM n'est pas recommandée pour la plupart des femmes, notamment à cause de son taux d'erreur, qui peut conduire à des biopsies inutiles, et son coût élevé.
Les nouvelles directives devaient être annoncées mercredi, le jour même de la publication de l'étude américaine par le New England Journal of Medicine.
L'étude, dirigée par la docteure Constance Lehman, du centre médical de l'Université de Washington, a porté sur près d'un millier de femmes ayant récemment reçu un diagnostic de cancer dans un sein, mais qui ne montraient aucun signe de cancer dans l'autre sein. Les examens par IRM de l'autre sein ont détecté de possibles tumeurs chez 121 femmes. Des biopsies ont confirmé que ces tumeurs étaient cancéreuses chez 30 d'entre elles.
Par ailleurs, la Société américaine du cancer invite les femmes à choisir soigneusement la clinique où sera pratiquée l'IRM, et à privilégier celles qui offrent aussi la possibilité de subir une biopsie sur place, au cas où une tumeur potentielle serait découverte.


Dernière édition par Denis le Mer 9 Fév 2011 - 15:50, édité 1 fois
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