Un régime pour éviter la rechute du cancer du sein.

Un autre article sur la question :

Eating red meat increases a woman’s chance of developing breast cancer, according to new research from the University of Leeds.
The findings are most striking for post-menopausal women – those with the highest intake of red meat, the equivalent to one portion a day (more than 57 grams) - run a 56 per cent greater risk of breast cancer than those who eat none.
Les découvertes sont plus frappantes pour les femmes post-ménopausées, celles qui ont la plus grande consommation (l'équivalent d'une portion par jour) ont 56% plus de chance de développer un cancer du sein.

Women who eat the most processed meat, such as bacon, sausages, ham or pies, run a 64 per cent greater risk of breast cancer than those who eat none.

Les femmes qui mangent des produits ou la viande a été le plus travaillée comme le bacon, les saucisses, ou les tartes ont 64% plus de risques que celles qui ne mangent aucune viande.
Researchers at the University’s Centre for Epidemiology and Biostatistics have been tracking the eating habits and health of more than 35,000 women for the past seven years, and their latest findings are published in the British Journal of Cancer. Earlier findings, widely reported in January, showed that pre-menopausal women who have the greatest intake of fibre have cut their risk of breast cancer in half.

La comsommation de viande rouge a été associé avec une augmentation significative dans le risque de cancer testant positif à l'oestrogène chez les femmes pré-ménauposées.

Le régime s'avère parfois une vraie arme thérapeutique. C'est la surprise du congrès de l'American Society of Clinical Oncology (Asco), qui s'est tenu à Orlando (Floride) en mai. L'étude, conduite par le professeur Rowan Chlebowski, de l'Institut de recherche biomédicale de Los Angeles, a porté sur près de 2 500 femmes atteintes de cancer du sein à un stade précoce. Elle montre que celles qui ont bénéficié d'une formation diététique et qui avaient une alimentation pauvre en graisses (moins de 20 % de l'apport calorique total) réduisaient de 25 % leur risque de récidive par rapport aux femmes qui n'avaient pas reçu cette formation. C'est un résultat considérable, quand on pense qu'il s'agit seulement de surveiller son assiette!