Je copie cette histoire de cyberpresse.ca Il y a quelque chose qui me dépasse là-dedans. Il me semble que l'histoire serait plus compréhensible si une nuit, elle lui coupait le pénis pour se venger mais comme ça finit, ça ne ferait même pas un bon film je trouve, la fin est trop neu-neu (comme vous dites les français.)
C’est une histoire qui commence il y a 50 ans, en 1957. Burt a alors 30 ans, c’est un peddler, un petit bandit, un fabuliste. Linda en avait 20. Belle, courtisée, c’était LA fille que tous les gars désiraient dans le Bronx.
Burt aperçoit Linda dans un parc, entreprend de la crouser. Il se dit producteur de films, avocat (il oublie de lui dire qu’il est marié et qu’il a un enfant de 3 ans). Linda arrive chez elle, du parc, bang, un bouquet de roses l’attend chez ses parents. Ils se fréquentent un an, elle est tannée d’attendre que Burt divorce. Bang, elle largue Burt et s’amourache d’un autre garçon du voisinage.
Burt, un jeune homme au tempérament sanguin, mettons, embauche alors deux crottés pour commettre un crime en son nom : lancer de l’acide au visage de sa dulcinée, afin de la rendre aveugle. Pure vengeance. Ça ne fonctionne qu’à moitié, ce qui fait assez de dégât dans les yeux de la belle Linda. Burt, bien sûr, est rapidement retracé par la police, accusé, trouvé coupable au terme d’un procès dantesque et envoyé en prison pour avoir commandité ce crime sordide.
Mais Burt est un tenace. En prison, il sent que l’amour le brûle encore, qu’il a encore des sentiments pour cette Linda qui l’a éconduit. Il lui envoie des lettres d’amour, tout le kit, pendant ses 16 ans en prison.
Débile, hein ?
Attendez, il y a mieux.
Quand Burt est sorti de prison, Linda l’attendait.
Ils se sont mariés. Ils sont encore ensemble.
Un documentaire sur leur histoire d’amour, hu-hum, inhabituelle, disons, vient de sortir.