ESPOIRS
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment :
TCL C74 Series 55C743 – TV 55” 4K QLED 144 ...
Voir le deal
499 €

 

 Nanoparticules d’or

Aller en bas 
3 participants
Aller à la page : Précédent  1, 2
AuteurMessage
Denis
Rang: Administrateur
Denis


Nombre de messages : 17118
Date d'inscription : 23/02/2005

Nanoparticules d’or - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Nanoparticules d’or   Nanoparticules d’or - Page 2 Icon_minitimeMer 1 Aoû 2007 - 18:06

Voici une technologie qui semble proche de ce que Missp a trouvé


Purdue University researchers have created gold nanoparticles that are capable of identifying marker proteins on breast cancer cells, making the tiny particles a potential tool to better diagnose and treat cancer. The technology would be about three times cheaper than the most common current method and has the potential to provide many times the quantity and quality of data, said Joseph Irudayaraj, an associate professor of agricultural and biological engineering.

Des chercheurs de l'université de Purdue ont créé des nanoparticules d'or qui sont capables d'identifier des protéines sur les cellules de cancer du sein, faisant de ces particules un outil potentiel pour mieux traiter et diagnostiquer le cancer. La technologie serait à peu près 3 fois moins cher que ce qui existe et a le potentiel de fournir des données de plus grandes qualités et de plus grandes quantités.

"We hope that this technology will soon play a critical role in early detection and monitoring of breast cancer," said Irudayaraj (pronounced ee-roo-THY'-a-razh), leader of a research team that developed a new method for fabricating the nanoparticles that is published in the journal Analytical Chemistry. "Our goal is to see it in commercial use in about four years."

Le but est de rendre cette méthode utilisée et commercialisée dans 4 ans.

The gold nanoparticles, or nanorods, are tiny rod-shaped gold particles, even smaller than viruses, which are equipped with antibodies designed to bind to a specific marker on cell surfaces. Researchers analyze these surface markers, proteins on a cell's exterior, because they can contain valuable information about what type of cell they belong to or what state that cell may be in.

"In cancer diagnosis, the ability to accurately detect certain key markers will be very helpful because certain types of cancers have specific surface markers," Irudayaraj said.

In another study published last month in Nano Letters, Irudayaraj showed that the nanorods, when combined with a special imaging technique, were capable of recognizing cancer stem cells by binding to known markers on their exterior. Cancer stem cells are important to detect because they are particularly invasive and more likely than other types of cancer cells to spread, or metastasize, to other organs. These and other types of cells the technology utilizes are obtained from blood tests as opposed to biopsies.

Dans une autre étude publiée le mois dernier dans Nano letters Irudayaraj a montré que les nanos barres lorsqu'elles sont combinées avec une technique d'imagerie spéciale sont capable de reconnaitre les cellules souches cancéreuses en se liant à des marqueurs connus sur l'extérieur de celles-ci. Les cellules souches canécreuses sont importantes parce q u'elles sont particulièrement invasives et capables de se répandre et de métastaser plus que les autres cellules.

The nanoparticles, or "gold nanorod molecular probes," are fabricated so that their size is unique to their target marker. That way, when nanorods bind to their marker, they "scatter," or disrupt light in a characteristic manner that researchers can then pair to the nanorod's dimensions, its antibody and the target cancer marker, which must be present for binding to occur.

More than 200,000 women are diagnosed with breast cancer every year in the United States, and 80 percent of those women receive some type of therapy, Irudayaraj said. Since 40 percent of them will have a relapse, regular monitoring, which this technology aims to do, is vital.

Irudayaraj said using gold nanorods for cancer detection will be about one-third the cost of the current analogous technology, called flow cytometry. This method works by attaching fluorescent probes to cancer cells, whereas the nanorod technology has its basis in sensing plasmons, or sub-atomic particles present in the gold nanoparticles.

The nanorods also require only a few cells, whereas flow cytometry requires hundreds to thousands of cells. This could be advantageous when dealing with scarce sample sizes, Irudayaraj said.

Irudayaraj and his team - postdoctoral researcher Chenxu Yu and Harikrishna Nakshatri, a researcher at the Indiana University School of Medicine - demonstrated that the nanorods bind to three different markers. Two of the markers were used to calculate the invasiveness of the cancer cell, while one marker - present equally among the different cancer types - was used to calculate the degree to which the other markers were expressed, or present. Irudayaraj said his gold nanorods may be able to detect as many as 15 different markers in the future, possibly opening the door for even more comprehensive tests.

Ultimately, Irudayaraj imagines a new kind of routine and cost-effective procedure for the identification of cancer cells. A patient gives blood, from which cancer cells are obtained. Nanorods are then added to bind to specific markers, if present. Next, the cells are placed on a microscopic slide for imaging. After the rods absorb and re-emit radiation, a special camera records the scattered light, which a computer helps to analyze. Finally, based upon the data, a diagnosis is made.

Irudayaraj received funding from Purdue and the Indiana University School of Medicine, and the work was conducted at the Bindley Bioscience Center, of which he is a member. He plans to further develop the technology in the future and is researching mechanical properties of the nanorods and the surface markers to which they bind. He hopes to create nanoparticles that are capable of binding to more markers and to provide more information about these markers and what they reveal about the state of the cell.
Revenir en haut Aller en bas
Christine

Christine


Nombre de messages : 171
Localisation : (Bas-St-Laurent/ Canada)
Date d'inscription : 16/10/2006

Nanoparticules d’or - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Nanoparticules d’or   Nanoparticules d’or - Page 2 Icon_minitimeVen 22 Juin 2007 - 9:35

Merci beaucoup Missp de partager avec nous cette découverte. Très intéressant comme traitement. J'attends la suite des résultats de cette découverte.

Merci et bonne journée

Christine alias soleil26
Revenir en haut Aller en bas
missp

missp


Nombre de messages : 93
Age : 50
Localisation : dijon
Date d'inscription : 04/05/2007

Nanoparticules d’or - Page 2 Empty
MessageSujet: Nanoparticules d’or   Nanoparticules d’or - Page 2 Icon_minitimeVen 22 Juin 2007 - 3:41

Un nouveau traitement contre le cancer utilisant des nanoparticules d’or sera testé dans les prochaines semaines. La technique consiste en l’injection de nanobilles de verres, plus petites q’un globule rouge, recouverte d’or, capables de révéler les cellules cancéreuses. Ces nanoparticules qui ont la propriété de s’accumuler dans le tissu tumoral, seront ensuite « activées » par une faible source d’énergie lumineuse. Les tests ont montré à ce jour que les tumeurs sont totalement détruites.

Ainsi, et contrairement aux techniques conventionnelles de traitement, cette nouvelle méthode n’utilise ni produits chimiques toxiques ni radiations, réduisant ainsi considérablement les risques et les effets secondaires. Elle aurait aussi le mérite d’être beaucoup moins chère indiquent les chercheurs. En Grande Bretagne, cette avancée a été positivement accueillie par la communauté médicale, et certains médecins lui prédisent un bel avenir dans le traitement de plusieurs cancers mortels, allant du cancer de la peau au cancer cervical, en passant par ceux du sein et du cerveau.

Selon l’article publié dans le magazine scientifique New Scientist, les tests effectués sur les souris ont particulièrement bien marché. Au total, neuf souris atteintes d’un cancer du colon, ont vu leurs cellules tumorales complètement détruites. Le professeur Jennifer West de l’Université de Rice au Texas, qui a aidé à développer le traitement, indique que des tests cliniques sur des patients atteint de cancer débuteront bientôt aux Etats-Unis. La première série de tests médicaux vise à vérifier si la technique permet de détruire efficacement les tumeurs chez l’homme.

Lors d’une deuxième phase, prévue dans deux ans, les chercheurs testeront cette fois la capacité des particules à identifier les tumeurs. « D’après le travail que nous avons effectué, cette thérapie devrait marcher sur n’importe quel tissu tumoral » a déclaré le Pr. West. « Les essais sur les animaux n’ont montré aucun effet secondaire significatif » a-t-elle ajouté.

Toujours selon le Pr. West, n’importe quel effet secondaire qui pourrait être révélé lors des essais cliniques, serait de loin moins important que ceux observés avec les traitements conventionnels. Aussi, et parce que cette technique utilise la chaleur pour venir a bout des tumeurs à l’exclusion de tout produit chimique, les cellules cancéreuse n’ont pas l’opportunité de développer de résistance au traitement. Elle précise en outre que ce dernier, baptisé « golden bullet treatment », n’est pas le premier à utiliser des nanoparticules. En effet, de précédentes études ont montré que des nanocapsules injectées dans le sang pouvaient délivrer un traitement directement à la tumeur.

Les chercheurs ont utilisé lors de ces essais des nanobilles qui mesure un 140 millionième de millimètre, capables de circuler librement dans tous le corps via le sang. Quand le médecin fait passer une lumière infrarouge de faible intensité sur une zone cancéreuse où elles se sont accumulées, ces dernières « s’allument » permettant ainsi de localiser la tumeur et de la spotter. Le médecin fait passer par la suite une lumière infrarouge plus intense, qui se convertis en chaleur au contact des nanoparticules dorées, détruisant ainsi les tissus cancéreux. Les très attendus résultats des essais cliniques seront publié fin 2007, indique l’équipe de chercheurs britannique.


Source
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Nanoparticules d’or - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Nanoparticules d’or   Nanoparticules d’or - Page 2 Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Nanoparticules d’or
Revenir en haut 
Page 2 sur 2Aller à la page : Précédent  1, 2
 Sujets similaires
-
» La curcumine, mode d'opération et elle serait efficace pour le cancer du sein triple négat
» Robotique, cybernétique et informatique.
» nanoparticules magnétiques.
» Livatag® nanoparticules doxorubicine et cellules chimiorésistantes
» Des nanoparticules qui tuent les tumeurs de la prostate

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
ESPOIRS :: Cancer :: recherche-
Sauter vers: