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 Cancer avec métastases disparu.

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Denis
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Denis


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MessageSujet: Re: Cancer avec métastases disparu.   Cancer avec métastases disparu. Icon_minitimeVen 16 Oct 2015 - 12:15

Cet article vient de Science Daily et est intitul : Cure of metastatic Skin Cancer found ? (Une cure au Cancer de la peau métastatique trouvé? ou une cure à un cancer de la peau métastasé trouvé ?...) J'ai cru que ce serait intéressant de le mettre ici, naturellement il ne faut pas trop s'emballer mais ça pourrait être le début de quelque chose.




Identifying a patient’s genetic mutation led University of Arkansas for Medical Sciences (UAMS) physician-researcher Ling Gao, M.D., Ph.D., to an existing drug that eliminated the patient’s stage IV Merkel-cell carcinoma. Gao’s findings, made in collaboration with two other UAMS researchers, were published today in The New England Journal of Medicine.

Metastatic Merkel-cell carcinoma is often fatal and there is no effective treatment. Gao’s 86-year-old female patient was diagnosed in 2013 with stage IIIB Merkel-cell carcinoma of the right temple. She had surgery and received radiation therapy in May 2013 and additional surgery in July 2014. In November 2014, doctors confirmed that the cancer had metastasized.

Gao, a dermatologist who treats Merkel-cell carcinoma patients from Arkansas and surrounding states, performed genetics tests on the tumor that revealed multiple mutations, including PI3Kδ.

Gao was aware that the drug idelalisib is a novel PI3K pathway inhibitor approved by the Food and Drug Administration (FDA) for treatment of B-cell lymphoma, a cancer of the blood. She was also aware of recent studies showing that disruption of the PI3Kδ mutation allows the body to mount an effective antitumor immune response.

On the basis of her laboratory work and knowledge of idelalisb, Gao began treatment of the patient with the drug on Feb. 6, 2015. Her findings were published in the Journal in a letter to the editor.

Three months after administering the idelalisib, there was no sign of the tumor in the patient’s liver, Gao said

Based on what she’s learned, Gao said the case can be made for further study of PI3Kδ inhibitors like idelalisib in solid tumors, not just blood cancers.

“The efficacy of idelalisib in our patient provides initial clinical evidence that the targeting of PI3Kδ in Merkel-cell carcinoma is warranted,” Gao said in the letter, which
was also signed by UAMS’ Fade Mahmoud, M.D., and Mallory B. Shiver, M.D.

Gao also credits support she received from Peter Emanuel, M.D., director of the UAMS Winthrop P. Rockefeller Cancer Institute, and James Suen, M.D., chair of the Department of Otolaryngology-Head and Neck Surgery in the UAMS College of Medicine.

---

Identifier la mutation génétique d'un patient a conduit un médecin-chercheur Ling Gao de l'Université de l'Arkansas pour les sciences médicales (UAMS) à un médicament existant qui a éliminé le cancer de stade IV Merkel-cellulaire du patient. Les conclusions de Gao, faites en collaboration avec deux autres chercheurs ont été publiés aujourd'hui dans le New England Journal of Medicine.

Le carcinome métastatique des cellules Merkel est souvent fatale et il n'y a pas de traitement efficace. Un patient féminin de 86 ans de Gao a été diagnostiqué en 2013, avec de stade IIIB-carcinome à cellules de Merkel de la tempe droite. Elle avait reçu la chirurgie et la radiothérapie mai 2013 et une intervention chirurgicale supplémentaire en Juillet 2014. En Novembre 2014, les médecins ont confirmé que le cancer avait métastasé.

Gao, un dermatologue, qui traite les patients atteints de carcinome Merkel-cellulaire de l'Arkansas et des Etats voisins, a effectué des tests génétiques sur la tumeur qui a révélé de multiples mutations, y compris PI3Kδ.

Gao était conscient que le médicament idélalisib  est un nouvel inhibiteur de la voie PI3K approuvé par la Food and Drug Administration (FDA) pour le traitement du lymphome à cellules B, un cancer du sang. Elle était également au courant des études récentes montrant que la perturbation de la mutation PI3Kδ permet au corps de monter une réponse immunitaire antitumorale efficace.

Sur la base de son travail de laboratoire et la connaissance de idelalisb, Gao a commencé le traitement du patient avec le médicament, le 6 février 2015. Ses conclusions ont été publiées dans le Journal dans une lettre à l'éditeur.

Trois mois après l'administration du idélalisib, il n'y avait aucun signe de la tumeur dans le foie du patient, a dit Gao

Basé sur ce qu'elle a appris, Gao dit que l'affaire peut être faite pour une étude plus approfondie des inhibiteurs PI3Kδ comme idélalisib dans les tumeurs solides, et pas seulement les cancers du sang.

"L'efficacité de idélalisib chez notre patient fournit la preuve clinique initial que le ciblage des PI3Kδ dans le carcinome à cellules Merkel est justifiée», a déclaré Gao dans la lettre, qui
a également été signé par UAMS 'Fade Mahmoud, MD, et Mallory B. Shiver, MD

Gao crédite également soutien qu'elle a reçu de Peter Emanuel, MD, directeur de l'Institut du cancer de Winthrop P. Rockefeller UAMS, et James Suen, MD, président du Département de l'otorhinolaryngologie et chirurgie cervico-faciale dans le Collège de médecine UAMS.
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MessageSujet: Re: Cancer avec métastases disparu.   Cancer avec métastases disparu. Icon_minitimeJeu 28 Avr 2011 - 14:59

(Apr. 27, 2011) — Like brainy bookworms unprepared for the rough and tumble of post-graduation life, white blood cells trained by scientists to attack tumors tend to fade away quickly when injected into cancer patients. Dana-Farber Cancer Institute scientists, however, have developed a technique that can cause such cells to survive in patients' bloodstreams for well over a year, in some cases, without the need of other, highly toxic treatments, a new study shows.

Comme des nerds qui ne sont pas préparés pour la vie après l'école, les cellules blanches entrainées par les scientifiques pour se batttre contre les cellules cancéreuses ne réussissent pas très bien. Les scientifiques toutefois ont développé une nouvelle technique qui peut faire que ces cellules survivent dans le sang du patient pour plus d'une année, dans quelques cas et surtout sans l'aide d'un autre traitement hautement toxique.

In a paper published in the Apr. 27 issue of Science Translational Medicine, the researchers report the results of a small, Phase I study in which the technique -- a form of "adoptive immunotherapy" -- was tested in nine patients with advanced melanoma. Ten weeks after starting the therapy, seven of the nine patients had more of the specially trained, tumor-hunting cells than they had started with. Three of the patients had stable disease -- neither advancing nor retreating -- and one had shrinkage of a tumor that had spread to the lung. Another patient experienced a complete remission, with no tumors visible on CT or PET scans. Today, 25 months after receiving the one-time therapy, he has no evidence of cancer.


Les scientifiques rapportent les résultats d'une petite étude de phase I dans laquelle la technique, une forme d'immunothérpie apprise, a été testé chez 9 patients avec un mélanome avancé. Dix semaines après avoir commencé la thérapie, 7 des 9 patients avaient plus des cellules entrainées spécialement pour chasser les cellules cancéreuses que lorsque l'essai a commencé. 3 des patients avaient une maladie stabilisée - aucune avancée ni aucun recul - et un a une une réduction d'une tumeur métastasée au poumon. Un autre patient a fait l'expérience d'une rémission complète avec aucune tumeur visible ou CT ou PEt scan. ET même 25 mois après il n'y a plus aucune preuve de son cancer.

The results represent the longest that the injected cells -- known as anti-tumor T cells -- have ever endured in cancer patients without the use of supplemental treatments -- treatments that, while effective, often have harsh side effects. "The study demonstrates it is possible to maintain high levels of anti-tumor T cells in patients over a long period of time while avoiding the complications of conventional approaches," says the study's lead author, Marcus Butler, MD, of Dana-Farber's Early Drug Development Center. "Our technique opens the way to therapies that produce less-toxic, long-lasting immune system attacks on cancer cells."

Ces résultats représentent un record pour des cellules T injectées pour ce qui est de leur durée de vie sans recours à un autre traitement plus efficace mais plus pénalisant aussi.
L'étude montre qu'il est possible de maintenit un haut degré de cellules T anti-cancéreuses chez les patients sans les complications de l'approche traditionnelle.


(...)

"Our next step will be to study this technique in conjunction with other therapies that can boost the numbers and effectiveness of these memory T cells," says the study's senior author, Naoto Hirano, MD, PhD, of Dana-Farber and the Ontario Cancer Institute in Toronto. "We will be beginning a series of clinical trials to learn which combinations work best in which patients."


Notre prochain pas sera d'étudier cette technique en conjonction avec d'autres thérapies qui peuvent augmenter le nombre et l'efficacité de ces cellules à mémoire T. Il faut encore svoir quelle combinaison marche le mieux avec quel patient.







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Denis
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MessageSujet: Cancer avec métastases disparu.   Cancer avec métastases disparu. Icon_minitimeMar 15 Juil 2008 - 12:34

Un cancer de la peau guéri, un nouvel espoir

Des scientifiques américains viennent d'annoncer la guérison spectaculaire d'un mélanome (cancer de la peau): la tumeur, très grave, a disparu en deux mois et n'a toujours pas réapparu au bout de deux ans. Quelques précisions sur un succès spectaculaire.

Cet homme de 52 ans était atteint d’un mélanome, le plus redoutable des cancers de la peau. La tumeur était à un stade avancé et à l’origine de nombreuses métastases, notamment au niveau d’un poumon et dans les glandes sympathiques de l’aine.
Les traitements classiques ayant tous échoué, pour la première fois, une thérapie encore expérimentale lui a été proposée. Ce traitement a consisté à prélever des cellules de son système immunitaire et à les cloner avant les lui réinjecter dans la circulation sanguine.

Les cellules en question étaient des lymphocytes T, des cellules clés du système immunitaire, prélevées lors d’une simple prise de sang. Mises en culture en laboratoire, elles se sont développées en présence d’un antigène tumoral exprimé par 50 à 75% des cellules cancéreuses du patient. Au final, les chercheurs ont ainsi obtenu des centaines de millions de cellules spécifiquement dirigées contre les cellules cancéreuses.
Par perfusion, elles ont été réinjectées au patient, sans aucune complication et notamment sans rejet puisqu’il s’agissait de ses propres cellules clonées. Seuls quelques effets secondaires de type fièvre modérée et douleurs musculaires ont été notés pendant quelques jours.


Une réussite

Deux mois plus tard, les examens d’imagerie médicale par scanner ont montré que la tumeur et les métastases avaient totalement disparu. Aujourd’hui, le recul est de deux ans et le cancer n’est toujours pas réapparu. La rémission est donc totale et de longue durée. Cette technique qui repose sur le principe de l’immunothérapie a eu ici des effets spectaculaires. Employée pour la première fois, elle n’a porté que sur un seul patient. Les recherches doivent donc se poursuivre mais si l’efficacité de cette thérapie se confirmait, elle pourrait être employée dans 25% des cas de mélanome avancé.



15/07/2008
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MessageSujet: Re: Cancer avec métastases disparu.   Cancer avec métastases disparu. Icon_minitimeMar 24 Juin 2008 - 2:37

L’utilisation de lymphocytes autologues dans le traitement de certains cancers évolués est une piste qui a été explorée par plusieurs équipes dans le monde. Diverses études préliminaires ont montré que l’injection de cellules T cytotoxiques (ou CD8+) autologues pouvaient avoir des effets cliniques favorables.

Cependant on sait que l’action anti-tumorale des CD8+ est sous la dépendance des CD4+ et qu’il pourrait donc être plus efficace d’utiliser directement ce type de cellules. Une équipe du Fred Hutchinson Center de Seattle vient de franchir un pas dans cette voie en traitant (avec succès) un patient atteint de mélanome malin métastasé avec des CD4+ autologues multipliés in vitro.

Ce type de thérapeutique a été rendu possible par l’identification d’antigènes associés à des tumeurs comme le NY-ESO-1 dont les épitopes sont présentés par des HLA de classe II et par la mise au point de techniques de multiplication des cellules CD4+ in vitro.

Une seule perfusion de deux heures…

Le patient de Naomi Hunder et coll. était un homme de 52 ans souffrant d’un mélanome malin avec métastases pulmonaires et ganglionnaires iliaques et inguinales diagnostiquées par scanner et TEP scan. Aucune réponse tumorale n’avait été obtenue après excision locale, interféron alpha et interleukine-2.
L’analyse immunohistochimique de la tumeur avait mis en évidence divers antigènes reconnus par les cellules T dont le NY-ESO-1.

Les cellules mononuclées du sang du patient ont été collectées par leucophérèse et mises en culture. Les CD4+ « dirigés » contre NY-ESO-1 ont été isolés et multipliés. Après vérification de leur capacité à répondre in vitro à un contact avec NY-ESO-1 par la production d’interleukine-2 et d’interféron gamma, ces CD4+ ont été réinjectés au patient par une perfusion de deux heures. Au total 5 milliards de cellules T ont été injectés (3,3 milliards par m2).

…et une disparition complète et durables des métastases

Les seuls effets secondaires constatés ont été une lymphopénie avec fièvre modérée et myalgies (compatibles avec la libération de cytokines) qui se sont amendées en 3 jours.

Deux mois après le traitement, un nouveau bilan d’extension (par scanner et TEP scan) a montré une disparition complète des métastases ganglionnaires et pulmonaires sans apparition de nouvelles localisations. Avec un recul de 26 mois, le patient demeure en rémission complète sans aucun autre traitement.
Des recherches par PCR répétées dans le sang du patient ont permis de montrer que les cellules clonales injectées persistaient sur une longue période et représentaient de 0,7 à 3 % des cellules mononuclées sanguines.

Le fait que le cancer ait totalement régressé alors que certaines cellules tumorales n’exprimaient pas l’antigène NY-ESO-1 laisse penser que les CD4+ injectés ont facilité également l’activité du système immunitaire dirigée contre d’autres antigènes.

Ce traitement « à la carte », nécessitant la mise en jeu de techniques immunologiques hautement sophistiquées, paraît certes difficilement reproductible sur une large échelle. Cependant son efficacité remarquable, rapide et durable, au prix d’effets secondaires très modestes laisse penser qu’une nouvelle ère thérapeutique vient peut-être de s’ouvrir pour cette pathologie jusqu’ici au delà de toutes ressources thérapeutiques.



NB : Selon la presse américaine, cinq patients ont reçu ce type de traitement au Fred Hutchinson Center. Les trois premiers n’ont pas répondu mais avaient reçu des doses de cellules beaucoup plus faibles, le quatrième, patient four, est celui dont l’observation « miraculeuse » est décrite dans le New England. Pour le cinquième, on constate actuellement une amélioration, mais moins prononcée. Affaire à suivre.




Dr Céline Dupin
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MessageSujet: Des cellules T CD4 clonés   Cancer avec métastases disparu. Icon_minitimeJeu 19 Juin 2008 - 14:16

Agence France-Presse

Washington

Des médecins américains ont pour la première fois traité avec succès un patient atteint d'un mélanome, cancer de la peau le plus grave, avec des cellules clonées de son système immunitaire, selon une étude publiée mercredi.

Il s'agit de la première thérapie utilisant seulement des lymphocytes T du malade reproduits à de nombreux exemplaires en laboratoire, pour traiter un mélanome avancé et ayant produit une longue rémission, explique le Dr Cassian Yee, du Centre de recherche sur le cancer Fred Hutchinson, principal auteur de cette étude parue dans le New England Journal of Medicine daté du 19 juin.

Le Dr Yee et ses associés ont prélevé des lymphocytes T de type CD4+, des cellules clés du système immunitaire, chez un homme de 52 ans atteint d'un mélanome avancé s'étant propagé dans une des glandes lymphatiques de l'aine et d'un des poumons.

Ces lymphocytes T ciblant spécifiquement le mélanome ont été clonées en très grand nombre en laboratoire, avant d'être injectées dans le corps du patient sans autre traitement complémentaire.

Deux mois après, des examens au scanner et tomographique par émission de positons (TEP), qui permet d'obtenir des images tridimensionnelles d'un organe, n'ont révélé aucune tumeur, explique le Dr Yee.

Ce malade reste sans symptôme ou signe du cancer depuis deux ans, précise-t-il.

C'est le premier cas à montrer l'inocuité et l'efficacité d'une thérapie utilisant seulement des cellules clonées du système immunitaire du malade, ajoute-t-il.

«Nous avons été surpris par les effets anti-tumeur de ces cellules T CD4 et de la durée de leur réponse contre le cancer», poursuit-il. «Nous avons eu un succès avec ce malade mais il faut encore confirmer l'efficacité de cette thérapie dans une étude plus étendue», souligne le médecin.

Si l'efficacité de cette approche se confirme chez un plus grand nombre de patients, cette thérapie pourrait être utilisée dans 25% des cas de mélanome avancé en utilisant le même type de cellules du système immunitaire et d'antigène de la tumeur.

Le patient objet de cette étude a reçu une dose contenant cinq milliards de cellules T (CD4) clonées ciblant l'antigène NY-ESO-1 lié au mélanome, précisent ces chercheurs.

Certaines de ces cellules ont subsisté au moins 80 jours dans l'organisme du malade et bien que seulement 50 à 75% des cellules de la tumeur du patient réagissaient à l'antigène NY-ESO-1, la totalité du cancer a régressé après l'injection.

Le mélanome touche surtout la peau mais peut affecter l'oeil et l'intestin.

C'est l'une des tumeurs de l'épiderme la plus rare mais elle est responsable de la plupart des décès liés au cancer de la peau.

Le seul traitement efficace est l'ablation chirurgicale de la tumeur avant que le cancer ne se soit propagé.

Environ 160 000 nouveaux cas de mélanome sont diagnostiqués dans le monde annuellement. Ce cancer est plus fréquent chez les hommes blancs surtout ceux vivant dans des régions très ensoleillées.

Selon l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), ce cancer est responsable de quelque 48 000 décès par an.
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