(July 28, 2008) — A recent review of the literature has found that hormone deprivation therapy, a commonly used treatment for prostate cancer, may have subtle adverse effects on cognition in patients--such as in the ability to recall and concentrate. Published in the September 1, 2008 issue of CANCER, a peer-reviewed journal of the American Cancer Society, the study indicates that clinicians and patients should be aware of these potential effects and watch closely for their appearance.
La privation d'hormone dans la thérapie du cancer de la prostate a des effets sur les aptitudes à penser, à se concentrer et à se rappeler des patients. La société américaine du cancer indique que les cliniciens et les patients devraient être au courant.
Oui mais ils ne le sont pas. Récemment, lors d'un téléphone à une pharmacienne, j'avais à expliquer pourquoi j'avais du retard avec mes prescriptions. Je lui ai racconté que j'avais oublié ou je m'étais trompé dans la procédure pour aller passer ma prise de sang (J'attendais le téléphone, alors que c'était à moi d'appeler pour prendre un rendez-vous pour avoir le résultat). Je lui ai dit que ça dépandait de ma difficulté à me concenter et à mes problèmes de mémoire lié à mon hormono-thérapie. Or, elle a été formelle que ça ne dependait pas de mon hormono-thérapie parce que ces effets secondaires n'étaient pas listés sur l'explication du médicament. J'ai pensé que en plus je développais de l'alzeimer.
C'est un fait que j'ai beaucoup moins de mémoire et que je me mêle dans certaines choses qu'avant cette médication. Ça me limite pas mal car, comme je me sais plus "innocent" j'ai peur de moi, des erreurs que je peux faire. Par exemple, je n'aime pas conduire et je me sens à l'abri seulement dans ma tannière ou à peu près. J'exagère à peine, mais la epur est le principal handicap de ma condition et elle est d'autant plus profonde que je sais que je peux faire des errreurs.