Régime méditéranéen.

Près de la moitié des calories consommées chaque jour par les Canadiens (48,3 %) proviennent d'aliments ultra-transformés comme des céréales sucrées, des gâteaux, des friandises et des boissons sucrées, montre une étude publiée par la Fondation des maladies du coeur et de l'AVC.

Selon l’auteur du rapport, Jean-Claude Moubarac, du département de nutrition de la Faculté de médecine de l'Université de Montréal, la consommation d'aliments ultra-transformés atteint un niveau alarmant au Canada et continue même d'augmenter.

L’étude montre que l'apport calorique des aliments ultra-transformés a plus que doublé au cours des 70 dernières années au pays, passant de 24 % à 54 % des achats d'aliments des familles.

Citation :

Les Canadiens se trouvent juste derrière les Américains, au même niveau que les Anglais et les Australiens.
Jean-Claude Moubarac, auteur du rapport

En fait, les Canadiens consomment annuellement au moins 230 kg de ces aliments vides.

Les jeunes Canadiens âgés de 9 à 13 ans en ingèrent plus que tous les autres groupes d’âge.

Ils en tirent pas moins de 57 % de leurs calories. Leurs principales sources d’aliments ultra-transformés sont les boissons sucrées. Ils en boivent en moyenne 578 millilitres par jour, ce qui représente jusqu'à 16 cuillères à thé de sucre.


Des aliments vides

Les aliments ultra-transformés possèdent des qualités nutritionnelles très faibles. Ils sont définis comme étant des préparations industrielles de substances dérivées d'aliments et des additifs qui ne contiennent que peu d'aliments intacts, voire aucun.

Comparativement aux autres groupes alimentaires, ces produits contiennent généralement deux fois plus de calories, trois fois plus de sucres libres et deux fois plus de sodium. Ils fournissent beaucoup moins de protéines, de fibres, de vitamines et de minéraux.

Citation :

Ces produits sont partout, peu coûteux et fortement publicisés.
Jean-Claude Moubarac, auteur du rapport

L’exemple européen

Jean-Claude Moubarac explique que les Français, les Italiens et les habitants des pays du nord de l’Europe consomment beaucoup moins de ce type d’aliments.

En France, par exemple, la cuisine d’aliments frais et peu transformés est beaucoup plus importante.

Le résultat est clair pour M. Moubarac : les Français sont moins gros et souffrent moins de diabète et de maladies chroniques que les Canadiens.

L’exemple européen serait donc à suivre, et particulièrement celui du Danemark, qui a réussi à lier l’agriculture locale et biologique à ses institutions publiques comme les écoles et les hôpitaux.

Mettre sur pied un système alimentaire sain et économiquement viable est donc un modèle que le Québec pourrait suivre, conclut l’auteur du rapport.

A compound found in olive oil may help to prevent cancer developing in the brain, a study shows.

Research into oleic acid -- the primary ingredient in olive oil -- has shown how it can help prevent cancer-causing genes from functioning in cells.

The oily substance -- one of a group of nutrients known as fatty acids -- stimulates the production of a cell molecule whose function is to prevent cancer-causing proteins from forming.

The study team says it is too soon to say whether dietary consumption of olive oil may help prevent brain cancer. Their findings, however, point towards possible therapies based on the oil to prevent brain cancer from occurring.

Scientists from the University of Edinburgh analysed the effect of oleic acid on a cell molecule, known as miR-7, which is active in the brain and is known to suppress the formation of tumours.

They found that oleic acid prevents a cell protein, known as MSI2, from stopping production of miR-7. In this way, the olive oil component supports the production of miR-7, which helps prevent tumours from forming.

Researchers made their discoveries in tests on human cell extracts and in living cells in the lab.

The study, published in the Journal of Molecular Biology, was funded by the Medical Research Council and the Wellcome Trust.

Dr Gracjan Michlewski of the University of Edinburgh's School of Biological Sciences, who led the study, said: "While we cannot yet say that olive oil in the diet helps prevent brain cancer, our findings do suggest that oleic acid can support the production of tumour-suppressing molecules in cells grown in the lab. Further studies could help determine the role that olive oil might have in brain health."

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Un composé trouvé dans l'huile d'olive peut aider à prévenir le développement du cancer dans le cerveau, montre une étude.

La recherche sur l'acide oléique - l'ingrédient principal de l'huile d'olive - a montré comment elle peut aider à empêcher les gènes cancérigènes de fonctionner dans les cellules.

La substance huileuse - l'un d'un groupe d'éléments nutritifs connus sous le nom d'acides gras - stimule la production d'une molécule cellulaire dont la fonction est de prévenir la formation de protéines cancéreuses.

L'équipe d'étude dit qu'il est trop tôt pour dire si la consommation alimentaire d'huile d'olive peut aider à prévenir le cancer du cerveau. Leurs résultats, cependant, indiquent des thérapies possibles basées sur l'huile pour empêcher le cancer du cerveau de se produire.

Des scientifiques de l'Université d'Édimbourg ont analysé l'effet de l'acide oléique sur une molécule cellulaire, connue sous le nom de miR-7, qui est active dans le cerveau et qui supporte la formation de tumeurs.

Ils ont constaté que l'acide oléique empêche une protéine cellulaire, connue sous le nom de MSI2, d'arrêter la production de miR-7. De cette façon, le composant de l'huile d'olive soutient la production de miR-7 qui aide à prévenir la formation de tumeurs.

Les chercheurs ont fait leurs découvertes en tests sur des extraits de cellules humaines et dans des cellules vivantes en laboratoire.

L'étude, publiée dans le Journal of Molecular Biology, a été financée par le Medical Research Council et le Wellcome Trust.

Le Dr Gracjan Michlewski de l'École de sciences biologiques de l'Université d'Édimbourg, qui a dirigé l'étude, a déclaré: "Bien que nous ne puissions pas encore dire que l'huile d'olive dans le régime alimentaire aide à prévenir le cancer du cerveau, nos résultats suggèrent que l'acide oléique peut supporter la production de molécules supprimant le cancer dans les cellules cultivées dans le laboratoire. D'autres études pourraient aider à déterminer le rôle que l'huile d'olive pourrait avoir dans la santé du .

L'huile d'olive protégerait contre plusieurs types de cancers

Des études faites sur l'huile d'olive et le cancer, menée par l'Institut de recherche pharmacologique Mario Negri de Milan (Italie), conclut que la consommation régulière d'huile d'olive pourrait réduire de 38% les risques de cancer du et protégerait contre le cancer colorectal, les cancers de l'appareil respiratoire et du système digestif supérieur.

Le cancer n’aime pas l’huile d’olive extra vierge.

L’oléocanthal, qui donne son goût poivré à l’huile d’olive vierge, présenterait la capacité de tuer certaines cellules cancéreuses. Une étude, réalisée aux Etats-Unis par trois scientifiques, vient de le démontrer. Après avoir appliqué de l’oléocanthal sur des cellules cancéreuses, les scientifiques ont découvert qu’elles mettaient entre trente minutes et une heure à se détruire alors que la mort programmée d’une cellule prend d’ordinaire entre seize et vingt-quatre heures.

Women who eat a Mediterranean diet could cut their risk of womb cancer by more than half (57 per cent), according to a study published today (Wednesday) in the British Journal of Cancer.


The Italian researchers looked at the diets of over 5,000 Italian women to see how closely they stuck to a Mediterranean diet and whether they went on to develop womb cancer*.

The team broke the Mediterranean diet down into nine different components and measured how closely women stuck to them. The diet includes eating lots of vegetables, fruits and nuts, pulses, cereals and potatoes, fish, monounsaturated fats but little meat, milk and other dairy products and moderate alcohol intake.

Researchers found that women who adhered to the Mediterranean diet most closely by eating between seven and nine of the beneficial food groups lowered their risk of womb cancer by more than half (57 per cent).

Those who stuck to six elements of the diet's components reduced their risk of womb cancer by 46 per cent and those who stuck to five reduced their risk by a third (34 per cent). But those women whose diet included fewer than five of the components did not lower their risk of womb cancer significantly.

Dr Cristina Bosetti, lead author from the IRCCS-Istituto di Ricerche Farmacologiche, said: "Our research shows the impact a healthy balanced diet could have on a woman's risk of developing womb cancer. This adds more weight to our understanding of how our every day choices, like what we eat and how active we are, affect our risk of cancer."

The study was funded by the Italian Foundation for Cancer Research, the Swiss National Science Foundation and the Swiss League Against Cancer.

Each year in the UK there are around 8,500 new cases of womb cancer, and rates have increased by around half since the early 1990s in Great Britain.

Dr Julie Sharp, Cancer Research UK's head of health information, said: "While we know that getting older and being overweight both increase a woman's risk of womb cancer, the idea that a Mediterranean diet could help reduce the risk needs more research. This is partly because this study was based on people remembering what they had eaten in the past.

"Cancer risk is affected by our age and our genes but a healthy lifestyle can also play a part in reducing the risk of some cancers. Not smoking, keeping a healthy weight, being active, eating healthily and cutting down on alcohol helps to stack the odds in your favour."

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Les femmes qui mangent un régime méditerranéen pourraient réduire leur risque de cancer de l'utérus par plus de la moitié (57 pour cent), selon une étude publiée aujourd'hui (mercredi) dans le British Journal of Cancer.

Les chercheurs italiens ont étudié les régimes de plus de 5000 femmes italiennes de voir à quel point ces régimes sont collés à un régime méditerranéen et si elles ont développé un cancer utérus *.

L'équipe a divisé le régime méditerranéen en neuf composants différents et mesuré à quel point les femmes collé à eux. Le régime alimentaire comprend manger beaucoup de légumes, fruits et noix, les légumineuses, les céréales et les pommes de terre, les poissons, les acides gras monoinsaturés, mais peu de viande, lait et autres produits laitiers et une consommation modérée d'alcool.

Les chercheurs ont constaté que les femmes qui ont adhéré au régime méditerranéen le plus étroitement en mangeant entre sept et neuf des groupes d'aliments bénéfiques ont abaissé leur risque de cancer de l'utérus par plus de la moitié (57 pour cent).

Ceux qui collé à six éléments des composants de l'alimentation ont réduit leur risque de cancer de l'utérus de 46 pour cent et ceux qui coincé à cinq ont réduit leur risque par un tiers (34 pour cent). Mais ces femmes dont l'alimentation inclus moins de cinq des composants n'a pas abaissé leur risque de cancer de l'utérus de manière significative.

Le Dr Cristina Bosetti, auteur principal de l'IRCCS-Istituto di Ricerche Farmacologiche, a déclaré: «Notre recherche montre l'impact d'une alimentation saine et équilibrée pourrait avoir sur le risque de développer un cancer de l'utérus d'une femme Cela ajoute plus de poids à notre compréhension de la façon dont notre chaque jour les choix, comme ce que nous mangeons et comment nous sommes actifs, affectent notre risque de cancer ".

L'étude a été financée par la Fondation italienne pour la recherche sur le cancer, le Fonds national suisse des sciences et de la Ligue suisse contre le cancer.

Chaque année au Royaume-Uni il ya environ 8.500 nouveaux cas de cancer de l'utérus, et les taux ont augmenté de près de moitié depuis le début des années 1990 en Grande-Bretagne.

Le Dr Julie Sharp, le chef de l'information de santé de Cancer Research UK, a déclaré: "Alors que nous savons que de vieillir et d'être en surpoids augmentent à la fois le risque d'une femme d'avoir un cancer de l'utérus, l'idée qu'un régime méditerranéen pourrait aider à réduire le risque a besoin de plus de recherche parce que cette étude a été basée sur les personnes qui se souveniennent de ce qu'elles avaient mangé dans le passé.

"Le risque de cancer est affectée par notre âge et nos gènes, mais un mode de vie sain peut également jouer un rôle dans la réduction du risque de certains cancers. Ne pas fumer, maintenir un poids sain, étant actif, en mangeant sainement et en réduisant la consommation d'alcool contribue à empiler le chance en votre faveur ".

Une étude américaine de grande ampleur étaye encore plus les bienfaits du régime méditerranéen sur la santé féminine.

Des chercheurs de la Harvard Medical School et du Brigham and Women's Hospital de Boston ont évalué les régimes et les données médicales de 10 670 femmes en fin de cinquantaine et début de soixantaine entre 1984 et 1986.

Après les avoir suivies pendant 15 années, l'équipe a découvert que les femmes qui suivaient le régime méditerranéen étaient plus susceptibles (à 40%) de vivre au-delà de 70 ans sans maladie cardiaque, diabète, ni d'autres maladies chroniques.

Cette étude, financée par le US National Cancer Institute et l'US National Institutes of Health est parue le 5 novembre dans la revue Annals of Internal Medicine.

Le régime méditerranéen met l'accent sur les fruits et les légumes, les céréales complètes, le poisson au détriment des viandes rouges et évite les produits industriels et raffinés. L'huile d'olive figure aussi parmi les aliments plébiscités par cette alimentation, ainsi qu'une consommation modérée de vin rouge.

Cette étude vient s'ajouter à une montagne de recherches précédentes qui avaient déjà souligné les bienfaits de ce type d'alimentation sur la santé. Des chercheurs de l'Université de Navarre en Espagne ont découvert qu'une alimentation riche en huile d'olive, noix, fruits et légumes et vin peut réduire les risques de problèmes cardiovasculaires. Ils ont publié leurs résultats en février dans le New England Journal of Medicine.

L’arrêt du tabagisme, la pratique d’une activité physique, la limitation de la consommation d’alcool, de viande rouge et de viandes transformées, telles sont les recommandations déjà émises pour réduire le risque de développer un cancer du colon. Et selon les chercheurs de l’Institut national pour la santé Publique et l’Environnement des Pays-Bas, le cholestérol HDL jouerait également un rôle dans la prévention de cette maladie.

Les auteurs ont suivi 2476 personnes dont 779 souffrant d’un cancer du colon et 459 souffrant d’un cancer rectal afin d’évaluer la relation entre les taux de lipides et le risque de cancer colorectal.

Verdict : les personnes qui ont les taux de cholestérol HDL les plus élevés sont celles qui ont le moins de risques de cancer du colon. Toute augmentation de 16,6 milligrammes par décilitre du cholestérol HDL réduit le risque de cancer de 22 %.

Pour les scientifiques en charge de l’étude, il est possible que les propriétés anti-inflammatoires du cholestérol HDL expliquent les bénéfices observés.

On connaissait les vertus de l‘huile d’olive pour favoriser le bon fonctionement du système cardiovasculaire et pour sa teneur en antioxydants.

En 2006 une étude avait également montré qu’une consommation régulière entrainait une augmentation du "bon cholestérol" et une réduction du stress oxydatif.

Aujourd’hui, une autre étude vient vanter les mérites de l’huile d’olive : des chercheurs espagnols ont en effet publié une série de résultats dans le journal Carcinogenesis.

Selon eux, le gène p21Ras, favorisant la croissance des tumeurs du cancer du sein, serait désactivé par les composantes de l’huile d’olive. Cette dernière neutraliserait également les protéines nécessaires au développement des cellules cancéreuses.

Et pas besoin d'en boire des bidons, car 50 ml (1 filet d’huile d’olive extra vierge) chaque jour, suffirait à protéger l’organisme.

En voulant savoir pourquoi les personnes adoptant un régime alimentaire riche en huile d’olive avaient moins de cancer, des chercheurs espagnols de l’Universitat Autònoma de Barcelone ont découvert que l’huile d’olive était particulièrement efficace contre le cancer du sein.

En fait, il ne suffirait que d’un filet d’huile par jour pour que cela soit efficace. L’huile attaque sur plusieurs fronts les tumeurs et retarde leur croissance, forçant la destruction des cellules. De plus, elle protège des dommages potentiellement cancéreux sur l’ADN.

Après avoir fait des expériences sur des rats, les chercheurs ont constaté que l’huile déjoue un gène qui favorise la croissance des tumeurs au sein. De plus, l’huile d’olive freine aussi un gène à l’origine du durcissement des artères et des maladies cardiaques.

Ce n’est pas la première fois que l’on prône les bienfaits d’un régime méditerranéen, qui contient beaucoup d’huile d’olive notamment. Ce type de régime faible en viande rouge et en produits laitiers a des effets préventifs sur les cancers, les maladies cardiovasculaires, l’Alzheimer et le Parkinson.

TRUCS ET CONSEILS - Truc santé sur l'huile d'olive


Riche en gras monoinsaturés et en oméga 3, l'huile d'olive est un aliment essentiel au maintien d'une bonne santé et à la prévention des maladies cardiovasculaires. Utilisez la non seulement dans toutes vos salades, mais aussi pour faire cuire vos poissons, viandes et légumes sur la cuisinière ! Mais faites attention à ne pas trop faire chauffer l'huile, elle ne doit pas fumer, puisqu'elle perdra alors ses propriétés.

Voici une observation qui semble donner raison au docteur Béliveau ici et à Servan-Screiber en France (je ne suis pas sûr s'il est docteur...) même en France il y a une disparité dans le nombre de cas de cancer entre le nord et le sud et on attribue cette situation de fait au régime différent dans le sud : les gens mangeraient plus de fruits et de légumes soit parce qu'ils sont plus riches ou parce que les fruits et légumes sont plus abondants et meilleurs ?!

Ce n'est pas prouvé mais les indices s'accumulent qui pointent le rôle protecteur des fruits et légumes.

Citation :

Cancer : inégaux face à la maladie
Le cancer est aujourd'hui la première cause de mortalité en France. Au total, 150.000 personnes meurent de cette maladie par an. C'est 35% de plus qu'en 1970 ! Mais les Français ne sont pas tous égaux face au cancer. C'est ce que révèle l'étude intitulée "Atlas de la mortalité par cancer" publiée par l'Institut national du cancer.
Premier constat : le nord de la France est particulièrement touché. Le taux de mortalité par cancer y est de 1,5 à 2 fois plus élevé que dans le Sud.
Et la maladie diffère selon les régions. Les cancers digestifs sont notamment moins nombreux dans les départements proches de la Méditerranée, où l'on consomme beaucoup de fruits et de légumes.
L'explication n'est pas seulement alimentaire, elle est également sociale. Dans des régions plus touchées que d'autres par le chômage, la précarité et le vieillissement de la population, le taux de mortalité par cancer est plus important.
"Cette précarité sociale induit une inégalité vis-à-vis de la maladie, si on est moins bien nourri, si on a moins d'argent pour remplir le panier de la ménagère, alors effectivement l'alimentation peut être un facteur qui explique un sur-risque de maladie", indique Roland Bugat, professeur de cancérologie.
Ces disparités face au cancer selon les régions sont encore plus importantes pour les hommes. Principales raisons invoquées : le tabac, l'alcool et les comportements alimentaires. Les scientifiques mettent également en avant les environnements de travail plus à risque chez les hommes ainsi que des attitudes différentes face aux soins.
Une lueur d'espoir toutefois : le dépistage et les traitements s'améliorent pour les cancers les plus fréquents, comme le cancer du sein ou de la prostate

Polyphénols de l’huile d’olive: futur traitement du cancer du sein ?

Paris, 19/12/2008, LJS.com
Vous connaissez les polyphénols ? Ils feront peut être partie des médicaments de demain contre le cancer… Une nouvelle étude montre qu’un polyphénol contenu dans l’huile d’olive extra vierge inhibe un gène impliqué dans le cancer du sein.

L’huile d’olive extra vierge de bonne qualité contient un grand nombre de composés « phytochimiques » qui peuvent entrainer la mort des cellules cancéreuses. Une nouvelle étude publiée dans la revue BMC Cancer met en avant les atouts de l’huile d’olive vierge contre le cancer du sein.

Javier Menendez, de l'Institut catalan d'oncologie et Antonio Segura-Carretero de l'Université de Grenade en Espagne ont voulu savoir quels composants de l’huile étaient les plus actifs contre le cancer.

« Nos résultats révèlent pour la première fois que les polyphénols présents dans l’huile d’olive extra vierge suppriment la surexpression du gène HER2 impliqué dans le cancer du sein » précise Javier Menendez.

(Sep. 12, 2008) — Sticking to a full Mediterranean diet provides substantial protection against major chronic diseases including heart disease, cancer and Parkinson's and Alzheimer's disease, according to a study published on the British Medical Journal website.

Un régime méditéranéen suivi strictement fournit une protection contre les maladies chroniques comme le cancer et autres



The Mediterranean diet has a reputation for being a model of healthy eating. It is rich in olive oil, grains, fruits, nuts, vegetables, and fish, but low in meat, dairy products and alcohol.

Le régime méditéranéen est à base d'huile d'olive, de grains, de fruits, de noix et de poisson et comporte peu de viande , de produits laitiers et d'alcool.