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 Comme une panthère dans la ville.

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Optimiste
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MessageSujet: Re: Comme une panthère dans la ville.   Comme une panthère dans la ville. Icon_minitimeMer 6 Juil 2005 - 7:56

bin parce que les gens ayant peur , mal pensent que la mort est une solution adequate ...
Bien sur c'est un leurre , car rien n'apaise la mort d'un enfant pas meme la mort de son criminel ...
Mais je pense que su les tribunaux sont trop "doux " sur la sanction , cela entraine ces idées de vengeance , donc de retablissement de la peine capitale , hélas ..
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Papillon

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MessageSujet: Re: Comme une panthère dans la ville.   Comme une panthère dans la ville. Icon_minitimeMer 6 Juil 2005 - 7:50

Optimiste a écrit:
je suis plus d'accord effectivement que la peine est trop minime en rapport aus crimes commis et que parfois in risque de se dire qu ' il vaut mieux mieux violer et tuer que voler ...Effarant et pousse à revenir à la peine de mort malheureusement ...

Pourquoi la peine de mort?
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Optimiste
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MessageSujet: Re: Comme une panthère dans la ville.   Comme une panthère dans la ville. Icon_minitimeMer 6 Juil 2005 - 7:07

je suis plus d'accord effectivement que la peine est trop minime en rapport aus crimes commis et que parfois in risque de se dire qu ' il vaut mieux mieux violer et tuer que voler ...Effarant et pousse à revenir à la peine de mort malheureusement ...
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Denis
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MessageSujet: Re: Comme une panthère dans la ville.   Comme une panthère dans la ville. Icon_minitimeMar 5 Juil 2005 - 22:20

Voici un autre article sur le sujet.

Citation :
Les parents des victimes d'Homolka ne croient pas à ses remords
PAR COLIN PERKEL



TORONTO (PC) - Le portrait que Karla Homolka a dressé d'elle-même lundi à l'émission Le Point de Radio-Canada n'est rien d'autre qu'une performance très bien rendue d'une psychopathe qui ne comprend pas son état de dépravation, ont affirmé les familles de ses victimes encore endeuillées.

Lundi, Homolka a déclaré qu'elle était incapable de se pardonner, qu'elle pleurait souvent et qu'elle était pleine de remords.

Parlant au nom des familles des victimes d'Homolka et de son ex-mari, Paul Bernardo, l'avocat Tim Danson a vertement critiqué l'entrevue accordée par la criminelle moins de deux heures après sa sortie de prison. Il a qualifié la criminelle de cynique et de manipulatrice.

"Elle n'a pas de vision ou de compréhension de la profondeur de sa criminalité au-delà des mots creux, et il est clair qu'elle ne conçoit pas la douleur et les souffrances qu'elle a causées.

"L'opinion des familles est que la performance de Karla Homolka (lundi soir) n'était que cela: c'était une performance."

Homolka a été remise en liberté lundi au pénitencier de Sainte-Anne-des-Plaines, au nord de Montréal, après avoir purgé au complet la peine de 12 ans qui lui avait été imposée pour les meurtres de Leslie Mahaffy et Kristen French.

"Souvent je pleure. Je n'arrive pas à me pardonner. Je pense à ce que j'ai fait. Souvent je pense que je ne mérite pas d'être heureuse à cause de ça", a dit Homolka à la journaliste de Radio-Canada qui l'a interviewée.

L'avocat Danson est d'avis que personne ne devrait être dupe.

"Pas une fois au cours de toutes ces années Homolka n'a écrit aux familles. Elle n'a jamais exprimé de remords, de regret. Elle n'a jamais présenté d'excuses.

"Nous ne pourrons jamais oublier ce qu'elle a fait, et ce qu'elle a fait aux enfants de mes clients était sadique, brutal et barbare."

Me Danson a dit que les yeux d'Homolka durant l'entrevue étaient "vides" et "morts". Selon lui, les gens ont finalement eu l'occasion de voir la "véritable" Homolka, quelqu'un de "dur" et de contrôleur.

"C'est le même genre de discipline et de contrôle que Karla Homolka a exercés lorsqu'elle était seule avec Leslie Mahaffy et Kristen French alors qu'elle a eu l'occasion de libérer ces filles mais qu'elle a choisi de ne pas le faire."

Et, après avoir tenté d'éloigner les médias et de les empêcher de rapporter ses faits et gestes, elle s'est empressée d'accorder une entrevue à Radio-Canada, a fait remarquer Me Danson.

"L'hypocrisie est remarquable."

L'avocat a par ailleurs affirmé que les familles projettent de rassembler des experts, des psychiatres et des psychologues pour démontrer que la criminelle est encore dangereuse et qu'elle devrait demeurer soumise aux restrictions imposées pour sa remise en liberté.

"Karla Homolka est une psychopathe et il n'y a pas de traitement médical."



© La Presse Canadienne, 2005

Les bonnes gens ne sont pas du tout protégées des criminels (les) dans ce pays. 12 ans pour ce qu'elle a fait, c'est un scandale. 3 personnes y compris sa petite soeur ont été violées et sont mortes. Ce qui veut dire qu'elle a fait 4 ans de prison pour chacun des meurtres barbares, 4 ans c'est rien, c'est ridicule.

À force d'entendre des choses pareils, il va venir un temps où les gens vont se faire justice eux-mêmes.

Régis
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frederic

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MessageSujet: Re: Comme une panthère dans la ville.   Comme une panthère dans la ville. Icon_minitimeMar 5 Juil 2005 - 19:00

En tout cas, je peux te dire que ce genre de personne me fait vomir. Si elle était entrain de se faire assasiner dans la rue et que je passais par là, je tournerais la tête et continurais ma route. C'est le même genre que Dutrou(pas sûr de l'orthographe) en Belgique.
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MessageSujet: Re: Comme une panthère dans la ville.   Comme une panthère dans la ville. Icon_minitimeMar 5 Juil 2005 - 17:01

Non Fred , pas d'exception , jamais pour cela , ces humains ont été des enfants , des bébés , ils sont "malades " mais humains ....
Je sais pas etayer mais c'est trop grave , c'est faire comme eux mais en conscience !
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frederic

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MessageSujet: Re: Comme une panthère dans la ville.   Comme une panthère dans la ville. Icon_minitimeMar 5 Juil 2005 - 16:25

Il y a des cas d"exeption ma chère. Il y a des crimes qui sont impardannables. Ces criminels doivent disparaitre pour toujours et ainsi assurer la tranquilité d'esprit de l'ensemble des citoyens. C'est la seule façon de s'assurer qu'ils ne recommenceront pas. La prison à vie n'est pas une option car les prisons canadiennes sont des cluds med et c'est une vraie farce que d'y être incarcéré.
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MessageSujet: Re: Comme une panthère dans la ville.   Comme une panthère dans la ville. Icon_minitimeMar 5 Juil 2005 - 15:46

Oh non , Fred !!!! pas cela , elle merite sans doute l'incarceration à vie , mais pas la mort , on ne peut etre pour la mort donnée lorsqu'on a si durement lutté pour sa vie .....Toute vie est sacrée et pas au sens religieux , dont je me tamponne le coquillard , mais au sens de la vie , d'un homme et d'une femme qui ont "commis" l'acte d'amour et ont conçus ....
Je peux pas être pour la peine de mort ....
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frederic

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MessageSujet: Re: Comme une panthère dans la ville.   Comme une panthère dans la ville. Icon_minitimeMar 5 Juil 2005 - 15:34

Tout ce qu'elle mérite c'est une exécution à coup de hache.
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Denis
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MessageSujet: Re: Comme une panthère dans la ville.   Comme une panthère dans la ville. Icon_minitimeMar 5 Juil 2005 - 13:32

Je copie cet article d'yves Boivert ici parce que je le trouve bien écrit. La personne semble dire elle-même que 12 ans pour la mort de 3 jeunes filles dont elle a participé au viol et au meurtre ce n'est pas beaucoup. Elle n'est pas loin de rêver d'avoir un couvert par-dessus elle et de ne plus rien sentir.

L'article en question s'appelle :Un cappuccino glacé

Citation :
Yves Boisvert

La Presse

À quoi rêve Karla Homolka, maintenant qu'elle est en liberté après 12 ans de détention?


La réponse est venue spontanément, avec un sourire éclatant: un cappuccino glacé de chez Tim Hortons.

En fait, elle devrait en parler à son psy: Karla Homolka ne rêve pas seulement de boire un cappuccino glacé. Elle rêve d'être un cappuccino glacé. Le cappuccino est un café qui tient son nom du capuchon des moines capucins, qui ont la tête cachée dans ces grands capuchons marron. Ils sont hors du monde.

Uniques et anonymes en même temps, sans identité.

Mais même hors du monde des humains, le souvenir de l'irréparable hante le moine.

Il ne suffit donc pas d'être un cappuccino. Il lui faut être glacé. Il lui faut être gelé. Comment vivre avec ça sans être gelé?

Ça: le meurtre et le viol de trois filles par son mari, Paul Bernardo, auxquels elle a activement participé. Le meurtre et le viol, notamment, de sa propre soeur.


Sa propre petite soeur.

Il fallait être gelé pour y participer. Il faut de la glace pour y survivre.

Elle a d'ailleurs encore cette même glace dans son oeil à moitié fermé par cette paupière lourde de toutes les noirceurs du monde.

Et puis, il y a ceci qui n'est pas agréable à admettre, mais qui apparaît toute de suite au téléspectateur stupéfait du lundi soir: ce monstre-là n'est pas sans beauté. La beauté du diable, cela existe.

Pire encore, la femme n'est pas stupide. C'est peu dire qu'elle est plus intelligente que la moyenne des détenus. Elle est plus intelligente que la moyenne, point. Elle avait presque toutes les bonnes réponses aux questions de Joyce Napier, hier soir à Radio-Canada.-

Avez-vous payé votre dette à la société?-

Légalement, oui. Émotionnellement et socialement, non.

Souvent elle pleure, figurez-vous. Elle n'arrive pas à se pardonner. Elle n'est pas si seule, finalement. «Je ne mérite pas d'être heureuse à cause de ce que j'ai fait», dit-elle. Elle admet qu'elle aurait pu faire quelque chose pour empêcher l'horreur, qu'elle en avait le pouvoir... mais elle était «dans une situation où je n'étais pas capable de voir clair». L'aveu, comme on voit, se mêle à l'excuse. Mais elle dit tout cela posément.

Et votre mère? «Elle déteste ce que j'ai fait, mais elle m'aime.» Votre père? «Lui aussi.»

Vous installez-vous au Québec parce qu'ici on connaît moins les détails de vos crimes? a demandé Joyce Napier.

Pas vraiment, puisque ces détails sont maintenant accessibles à tous, dit-elle. Elle «aime le peuple ici», voyez-vous, et elle parle maintenant un français québécois irréprochable.

Mais même si on prend connaissance de l'horreur, 12 ans après sa condamnation, on ne l'a pas vécue aussi intensément, en direct, comme les gens de Toronto ont pu la vivre pendant le procès, par exemple.

Il y a donc dans ce choix du Québec un calcul évident, pour une femme qui, de toute manière, n'est la bienvenue nulle part. Ce qu'on sait des années plus tard ne marque pas autant.

Comme, bien entendu, il y a un calcul dans la décision de se présenter, visage découvert, devant tout le monde, pour (peut-être) faire cesser la chasse absurde à l'image. Et devant un média francophone.

Dans cette inévitable manipulation médiatique, librement consentie, Karla Homolka veut nous convaincre non pas qu'elle peut se réhabiliter (pas si vite!), mais qu'elle n'est pas dangereuse.

Voyez l'habileté de la manoeuvre: elle n'essaie pas de nous dire qu'elle n'est pas coupable; elle admet même qu'elle n'a pas payé vraiment pour ses crimes impardonnables. Elle veut s'occuper du futur. Nous dire qu'elle a changé. Qu'il n'y a rien à craindre pour l'avenir.

Elle veut boire quelque chose de très froid et de très ordinaire et fondre dans la foule.

Et au moment où j'écris ces lignes, à chaud, vers les 23h, je n'ai pas peur d'elle et je n'ai pas confiance.
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Denis
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Denis


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MessageSujet: Comme une panthère dans la ville.   Comme une panthère dans la ville. Icon_minitimeMar 31 Mai 2005 - 10:19

Comme une panthère dans la ville. N053040AU

QUEBEC (PC) - Le Procureur général du Québec tentera de faire la démonstration, jeudi, que Karla Homolka présente toujours un danger pour la société, et qu'il faut donc lui imposer des restrictions sévères dès sa sortie de prison de Joliette.

Cette démarche, fondée sur l'article 810.2 du Code criminel, est exceptionnelle.

Accompagnés d'un procureur de l'Ontario, les procureurs du ministère de la Justice demanderont à un juge de la Cour du Québec, chambre criminelle, de limiter la liberté de mouvement de la célèbre criminelle ontarienne, qui doit recouvrer sa liberté le mois prochain après une peine de 12 ans d'emprisonnement.

En avril, l'Ontario avait demandé l'aide de Québec en vue d'obtenir une ordonnance de la cour. Mais devant la menace que présente Homolka, qui entend s'installer à Montréal en sortant de prison, selon certaines informations, Québec a décidé non seulement d'appuyer l'Ontario, mais de jouer un rôle actif dans le dossier, en prenant l'initiative de la demande d'ordonnance.

Une porte-parole du ministère de la Justice a expliqué, lundi, que les procureurs devront démontrer qu'une fois libre et laissée sans surveillance l'ex-épouse de Paul Bernardo risquerait d'imposer des "sévices graves" à des personnes.

Le ministère refuse pour l'instant d'énumérer les demandes précises qui seront formulées au juge, jeudi. Mais elles devraient comporter l'obligation de respecter un couvre-feu, de se rapporter à la police régulièrement, et prévenir les autorités si elle quitte le Québec.

De telles restrictions ne valent que pour un an. Au terme de l'échéance, le processus est à recommencer.

Le 5 juillet, Karla Homolka aura officiellement fini de payer sa dette à la société, mais elle pourrait se promener dans les rues de Montréal dès le 23 juin.

Elle a été reconnue coupable d'homicide involontaire et a écopé d'une peine de 12 ans d'incarcération, en 1993, pour les meurtres sordides de deux adolescentes, Leslie Mahaffy et Kristen French, après avoir témoigné contre son époux.

Karla Homolka, qui aurait appris le français durant son incarcération, sera présente au Palais de justice de Joliette ce jeudi pour entendre les arguments des avocats.

Elle est toujours considérée comme étant dangereuse par la Commission des libérations conditionnelles.

Le nom du juge ne sera connu que jeudi, lors de la tenue de l'audience, qui sera entourée de mesures de sécurité exceptionnelles.

Article de cyberpresse.ca
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MessageSujet: Re: Comme une panthère dans la ville.   Comme une panthère dans la ville. Icon_minitime

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