The therapy uses Clostridium sporogenes -- a bacterium that is widespread in the soil. Spores of the bacterium are injected into patients and only grow in solid tumours, where a specific bacterial enzyme is produced. An anti-cancer drug is injected separately into the patient in an inactive 'pro-drug' form. When the pro-drug reaches the site of the tumour, the bacterial enzyme activates the drug, allowing it to destroy only the cells in its vicinity -- the tumour cells.
La thérapie utilise le Clostrodium sporogenes, une bactérie qui est largement répandu dans le sol. Les spores de la bactérie sont injectées dans les patients et croissent seulement dans les tumeurs solides, ou un enzyme bactérienne est produite. Un médicament anti-cancer est injecté séparément dans le patient dans une forme inactive. Quand le médicamnet anti-cancer atteint le site de la tumeur, l'enzyme bactérienne active le médicament, lui permettant de détruire seulement les cellules cancéreuses.
Researchers at the University of Nottingham and the University of Maastricht have now overcome the hurdles that have so far prevented this therapy from entering clinical trials. They have introduced a gene for a much-improved version of the enzyme into the C. sporogenes DNA. The improved enzyme can now be produced in far greater quantities in the tumour than previous versions, and is more efficient at converting the pro-drug into its active form.
Les chercheurs à l'université de nottingham et à l'université de Maastrich ont vaincu les résistances qu'ils pouvaient avoir pour commencer les essais cliniques. Ils ont introduit un gène d'une version plus testé dans l'adn du Clostrodium aprorogenes. Cet enzyme éprouvé peut être produite en plus grande quantité et il est plus efficace pour activer le médicament anti-cancer.
A fundamental requirement for any new cancer therapy is the ability to target cancer cells while excluding healthy cells. Professor Nigel Minton, who is leading the research, explains how this therapy naturally fulfils this need. "Clostridia are an ancient group of bacteria that evolved on the planet before it had an oxygen-rich atmosphere and so they thrive in low oxygen conditions. When Clostridia spores are injected into a cancer patient, they will only grow in oxygen-depleted environments, i.e. the centre of solid tumours. This is a totally natural phenomenon, which requires no fundamental alterations and is exquisitely specific. We can exploit this specificity to kill tumour cells but leave healthy tissue unscathed," he said.
Une exigence fondamentale pour les nouvelles thérapies contre le cancer et leurs capacités à cibler les cellules cancéreuses sans attaquer les cellules saines. Le professeur Nigel Milton qui conduit la recherche explique comment cette thérapie remplit cette condition naturellement. La clostridia est une bactérie qui a proliférer sur la terre avant qu'il y ait une atmosphère riche en oxygène et ainsi elle s'est habituée à cette condition. quand les spores de la Clostridia sont injecté dans le patient, ils vont croitre seulement dans les endroits privés d'oxygène c'et-à-dire au centre des tumeurs solides. C'est un phénomène totalement naturel et spécifique qui ne demande pas d'altérations. Nous pouvons alors exploiter cette spécificité pour tuer les cellules cancéreuses tout en ne touchant pas aux cellules saines.
The research may ultimately lead to a simple and safe procedure for curing a wide range of solid tumours. "This therapy will kill all types of tumour cell. The treatment is superior to a surgical procedure, especially for patients at high risk or with difficult tumour locations," explained Professor Minton. "We anticipate that the strain we have developed will be used in a clinical trial in 2013 led by Jan Theys and Philippe Lambin at the University of Maastricht in The Netherlands. A successful outcome could lead to its adoption as a frontline therapy for treating solid tumours. If the approach is successfully combined with more traditional approaches this could increase our chance of winning the battle against cancerous tumours."
Cette recherche peut ultimement conduire à une procédure simple et efficace pour se débarasser d'une variété de tumeurs solides. Cette thérapie pourra tuer toutes les sortes de cellules cancéreuses. Le traitement est supérieur à la chirugie spécialement pour les patients à haut risque ou avec des tumeurs difficiles d'accès. Nous anticipons que la souche bactérienne que nous avons développer sera utlisier en 2013 dans un essai clinique qui se tiendra à Maastrich aux pays bas. Une résussite de cet essai pourrait conduire à son adoption comme thérapie de première ligne pour traiter les tumeurs solides. Si cette approche est combiné correctement avec des thérapies plus conventionnelles, cel apourrait augmenter nos chances de ganger la bataille contre les tumeurs canécreuses.