La science nous livre parfois de curieuses associations mais elles trouvent toujours leur explication. Ici c’est la calvitie précoce, c’est-à-dire vers 40 ans qui est associée à un risque accru de cancer de la prostate. Cette étude australienne, présentée dans Cancer Epidemiology Biomarkers and Prevention qui, précisons-le n’a pas évalué les taux de mortalité, ne doit pas désespérer les hommes jeunes atteint d’alopécie androgénétique, en particulier, rappellent les auteurs, parce que de nombreux cas de cancer de la prostate ne sont pas agressifs.