Renforcer le systhème immunitaire

Ce mélange est appelé le mélange doré car son apparence, mais aussi son efficacité, sont associés à l’or.

Ce mélange doré est recommandé pour les infections bactériennes et virales, les problèmes d’allergie, en particulier de saison, mais aussi comme une aide extraordinaire pour renforcer le système immunitaire. Il représente également un excellent moyen de prévention du cancer.

Si l’on regarde les études scientifiques les plus récentes sur les ingrédients de base de ce mélange, cela devient clair pourquoi il est si puissant et efficace. Il est composé de deux ingrédients super-puissants: le miel et le curcuma, qui donnent la couleur dorée et aussi le nom à ce mélange.

Depuis de nombreux siècles, le miel est connu comme l’un des meilleurs remèdes naturels et nous pouvons également dire la même chose du curcuma, qui est surtout utilisé en Asie, notamment en Chine et en Inde où il représente l’ingrédient de base pour de nombreux remèdes traditionnels.

La confirmation de cette utilisation traditionnelle provient d’études scientifiques publiées récemment dans les centres scientifiques les plus éminents du monde. Le curcuma et le miel, les principaux ingrédients de ce mélange doré, séparément, mais également combinés, ont un effet anti-inflammatoire, antibactérien et anti-cancer.

Contrairement aux remèdes chimiques qui ont la plupart du temps différents effets secondaires, le mélange doré représente une combinaison idéale qui n’a pas d’effets secondaires, alors que dans le même temps, il améliore votre digestion et vos intestins.

Mélangez le curcuma, le poivre et le vinaigre de cidre. Ajoutez le zeste de citron et le miel à la fin. Mélangez jusqu’à ce que tous les ingrédients s’associent.

Stockez le mélange dans un bocal en verre avec un couvercle, dans le réfrigérateur. Si vous n’êtes pas sûr que le citron soit bio, alors utilisez une de ces techniques pour enlever les pesticides ou utilisez du jus de citron à la place du zeste.

Nous ajoutons du poivre noir dans ce mélange pour améliorer et accélérer l’absorption du curcuma, ce qui est prouvé scientifiquement et dans la pratique.

Comment l’utiliser:

Pour un effet anti-cancer, renforcer l’immunité, votre santé générale et contre les allergies saisonnières, il est nécessaire de consommer une cuillère à soupe du mélange doré, chaque jour, de préférence le matin.

Si vous sentez que vous attrapez un rhume, une grippe ou une autre infection (de vos poumons, de la gorge, etc., avec une augmentation de la température), il est nécessaire d’utiliser une demi-cuillère à café toutes les heures les deux premiers jours de la maladie. Puis, une demi-cuillère à café toutes les deux heures le troisième et le quatrième jour et à la fin, la moitié d’une cuillère à café trois fois par jour, pour le reste de la période de la maladie, notamment tant que les symptômes ne disparaissent pas.

Il est très important d’utiliser le mélange doré de la bonne manière. Il est nécessaire de mettre le mélange dans votre bouche et d’attendre qu’il soit complètement fondu. Après l’avoir consommé, vous ne devez pas boire de l’eau immédiatement ou vous rincer la bouche. Vous ne ferez pas d’erreur si vous ajoutez le mélange doré dans votre thé, tant qu’il est tiède, de sorte que les propriétés curatives ne soient pas détruites.

Low doses of the anti-cancer drug imatinib can spur the bone marrow to produce more innate immune cells to fight against bacterial infections, Emory researchers have found.

The results were published March 30, 2015 in the journal PLOS Pathogens.

The findings suggest imatinib, known commercially as Gleevec , or related drugs could help doctors treat a wide variety of infections, including those that are resistant to antibiotics, or in patients who have weakened immune systems. The research was performed in mice and on human bone marrow cells in vitro, but provides information on how to dose imatinib for new clinical applications.

"We think that low doses of imatinib are mimicking 'emergency hematopoiesis,' a normal early response to infection," says senior author Daniel Kalman, PhD, professor of pathology and laboratory medicine at Emory University School of Medicine.

Imatinib, is an example of a "targeted therapy" against certain types of cancer. It blocks tyrosine kinase enzymes, which are dysregulated in cancers such as chronic myelogenous leukemia and gastrointestinal stromal tumors.

Imatinib also inhibits normal forms of these enzymes that are found in healthy cells. Several pathogens -- both bacteria and viruses -- exploit these enzymes as they transit into, through, or out of human cells. Researchers have previously found that imatinib or related drugs can inhibit infection of cells by pathogens that are very different from each other, including tuberculosis bacteria and Ebola virus.

In the new PLOS Pathogens paper, Emory investigators show that imatinib can push the immune system to combat a variety of bacteria, even those that do not exploit Abl enzymes. The drug does so by stimulating the bone marrow to make more neutrophils and macrophages, immune cells that are important for resisting bacterial infection.

"This was surprising because there are reports that imatinib can be immunosuppressive in some patients," Kalman says. "Our data suggest that at sub-clinical doses, imatinib can stimulate bone marrow stem cells to produce several types of myeloid cells, such as neutrophils and macrophages, and trigger their exodus from the bone marrow. However, higher doses appear to inhibit this process."

The authors note that imatinib appears to stimulate several types of white blood cells, which may provide a limit on inflammation, rather than increasing neutrophils only, which can be harmful. The authors go on to suggest that imatinib or related drugs may be useful in treating a variety of infections in patients whose immune system is compromised, such as those receiving chemotherapy for cancer.

---


De faibles doses du médicament anti-cancer imatinib peuvent stimuler la moelle osseuse à produire des cellules immunitaires innées plus pour lutter contre les infections bactériennes, selon les chercheurs.

Les résultats sont publiés le 30 Mars, 2015 dans le revue PLoS Pathogens.

Les résultats suggèrent qu'imatinib, connu commercialement sous le Gleevec, ou des médicaments connexes, pourraient aider les médecins à traiter une grande variété d'infections, y compris ceux qui sont résistantes aux antibiotiques, ou chez les patients qui ont un système immunitaire affaibli. La recherche a été effectuée chez la souris et sur des cellules de moelle osseuse humaine in vitro, mais fournit des informations sur la dose imatinib pour de nouvelles applications cliniques.

"Nous pensons que de faibles doses d'imatinib imitent l'hématopoïèse d'urgence,« une réponse normale à l'infection au début », dit l'auteur principal Daniel Kalman, PhD, professeur de pathologie et de médecine de laboratoire à l'École de médecine de l'Université Emory.

Imatinib, est un exemple de «thérapie ciblée» contre certains types de cancer. Il bloque les enzymes tyrosine kinases, qui sont dérégulée dans les cancers tels que la leucémie myéloïde chronique et des tumeurs stromales gastro-intestinales.

L'imatinib inhibe également les formes normales de ces enzymes que l'on trouve dans les cellules saines. Plusieurs agents pathogènes - les deux bactéries et virus - exploitent ces enzymes car ils transit dans, à travers ou sur des cellules humaines. Les chercheurs ont précédemment trouvé que les médicaments à l'imatinib ou liés peuvent inhiber l'infection des cellules par des agents pathogènes qui sont très différents les uns des autres, y compris les bactéries de la tuberculose et du virus Ebola.

Dans le nouveau document PLoS Pathogens, les enquêteurs Emory montrent que l'imatinib peut pousser le système immunitaire pour lutter contre une variété de bactéries, même ceux qui n'exploitent pas les enzymes Abl. Le médicament agit en stimulant la moelle osseuse pour faire plus de neutrophiles et de macrophages, des cellules immunitaires qui sont importantes pour résister à une infection bactérienne.

«Ce était surprenant parce qu'il ya des rapports que l'imatinib peut être immunosuppresseur chez certains patients», dit Kalman. "Nos données suggèrent que dans des doses sub-cliniques, l'imatinib peut stimuler les cellules souches de la moelle osseuse à produire plusieurs types de cellules myéloïdes, telles que les neutrophiles et les macrophages, et déclencher leur exode de la moelle osseuse. Cependant, des doses plus élevées semblent inhiber ce processus ».

Les auteurs notent que l'imatinib semble stimuler plusieurs types de globules blancs, ce qui peut fournir une limite à l'inflammation, plutôt que d'augmenter les neutrophiles, qui peuvent être nocifs. Les auteurs suggérent que l'imatinib ou de médicaments apparentés peuvent être utiles dans le traitement d'une variété d'infections chez des patients dont le système immunitaire est compromis, tels que ceux recevant une chimiothérapie pour le cancer.

IMMUNITÉ ET CANCER

En plus de son action essentielle contre les agressions extérieures, on soupçonne depuis longtemps que le système immunitaire pourrait également reconnaître les cellules cancéreuses qui se forment en nous et participer à leur élimination. D'ailleurs, il est maintenant bien connu que pour pouvoir progresser, le cancer doit absolument développer la capacité de leurrer le système immunitaire et ainsi éviter d'être détruit dès son apparition. En ce sens, une immunité déficiente représente un important facteur de risque de cancer: par exemple, des études ont montré que la suppression du système immunitaire, par exemple lors de la transplantation d'organes, favorise l'apparition de certains cancers. Même phénomène chez les personnes qui deviennent immunodéprimées suite à des maladies graves, par exemple le SIDA: ces patients sont touchés par des cancers très rares, en particulier le sarcome de Kaposi.

À l'opposé, un système immunitaire suractivé chez les personnes allergiques pourrait donc avoir des répercussions importantes pour la prévention du cancer, en dépit des nombreux ennuis causés par les allergies.

RÉDUCTION DU RISQUE DE CANCER

Cette hypothèse est supportée par des études épidémiologiques (1). Par exemple, les décès causés par le cancer sont réduits significativement chez les personnes asthmatiques ainsi que chez celles aux prises avec la rhinite saisonnière (le rhume des foins). Cet effet protecteur est particulièrement prononcé pour le cancer du pancréas (15%), les leucémies (25%) ainsi que le cancer colorectal (24%). Une étude récente montre que ce lien existe également pour les gliomes, un type de tumeur cérébrale (2).

En effet, des chercheurs de l'Université de Chicago ont montré que tous les types d'allergies (allergies au pollen, à certains aliments, aux poils d'animaux ou encore aux médicaments) étaient associés à une spectaculaire réduction de 50% du risque de cette tumeur du cerveau.

Même si les mécanismes responsables de ces effets protecteurs des allergies demeurent à être mieux compris, il est intéressant de noter que certaines cellules du système immunitaire, notamment les cellules tueuses naturelles NK, ont comme mission de s'attaquer aux cellules anormales (comme les cellules cancéreuses). Puisque le nombre de ces cellules NK est beaucoup plus élevé chez les gens qui souffrent d'allergies, il est possible que cette activité accrue du système immunitaire puisse détruire les cellules cancéreuses qui se forment spontanément dans les tissus au fil du temps et ainsi réduire l'incidence de cancer. Une rare bonne nouvelle pour les personnes allergiques!

Selon le docteur Edward Bach, médecin, bactériologiste et homéopathe, né en Angleterre au début du 20è siècle, toutes les maladies ont une cause commune : "l'intoxication de l'organisme et plus précisément la flore intestinale". On sait que l'équilibre de cette flore est capital à une bonne santé car, comme le disent les grands médecins naturopathes, presque toutes les maladies commencent par le colon. "L'important, disait Bach, pour se diriger vers la santé, est d'apprendre à désintoxiquer son organisme".

À une autre source, nous retrouvons une information identique. "L'origine de toute maladie est un désordre de l'intestin". C'est ce qu'affirme l'auteur Romolo Mantovani dans son livre intitulé : "L'art de se guérir soi-même". Édition Amour et Vie. Il ajoute : "Pour la guérison de toutes les maladies, il faut commencer par purifier le sang. Car l'intoxication de l'intestin provoque un sang impur. Le sang purifié, l'organisme tout entier s'améliore et la maladie disparaît. "



Renforcement du système immunitaire

Comment se fait-il qu'une personne attrape un rhume ou la grippe et qu'une autre l'évite ? Pourquoi certains individus ne sont-ils pas affectés lors de graves épidémies de maladies infectieuses ? Comment se fait-il qu'une personne séropositive ne devienne jamais sidatique tandis que l'autre contracte le SIDA et en meurt ?

Les réponses se trouvent dans notre corps, dans la plus puissante machine à guérison qui soit : le système immunitaire.

Un certain nombre de facteurs peuvent affaiblir la capacité du corps à se protéger contre virus, bactéries, champignons et cancers. Ainsi, nous avons tous faits l'expérience d'attraper un rhume après avoir vécu un événement extraordinairement stressant : trop de journées à faire la fête ou un stress incessant. Des événements plus graves, comme la mort d'un être cher, un divorce ou la perte d'un emploi peuvent affaiblir notre système immunitaire .

Heureusement, le corps a une merveilleuse capacité de se régénérer et notre armée interne de cellules immunes peut être renforcée en quelques semaines simplement en améliorant notre nutrition, en réduisant notre niveau de stress, en ajoutant à notre alimentation des nutriments soutenant l'immunité, en faisant de l'exercice, en retrouvant notre bien-être émotionnel et en procédant à une bonne désintoxication.

Référence-Bulletin d'information-Santé Immunité-deuxième édition.