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 Compréhension du phénomène de la métastase.

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Denis
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MessageSujet: Re: Compréhension du phénomène de la métastase.   Compréhension du phénomène de la métastase. Icon_minitimeJeu 19 Jan 2017 - 0:40

Each day, more than 1,600 people die from cancer in the US, and 450 in the UK, mostly because the disease has spread beyond a stage when surgery is an effective cure and has become resistant to therapy. Despite decades of research, understanding why cancer cells become invasive has remained shrouded in mystery.

A new study by Ludwig Cancer Research has identified an ancient cellular response, conserved through eons of evolution, that underlies the spread of the aggressive skin cancer melanoma. Led by Ludwig Oxford's Colin Goding and published in the current issue of the journal Genes & Development, the study illuminates the crucial role that punishing conditions within the tumor play in molding a subset of tumor cells into an invasive state. The findings also help explain why some melanoma patients respond relatively poorly to both a key targeted therapy and an immunotherapy known as PD-1 blockade and suggest novel strategies for treating this form of skin cancer.

"Many researchers have in recent years explored how cancer cells become invasive, the mechanisms that drive their metastasis -- the process by which they spread throughout the body," says Goding, who is a member of the Ludwig Institute for Cancer Research, Oxford. "But we also address the bigger question of why cancer cells move out from a tumor to other parts of the body in the first place. Why don't they just stay where they are and keep growing?"

Cancer cells are often molded into a metastatic state by the internal environment of the tumor, which is plagued by low oxygen supply, inflammatory conditions or a dire shortage of nutrients. In melanoma, such challenges prompt the generation of a cancer cell type that is marked by the low expression of a protein named MITF and tends to be highly metastatic and drug resistant.

Goding and his colleagues set out to ask whether such "MITF-low" cancer cells move for the same reasons other mobile creatures move. "Fungi and bacteria become invasive if they starve," explains Goding. "Wildebeest on the Serengeti migrate every year to find new pasture. So, we asked, do cancer cells move because they're starving, or think they're starving? The results we got suggested, yes, absolutely."

The researchers show that when deprived of a key nutrient, melanoma cells switch on an innate stress-response mechanism that stops the production of proteins that drive cell division, but step up the production of those that help them recycle and import nutrients. At the same time, this mechanism also sparks up a program to go mobile and seek food.

Melanoma cells go about doing this, the researchers show, by changing which of their active genes are used to make proteins. They switch off a key controller of most protein synthesis named eIF2B that enables cells to conserve resources under starvation conditions. But the same switch also turns on a gene named ATF4 that orchestrates the cell's responses to stress. Both these changes combine to suppress MITF. But the reprogramming of the protein-making machinery, Goding's team found, is absolutely required to prompt cells to become invasive.

They found this mechanism is a potent driver of cancer's spread. When the researchers starved melanoma cells -- or chemically suppressed eIF2B to make them think they were starving even when nutrients were abundant -- they formed far more tumors than did their well-fed peers.

Notably, the study shows that inflammatory signals, which are known to fuel tumor progression and metastasis, appear to activate the same stress-response mechanism in melanoma cells. They seem to have hijacked the starvation mechanism that serves as a universal "get out of here" signal to adapt to and escape from challenging environments.

The mechanism itself is, however, normally innocent: Goding and his colleagues show that a version of it is employed by certain cells of the embryo as they migrate to shape the body. It is also ancient. Yeast, among our most primitive relatives, similarly suppress their own version of eIF2B to become invasive in response to starvation. "It seems that once cells evolved a good idea, to move in response to starvation, they kept it and retooled it to be useful in stressful environments in general, not just in response to low food supply," says Goding.

The paper has discoveries of relevance to the clinic as well. The researchers show that the starvation mechanism they identify induces a program of gene activity known to be linked to resistance to immunotherapy known as PD-1 blockade. They also found that the starvation response induces changes in gene activity that render MITF-low cells resistant to a class of targeted therapies known as BRAF inhibitors.

The researchers are now studying the details of how the starvation response mechanism is engaged in melanoma and other cancer cells and will be examining how these circuits might be exploited for therapy.

"You can imagine small molecule drugs that restore elevated demand for nutrients in cells that can survive only by restricting their demand," says Goding. "That way we could either kill them directly, or restore their sensitivity to immunotherapy and other treatments."

---

Chaque jour, plus de 1 600 personnes meurent du cancer aux États-Unis, et 450 au Royaume-Uni, principalement parce que la maladie s'est propagée au-delà d'un stade où la chirurgie est un traitement efficace et est devenu résistant à la thérapie. Malgré des décennies de recherche, comprendre pourquoi les cellules cancéreuses deviennent envahissantes est resté enveloppé dans le mystère.

Une nouvelle étude par Ludwig Cancer Research a identifié une ancienne réponse cellulaire, conservée par des éons d'évolution, qui sous-tend la propagation du mélanome agressif, un cancer de la Compréhension du phénomène de la métastase. 307276 . Dirigé par Colin Goding de Ludwig Oxford et publié dans le numéro actuel de la revue Genes & Development, l'étude éclaire le rôle crucial que les conditions de punition dans la tumeur jouent dans le moulage d'un sous-ensemble de cellules tumorales dans un état invasif. Les résultats ont également aidé à expliquer pourquoi certains patients atteints de mélanome réagissent relativement mal à une thérapie ciblée et une immunothérapie connue sous le nom de blocage PD-1 et suggèrent de nouvelles stratégies pour traiter cette forme de cancer de la peau.

«Beaucoup de chercheurs ont exploré ces dernières années comment les cellules cancéreuses deviennent envahissantes, les mécanismes qui entraînent leur métastase - le processus par lequel ils se propagent dans tout le corps», dit Goding, qui est membre de l'Institut Ludwig pour la recherche sur le cancer, Oxford. "Mais nous abordons également la question plus importante de savoir pourquoi les cellules cancéreuses se déplacent d'une tumeur à d'autres parties du corps en premier lieu. Pourquoi ne restent-ils pas là où elles sont et continuent de croître?"

Les cellules cancéreuses sont souvent formées dans un état métastatique par l'environnement interne de la tumeur, qui est en proie à un faible approvisionnement en oxygène, des conditions inflammatoires ou une pénurie grave de nutriments. Dans le mélanome, de tels défis incitent à la génération d'un type de cellule cancéreuse qui est marqué par la faible expression d'une protéine nommée MITF et a tendance à être hautement métastatique et résistant aux médicaments.

Goding et ses collègues se sont mis à demander si de telles cellules cancéreuses "MITF-low" se déplacent pour les mêmes raisons que d'autres créatures mobiles se déplacent. «Les champignons et les bactéries deviennent invasifs s'ils meurent de faim», explique Goding. «Les gnous du Serengeti migrent chaque année pour trouver de nouveaux pâturages, alors nous leur avons demandé: les cellules cancéreuses se déplacent-elles parce qu'elles meurent de faim ou pensent qu'elles meurent de faim?

Les chercheurs montrent que lorsqu'ils sont dépourvus d'un élément nutritif clé, les cellules de mélanome basculent sur un mécanisme inné de réponse au stress qui arrête la production de protéines qui entraînent la division cellulaire, mais augmentent la production de ceux qui les aident à recycler et à importer des nutriments. Dans le même temps, ce mécanisme déclenche également un programme de mobilité et de recherche alimentaire.

Les cellules de mélanome vont faire ceci, les chercheurs montrent, en changeant qui de leurs gènes actifs sont employés pour faire des protéines. Ils arrêtent un contrôleur clé de la plupart des protéines de synthèse nommé eIF2B qui permet aux cellules de conserver les ressources dans des conditions de famine. Mais le même commutateur tourne également sur un gène nommé ATF4 qui orchestre les réponses de la cellule au stress. Ces deux changements se combinent pour supprimer MITF. Mais la reprogrammation de la machine à fabriquer des protéines, selon l'équipe de Goding, est absolument nécessaire pour inciter les cellules à devenir envahissantes.

Ils ont découvert que ce mécanisme est un puissant facteur de propagation du cancer. Lorsque les chercheurs ont affamé des cellules de mélanome - ou chimiquement supprimé eIF2B pour leur faire penser qu'ils étaient affamés, même lorsque les nutriments étaient abondants - ils ont formé beaucoup plus de tumeurs que leurs pairs bien nourris.

Notamment, l'étude montre que les signaux inflammatoires, qui sont connus pour alimenter la progression tumorale et la métastase, semblent activer le même mécanisme de réponse au stress dans les cellules de mélanome. Ils semblent avoir détourné le mécanisme de famine qui sert de signal universel «sortir d'ici» pour s'adapter et échapper à des environnements difficiles.

Le mécanisme lui-même est cependant normalement innocent: Goding et ses collègues montrent qu'une version de celui-ci est employée par certaines cellules de l'embryon comme elles migrent pour façonner le corps. C'est aussi ancien. La levure, parmi nos parents les plus primitifs, supprime également leur propre version de eIF2B pour devenir envahissante en réponse à la famine. "Il semble qu'une fois que les cellules ont évolué vers la bonne idée, de se déplacer en réponse à la famine, elles l'ont gardé et réaménagé pour être utile dans les environnements stressants en général, et pas seulement en réponse à la faiblesse de l'approvisionnement alimentaire», dit Goding.

Le document a des découvertes pertinentes pour la clinique. Les chercheurs montrent que le mécanisme de famine qu'ils identifient induit un programme d'activité génétique connu pour être lié à la résistance à l'immunothérapie connue sous le nom de blocage PD-1. Ils ont également découvert que la réponse à la famine induit des changements dans l'activité génique qui rendent les cellules faibles en MITF résistantes à une classe de traitements ciblés connus sous le nom d'inhibiteurs de BRAF.

Les chercheurs étudient maintenant les détails de la façon dont le mécanisme de réponse de la famine est engagé dans le mélanome et d'autres cellules cancéreuses et examinera comment ces circuits pourraient être exploités pour la thérapie.

"Vous pouvez imaginer des médicaments à petites molécules qui rétablissent une demande élevée de nutriments
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Denis
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MessageSujet: Re: Compréhension du phénomène de la métastase.   Compréhension du phénomène de la métastase. Icon_minitimeVen 18 Déc 2015 - 15:24

Metastasis -- or the spread of cancer from one part of the body to other parts -- accounts for more than 90 percent of cancer-related deaths. Although the cells that seed metastasis and the sites that they tend to travel to have been increasingly studied over the years, little has been known about how cancer migrates from a primary site, such as breast tissue, to a secondary site, such as the brain or bone marrow. A study by researchers from Brigham and Women's Hospital (BWH), published in Nature Communications, offers a new view of how cancer cells extend their reach, co-opting and transforming normal cells through "metastatic hijacking." The researchers also find that in pre-clinical models, pharmacological intervention can prevent this hijacking from occurring, pointing to new therapeutic targets for preventing cancer cells from spreading.

"Metastasis remains a final frontier in the search for a cure for cancer," said Shiladitya Sengupta, MS, PhD, of BWH's Bioengineering Division in the Department of Medicine and corresponding author of the study. "For the past five years we have studied how cancer travels to other parts of the body, and what we find is that communication is key."

"By working together, our labs have been able to gain greater insights into cell-cell communication in tumor states, which will shed new light on cancer as a disease and the promise and potential of emerging innovative therapies," said Elazer Edelman, MD, PhD, of BWH's Cardiovascular Division in the Department of Medicine.

Sengupta, Edelman and colleagues began with a simple experiment. In the lab, they constructed a three-dimensional tumor matrix, complete with endothelial cells, and added metastatic breast cancer cells. They observed that instead of adhering to themselves to form a sphere, the metastatic breast cancer cells spread out along the model's blood vessels. Using a scanning electron microscope, the researchers detected long, thin tubes extending outward from the cells -- nanoscale bridges that connected the cancer cells to normal tissue. The researchers found that the molecular profiles of some of the normal, endothelial cells had been changed, and hypothesized that microRNAs were being transferred over the bridges into the endothelial cells. Upon closer examination, they found that the transformed endothelial cells now harbored two microRNAs that have previously been implicated in metastasis.

The researchers then used chemical compounds to prevent the nanoscale bridges from forming, disrupting communication between the tumor cells and endothelium. They did so in the laboratory constructed model and also in a mouse model, finding that pharmacological agents, including docetaxel, which is used to treat metastatic breast cancer, decreased the number of nanoscale bridges formed by the cells. In mice pre-treated with the pharmacological agents, the researchers observed a significant decrease in metastatic tumor burden.

In future studies, the researchers will look to see if ATPase inhibitors -- drugs that have been studied for treating HIV-AIDS -- may also be effective at preventing the bridges from forming and inhibiting metastasis.

"Our study opens up new avenues for exploration and suggests that these nanoscale membrane bridges may represent new therapeutics in managing metastatic breast cancer," said Sengupta. "We plan to continue searching for and evaluating treatments that take aim at these conduits."


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Les métastases - ou la propagation du cancer d'une partie du corps à d'autres parties - représente plus de 90 pour cent des décès liés au cancer. Bien que les cellules qui ensemencent les métastases et les sites vers lesquelles elles ont tendance à se déplacer ont été de plus en plus étudiés au cours des années, on n'a pas su comment le cancer migre d'un site primaire, tel que le tissu du sein, à un site secondaire, tels que le cerveau ou la moelle osseuse. Une étude menée par des chercheurs de l'hôpital Brigham and Women (BWH), publiée dans Nature Communications, propose une nouvelle vision de la façon dont les cellules cancéreuses étendent leur portée, la cooptation et la transformation de cellules normales grâce au "détournement métastatique." Les chercheurs ont également constaté que dans des modèles pré-cliniques, l'intervention pharmacologique peut empêcher ce détournement de se produire, pointant vers de nouvelles cibles thérapeutiques pour prévenir les cellules cancéreuses de se propager.

"La Métastase reste une dernière frontière dans la recherche d'un remède contre le cancer", a déclaré Shiladitya Sengupta, MS, PhD, de la Division de la bio-ingénierie de BWH dans le Département de médecine et auteur de l'étude. "Pour les cinq dernières années, nous avons étudié comment le cancer se déplace vers d'autres parties du corps, et ce que nous constatons est que la communication est la clé."

«En travaillant ensemble, nos laboratoires ont été en mesure d'obtenir un meilleur aperçu des la communication cellulaire dans les états tumoraux, qui jettera un nouvel éclairage sur le cancer comme une maladie et sur la promesse et le potentiel de nouvelles thérapies innovantes», a déclaré Elazer Edelman, MD, PhD, de la Division de cardiologie de BWH dans le Département de médecine.

Sengupta, Edelman et ses collègues ont commencé par une simple expérience. Dans le laboratoire, ils ont construit une matrice de la tumeur en trois dimensions, avec des cellules endotheliales, et ajoute les cellules cancéreuses du sein métastatique. Ils ont observé que, au lieu d'adhérer à elles-mêmes pour former une sphère, les cellules de cancer du sein métastatiques se répartissent le long des vaisseaux sanguins du modèle. En utilisant un microscope électronique à balayage, les chercheurs ont détecté, de longs tubes minces s'étendant vers l'extérieur à partir des cellules à l'échelle nanométrique - ponts qui reliaient les cellules cancéreuses à un tissu normal. Les chercheurs ont constaté que les profils moléculaires de certaines des cellules endothéliales normales, avaient été changés, et ils ont émis l'hypothèse que les microARN ont été transférés sur les ponts dans les cellules endothéliales. Un examen plus approfondi, ils ont constaté que les cellules endothéliales transformées nourrissaient maintenant deux microARN qui sont déjà été impliqué dans les métastases.

Les chercheurs ont ensuite utilisé des composés chimiques afin d'éviter que ces ponts à l'échelle nanométrique se forment, ce qui a perturbé la communication entre les cellules tumorales et l'endothélium. Ils l'ont fait dans le modèle de laboratoire construit et aussi dans un modèle de souris, découvrant que les agents pharmacologiques, y compris le docetaxel, qui est utilisé pour traiter le cancer du sein métastatique, ont diminué le nombre de ponts nanométriques formés par les cellules. Chez les souris pré-traitées avec les agents pharmacologiques, les chercheurs ont observé une diminution significative de la charge tumorale métastatique.

Dans les études futures, les chercheurs vont chercher à voir si les inhibiteurs ATPase - médicaments qui ont été étudiés pour le traitement de VIH-SIDA - peuvent également être efficace pour prévenir les ponts de se former et inhiber des métastases.

«Notre étude ouvre de nouvelles voies à explorer et suggère que ces ponts membranaires nanométriques peuvent représenter de nouvelles thérapeutiques dans la gestion du cancer du sein métastatique", a déclaré Sengupta. "Nous prévoyons de poursuivre la recherche et l'évaluation des traitements qui visent ces conduits."

note : L'endothélium vasculaire est la couche la plus interne des vaisseaux sanguins, celle en contact avec le sang.
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Denis
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MessageSujet: Re: Compréhension du phénomène de la métastase.   Compréhension du phénomène de la métastase. Icon_minitimeMer 2 Déc 2015 - 18:36

As a part of the human immune system, white blood cells create a number of enzymes that help fight disease. Sometimes, these enzymes can malfunction, causing damage to the body or increasing cancer growth. Now, researchers at the University of Missouri have determined a detailed structural view of one of these enzymes, called MMP7, as it binds to the membranes, or surfaces, of cancer cells. Steve Van Doren, a professor in the MU Department of Biochemistry, says understanding the structure of this enzyme and how it works with partners will help create future treatments for cancer.

"MMP7 is known to make cancer cells more aggressive and likely to spread throughout the body," Van Doren said. "We now understand that MMP7 signals to cancer cells to become more aggressive when the enzyme cuts off specific proteins as it binds to those cancer cells. Knowing this, we hopefully can find ways to prevent these enzymes from binding and signaling to these cancer cells in the first place. The end result could be a way to prevent cancer cells from spreading so rapidly."

For the study, Van Doren and his research team, including lead author Stephen Prior, a postdoctoral fellow at MU, used a highly sophisticated piece of equipment called a Nuclear Magnetic Resonance (NMR) spectrometer to map the structure of assemblies containing MMP7. Functioning similarly to a magnetic resonance imaging (MRI) machine, the NMR spectrometer uses large magnets to allow scientists detect the nuclei of atoms in order to reconstruct detailed images of sub-microscopic enzymes. The researchers then study these 3D images to determine how these enzymes work within the body.

Additionally, Van Doren and his research team published a study investigating a sister enzyme, known as MMP14. In this study, Van Doren used the same NMR spectrometer to determine how MMP14 helps cancer spread throughout the body. He says this knowledge also will inform future research into ways to prevent the spread of cancer.

"MMP14 is the most important protein-cutting enzyme in terms of how cancer cells migrate throughout the body," Van Doren said. "These enzymes essentially cut paths through the collagen meshwork of tissues in the body. By clearing paths through this collagen, the MMP14 enzyme enables tumor cells to move and spread. By understanding the structures of how these enzymes attack collagen and other proteins, we can find ways to block them from allowing cancer to spread."

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En tant que partie du système immunitaire humain, les globules blancs créent un certain nombre d'enzymes qui contribuent à combattre la maladie. Parfois, ces enzymes peuvent mal fonctionner, provoquant des dommages à l'organisme ou l'augmentation de la croissance du cancer. Maintenant, les chercheurs de l'Université du Missouri ont déterminé une vue détaillée de la structure de l'une de ces enzymes, appelé MMP7, comme il se lie aux membranes, ou des surfaces, de cellules cancéreuses. Steve Van Doren, professeur au Département de biochimie de MU, dit comprendre la structure de cette enzyme et la façon dont il travaille avec des partenaires permettra de créer de futurs traitements pour le cancer.

"MMP7 est connu pour rendre les cellules cancéreuses plus agressif et susceptible de se propager dans tout le corps", a déclaré Van Doren. "Nous comprenons maintenant que les signaux de MMP7 aux cellules cancéreuses à devenir plus agressif lorsque l'enzyme coupe protéines spécifiques comme il se lie à ces cellules cancéreuses. Sachant cela, nous espérons pouvons trouver des moyens de prévenir ces enzymes de la liaison et de la signalisation de ces cellules cancéreuses dans la première place. Le résultat final pourrait être un moyen d'empêcher les cellules cancéreuses de se propager si rapidement. "

Pour l'étude, Van Doren et son équipe de recherche, y compris l'auteur principal Stephen Prior, un stage postdoctoral à MU, utilisés une pièce très sophistiquée de l'équipement appelé un spectromètre de résonance magnétique nucléaire (RMN) pour cartographier la structure des assemblages contenant MMP7. Fonctionnement similaire à une imagerie par résonance magnétique (IRM), le spectromètre de RMN utilise de gros aimants pour permettre aux scientifiques de détecter les noyaux des atomes afin de reconstruire des images détaillées des enzymes sous-microscopiques. Les chercheurs étudient ensuite ces images 3D afin de déterminer comment ces enzymes fonctionnent dans le corps.

En outre, Van Doren et son équipe de recherche a publié une étude portant sur une enzyme de soeur, connu sous le nom MMP14. Dans cette étude, Van Doren a utilisé le même spectromètre RMN pour déterminer comment MMP14 aide propagation du cancer dans tout le corps. Il dit cette connaissance sera également informer la recherche future sur les moyens de prévenir la propagation du cancer.

"MMP14 est le plus important enzyme protéine-coupe en termes de comment les cellules cancéreuses migrent dans tout le corps", a déclaré Van Doren. "Ces enzymes chemins essentiellement coupés à travers les mailles de collagène des tissus de l'organisme. En désactivant chemins à travers ce collagène, l'enzyme MMP14 permet aux cellules tumorales de se déplacer et de propagation. Par la compréhension des structures de la façon dont ces enzymes attaquer collagène et d'autres protéines, nous pouvons trouver des moyens de les bloquer de permettre cancer de se propager. "
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MessageSujet: Re: Compréhension du phénomène de la métastase.   Compréhension du phénomène de la métastase. Icon_minitimeDim 31 Aoû 2014 - 16:00

A new study from the research group of Dr. John Lewis at the University of Alberta (Edmonton, AB) and the Lawson Health Research Institute (London, ON) has confirmed that "invadopodia" play a key role in the spread of cancer. The study, published in Cell Reports, shows preventing these tentacle-like structures from forming can stop the spread of cancer entirely.

Roughly 2 in 5 Canadians will develop cancer in their lifetime, and one in four of them will die of the disease. In 2014, it's estimated that nine Canadians will die of cancer every hour. Thanks to advances in medical research and care, cancer can often be treated with high success if detected early. However, after it spreads, cancer becomes much more difficult to treat.

To spread, or "metastasize," cancer cells must enter the blood stream or lymph system, travel through its channels, and then exit to another area or organ in the body. This final exit is the least understood part of the metastatic process. Previous research has shown cancer cells are capable of producing "invadopodia," a type of extension that cells use to probe and change their environment. However, their significance in the escape of cancer cells from the bloodstream has been unclear.

In the study, the scientists injected fluorescent cancer cells into the bloodstream of test models, and then captured the fate of these cells using high-resolution time-lapse imaging. Results confirmed the cancer cells formed invadopodia to reach out of the bloodstream and into the tissue of the surrounding organs -- they essentially formed "tentacles" that enabled the tumor cell to enter the organ. However, through genetic modification or drug treatment, the scientists were able to block the factors needed for invadopodia to form. This effectively stopped all attempts for the cancer to spread.

The study findings confirm invadopodia play a key role in the spread of cancer. Most importantly, they suggest an important new target for therapy. If a drug can be developed to prevent invadopodia from forming, it could potentially stop the spread of cancer.

"The spread of cancer works a lot like plane travel," says lead author Dr. Hon Leong, now a Scientist at Lawson Health Research Institute and Western University. "Just as a person boards an airplane and travels to their destination, tumor cells enter the bloodstream and travel to distant organs like the liver, lungs, or brain. The hard part is getting past border control and airport security, or the vessels, when they arrive. We knew that cancer cells were somehow able to get past these barriers and spread into the organs. Now, for the first time, we know how."

"Metastasis is the deadliest aspect of cancer, responsible for some 90% of cancer deaths," says Dr. John Lewis, the Frank and Carla Sojonky Chair in Prostate Cancer Research at the University of Alberta. "These new insights give us both a new approach and a clinical window of opportunity to reduce or block the spread of cancer.

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Une nouvelle étude du groupe de recherche du Dr John Lewis à l'Université de l'Alberta (Edmonton, AB) et l'Institut de recherche en santé Lawson (London, ON) a confirmé que "invadopodia" jouer un rôle clé dans la propagation du cancer. L'étude, publiée dans Cell Reports, montre la prévention de ces structures tentaculaires de formation peut arrêter la propagation du cancer entièrement.

Environ 2 à 5 Canadiens développeront un cancer au cours de leur vie, et un sur quatre d'entre eux mourront de la maladie. En 2014, on estime que neuf Canadiens mourront du cancer chaque heure. Merci aux progrès de la recherche médicale et les soins, le cancer peut souvent être traitée avec une grande réussite s'il est détecté tôt. Cependant, après il se répand, le cancer devient beaucoup plus difficile à traiter.

Pour se propager, ou "métastases", les cellules cancéreuses doivent entrer dans le système de circulation sanguine ou lymphatique, voyager à travers ses canaux, et puis sortir vers une autre zone ou un organe dans le corps. Cette sortie finale est la partie la moins bien comprise du processus métastatique. Des recherches antérieures ont montré les cellules cancéreuses sont capables de produire "invadopodia," un type d'extension que les cellules utilisent pour sonder et changer leur environnement. Cependant, leur importance dans l'évasion des cellules cancéreuses à partir de la circulation sanguine a été peu clair.

Dans l'étude, les scientifiques ont injecté des cellules cancéreuses fluorescentes dans la circulation sanguine des modèles d'essai, puis photographié le sort de ces cellules en utilisant une imagerie à haute résolution time-lapse. Les résultats ont confirmé les cellules cancéreuses forment invadopodia pour atteindre de la circulation sanguine et les tissus des organes environnants - elles ont formé essentiellement des «tentacules» qui ont permis à la cellule tumorale d'entrer dans l'organe. Toutefois, par modification génétique ou traitement de toxicomanie, les scientifiques ont réussi à bloquer les facteurs nécessaires pour qu'invadopodia se forme. Cela a arrêté, toute tentative pour le cancer de se propager.

Les résultats de l'étude confirment que invadopodia joue un rôle clé dans la propagation du cancer. Plus important encore, ils suggèrent une nouvelle cible importante pour la thérapie. Si un médicament peut être mis au point pour prévenir la formation de invadopodia, il pourrait arrêter la propagation du cancer.

«La propagation du cancer fonctionne un peu comme Voyage d'avion», explique l'auteur principal, le Dr honorable Leong, maintenant chercheur à l'Institut de recherche en santé Lawson et l'Université Western. «Tout comme une personne monte à bord d'un avion et se déplace vers leur destination, les cellules tumorales dans la circulation sanguine et Voyage à des organes éloignés comme le foie, les poumons ou le cerveau. Le plus dur devient le contrôle pour passer la frontière et la sécurité de l'aéroport, ou elles arrivent. Nous savions que les cellules cancéreuses étaient en quelque sorte en mesure de surmonter ces obstacles et de se diffuser dans les organes. maintenant, pour la première fois, nous savons comment. "

"La métastase est l'aspect le plus mortelle de cancer, et est responsable de près de 90% des décès par cancer," a déclaré le Dr John Lewis, Frank et Carla président Sojonky en recherche sur le cancer de la prostate à l'Université de l'Alberta. "Ces nouvelles données nous donnent à la fois une nouvelle approche et une fenêtre clinique de la possibilité de réduire ou de bloquer la propagation du cancer.
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Denis
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MessageSujet: Re: Compréhension du phénomène de la métastase.   Compréhension du phénomène de la métastase. Icon_minitimeSam 8 Sep 2012 - 10:49

Longtemps négligées car considérées comme intervenant à l'ultime stade du cancer, les métastases cérébrales font l'objet jusqu'à dimanche à Marseille, d'une conférence internationale pour mieux cerner leur origine et définir un traitement plus adapté.

Jusqu'à récemment, la découverte chez un patient de ce type de lésions était synonyme de mort imminente et rapide et aucun traitement spécifique ne lui était donc proposé.

Or "du fait de l'amélioration des traitements ciblés contre le cancer et de l'augmentation de la durée de vie des malades, les métastases cérébrales sont de plus en plus fréquentes et deviennent un véritable enjeu de santé publique", explique le professeur Philippe Méttelus, neurochirurgien à l'hôpital marseillais de la Timone.

On en retrouve dans près de 25% des autopsies de victimes de cancer, celui du poumon étant le plus exposé (quasiment la moitié des patients atteints), devant le sein et le mélanome.

Depuis deux ans, la recherche frémit et la communauté médicale se mobilise sur le sujet, comme en témoigne la 2e édition de ce congrès scientifique organisé sous l'égide du cancéropôle Paca, en présence d'une vingtaine de spécialistes venus de toute l'Europe.

Premier objectif: améliorer le traitement, compliqué par le fait que le cerveau, sorte de sanctuaire, est "un peu déconnecté du reste de l'organisme par une barrière protectrice dite hémato-encéphalique", relève Anthony Gonçalves, oncologue médical à l'institut marseillais Paoli-Calmettes.

"Dans le traitement des métastases cérébrales, l'existence de cette barrière peut gêner l'arrivée des médicaments à l'intérieur du cerveau", poursuit-il.

Il faut donc privilégier les traitements locaux (chirurgie, radiothérapie) et développer des approches médicales plus performantes: "nouvelles drogues, nouvelles technologies, nouvelles stratégies" dans la combinaison des thérapies, résume Fabrice Barlesi, spécialiste du cancer du poumon à l'Assistance publique-Hôpitaux de Marseille (AP-HM).

Déjà, de nets progrès ont été obtenus, si bien que l'espérance de vie des patients atteints par ces lésions est aujourd'hui estimée à 15 à 20 mois en moyenne, alors qu'elle était inférieure à sept mois il y a quelques années.

Les chercheurs réunis à Marseille ont également engagé une réflexion en amont, en termes de biologie moléculaire, pour trouver les mécanismes à l'origine de ces métastases et ainsi empêcher leur développement.

AFP
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MessageSujet: Re: Compréhension du phénomène de la métastase.   Compréhension du phénomène de la métastase. Icon_minitimeLun 24 Oct 2011 - 14:45

Ces chercheurs de l'Université de l'Utah ont découvert un nouveau modèle, « tout simple » pour prédire l’évolution d’un cancer du sein. Ce cancer est-il enclin à rester in situ ou à métastaser ? Leur méthode, greffer à des souris un peu de tissus tumoraux prélevés sur le patient. Les cellules cancéreuses vont se comporter chez l’animal comme elles le feraient chez le patient. Des résultats, publiés en ligne dans l’édition du 24 octobre de la revue Nature Medicine, permettant de développer de nouveaux mode de prédiction du risque de propagation mais aussi d’ajuster le traitement au mieux.

Pour créer ce modèle d’étude du cancer du Compréhension du phénomène de la métastase. 307163 , les chercheurs ont choisi de greffer des tissus tumoraux de patientes consentantes, directement dans les glandes mammaires de souris, plutôt que d’adopter l'approche traditionnelle qui consiste à cultiver en laboratoire les cellules cancéreuses.
En fait, chez la femme ou chez l'animal, les cellules cancéreuses évoluent de manière similaire. Les chercheurs constatent que les greffons conservent pratiquement la même structure que dans le cancer du sein humain, à la fois sur le plan génétique et sur le mode d’évolution cellulaire, à la différence de ce qui se passe avec des méthodes basées sur les cultures cellulaires.

In situ ou métastases: «Le résultat le plus surprenant est que les cellules des greffes de tumeurs restent cantonnées au site d'origine ou bien « métastasent », comme elles le feraient et l’ont fait chez les patients humains», constate l’auteur principal de l'étude, le Pr. Alana Welm, professeur adjoint au Département Oncologie de l’U.U. En résumé, des greffes de tissus tumoraux de patients dont le cancer s'était propagé aux poumons, se propagent également aux poumons des souris qui les ont reçues.

Les auteurs rappellent que la plupart des décès par cancer du sein résultent de la propagation de la maladie à d'autres zones du corps par le système lymphatique, aux poumons, au foie, aux os ou au cerveau.

Cette méthode de modélisation sur la souris, pourrait déterminer si la tumeur est susceptible ou non de se propager et permettre aux médecins d’opter pour la meilleure approche thérapeutique et en fonction du patient et de l’évolution prévisible de la maladie. Des modèles similaires peuvent être développés pour d'autres formes de cancers en utilisant cette méthode et les chercheurs travaillent déjà à l’application du modèle avec des tissus de cancer du Compréhension du phénomène de la métastase. 307141 .
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ACHILLE




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MessageSujet: Investigateur de l'étude : Dr Andrew Craig   Compréhension du phénomène de la métastase. Icon_minitimeJeu 5 Mai 2011 - 6:51


Juste pour compléter voici deux lien en rapport avec ton article, vraiment très intéressant ! :

Voici ce que j'ai trouvé sur le Queen's Department of Biochemistry and Cancer Research Institute et le Docteur du projet Dr Andrew Craig concernant le cancer du Compréhension du phénomène de la métastase. 307163

http://www.eurekalert.org/pub_releases/2011-05/qu-rdp050411.php

http://meds.queensu.ca/biochem/biochemistry_faculty?id=6

(Je pars demain, pour 5 jours en Allemagne en déplacement professionnel (sa me gave...)... je reviens la semaine prochaine, A+ ACHILLE)
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Denis
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MessageSujet: Re: Compréhension du phénomène de la métastase.   Compréhension du phénomène de la métastase. Icon_minitimeJeu 5 Mai 2011 - 1:28

(May 4, 2011) — A protein capable of halting the spread of breast cancer cells could lead to a therapy for preventing or limiting the spread of the disease.

Une protéine capable d'arrêter le fait de se répandre pour les cellules du cancer du Compréhension du phénomène de la métastase. 307163 pourrait conduire à une thérapie pour prévenir ou limiter le fait que la maladie se répand (les métastases).

"Cancer researchers want to design new therapeutic strategies in which the metastasis or spreading stage of cancer can be blocked," explains Andrew Craig, lead researcher and a professor in Queen's Department of Biochemistry and Cancer Research Institute. "Patients stand a much better chance of survival if the primary tumor is the only tumor that needs to be treated."

Les chercheurs veulent dessiner de nouvelles statègies thérapeuthiques dans lesquels les métastases seraient bloquer. Les patients auraient une bien meilleure chance de survie avec seulement la tumeur principal qui devrait être traitée.

The regulatory protein identified by Dr Craig's team inhibits the spread of cancer cells by removing and breaking down an invasive enzyme on the surface of cancer cells. If it remains unchecked, this enzyme degrades and modifies surrounding tissues, facilitating the spread of cancer through the body.

La protéine identifiée par le docteur Craig inhibe les métastases en enlevant et en détruisant l'enzyme invasive sur la surface des cellules cancéreuses. Si cela reste à vérifier, cette enzyme degrade et modifie les tissus environnants, facilitant les métastases à travvers le corps.

Dr. Craig hopes that his team's findings may help develop more targeted therapies that have a specific inhibitory function on this enzyme that is implicated in certain metastatic cancers.

Le docteur Craig espère que les découvertes de son équipe pourront aider à développer plus de thérapies ciblées qui auraient une fonction spécifique sur cette enzyme impliquée dans certains cancers métastasiques.

Traditional therapies that have been used to counteract the invasive nature of this particular enzyme also destroy other enzymes that are important for the body's normal physiological function.

Des thérapies traditionnelles qui ont été utilisées pour contrecarrer la nature invasive de cette enzyme particuli;re détruisait aussi d'Autres enzymes qui étaient importantes pour le fonctionnement normal du corps.

The researchers examined a network of proteins that are responsible for controlling the shape of cancer cells. They focused specifically on parts of the cell that protrude into surrounding body tissues, allowing the cancer cell to degrade surrounding tissue barriers.

Les chercheurs examinent un réseau de protéines qui sont responsables de controler la forme des cellules cancéreuses. Ils focussent plus particulièrement sur des parties de la cellule qui aide la cellule à s'introduire dans les tissus environnants, qui permettent à la celllule cancéreuse de se propager dans les tissus sains.

Normal cells also produce similar protrusions as part of a healthy physiological process that allows cells to move through body tissues during an immune response.

Les cellules saines et normales produisent aussi ces protubérances comme un processus normal et sain physiologiquement qui permettent aux cellules de se déplacer durant par exemple une réponse immunitaire.

During the spread of cancer these normally healthy mechanisms are coopted by cancer cells, allowing the cancer to break through tissue boundaries and colonize distant tissues. This process of cancer spread is known as metastasis and is frequently the cause of cancer-related deaths.

Durant la métastase du cancer, ces mécanismes sains sont détournés par le cancer à son bénifice en lui permettant de pénétrer des tissus environnants pour le scoloniser. Les métastases sont la plupart du temps la cause de la mort du malade.
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MessageSujet: Re: Compréhension du phénomène de la métastase.   Compréhension du phénomène de la métastase. Icon_minitimeMar 3 Mai 2011 - 14:34

3/05/2011


Médecine
Percée significative dans la compréhension du cancer

http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/66598.htm

Des chercheurs de l'Université de Médecine de Vienne ont découvert comment les cellules cancéreuses tracent leur chemin jusqu'aux ganglions lymphatiques, où elles produisent les métastases [1]. La compréhension de ce mécanisme laisse espérer la possibilité de stopper cette évolution à l'avenir.

Mécanisme

En s'appuyant sur l'étude du cancer du Compréhension du phénomène de la métastase. 307163 , le groupe de recherche a découvert comment les cellules tumorales creusent un trou dans la paroi des vaisseaux lymphatiques pour atteindre les ganglions lymphatiques où elles peuvent par la suite se métastaser. Ainsi, les cellules tumorales nécessitent une enzyme spécifique, la lipoxygénase, pour produire un métabolite (petit composé organique) de l'acide arachidonique, qui conduit les cellules de la paroi des vaisseaux lymphatiques à se retirer du point de contact avec les cellules tumorales. Ceci permet la pénétration des cellules cancéreuses dans les vaisseaux lymphatiques et ouvre ainsi la voie vers les ganglions lymphatiques. Obtenus à partir de l'étude d'échantillons de tissus humains issus des archives biologiques de l'Université de Médecine de Vienne, ces résultats ont été confirmés par la culture de tissus et des modèles de tumeurs sur la souris.

Cette découverte est le fruit d'une collaboration interdisciplinaire impliquant plusieurs groupes de l'Institut clinique des pathologies de l'Université de Médecine de Vienne ainsi qu'un groupe de l'Institut de pharmacologie de la même Université.

Un traitement en perspective ?

Le groupe de recherche a également découvert qu'une substance extraite de la racine d'une plante médicinale chinoise, Scuttellaria baicalensis, se montre très efficace dans la prévention de la formation de la lipoxygénase. Ceci prévient donc la formation d'acide arachidonique, empêchant ainsi la pénétration des cellules tumorales dans les vaisseaux lymphatiques. Il est intéressant de remarquer que cette plante est utilisée depuis plusieurs siècles dans le traitement du cancer en médecine traditionnelle chinoise.
--

[1] Consulter par exemple l'article Wikipédia pour plus de détails sur les métastases. En particulier, elles peuvent également se produire par migration des cellules cancéreuses par voie sanguine - pas uniquement par voie lymphatique, qui est le mécanisme décrit dans cette brève. http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9tastase_%28m%C3%A9decine%29


Compréhension du phénomène de la métastase. 66598_01_01
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MessageSujet: Re: Compréhension du phénomène de la métastase.   Compréhension du phénomène de la métastase. Icon_minitimeVen 17 Déc 2010 - 3:06

(Dec. 16, 2010) — Scientists now know that some cancer cells spread, or metastasize, throughout the body the old-fashioned way -- by using their feet. But researchers at Duke Cancer Institute have discovered a way to short-circuit their travels by preventing the development of these feet, called invadopodia. This discovery is even more important because preventing the development of these "feet" also eliminates the action of proteins present in the feet that burn through intact tissue and let cancer cells enter new cells.

Des scientifiques savent maintenant comment certains cancers se répandent, tout simplement de la bonne veille façon: avec leurs pieds. Mais des chercheurs ont découvert un moyen de coupe-circuiter leurs voyages en empèechant le développement de ces pieds appelé invadopedia. Cette découverte est encore plus importante qu'il ne parait parce que prévenir le développement de ces "pieds" élimine aussi une action des protéines présentes dans ces pieds qui brûlent les tissus intacts et laisse les cellules cancéreuses entrer dans de nouvelles cellules.

The results could yield a treatment to prevent the spread of cancer, which would be taken in combination with a treatment that kills the cancer cells, said Ann Marie Pendergast, Ph.D., senior author and James B. Duke Professor of Pharmacology and Cancer Biology at Duke. "A combination like this would be more effective than either treatment given alone."

Les résultats de tout ça pourraient être d'empêcher les métastases de se former, ce traitement pris en combinaison avec un autre pour tuer les cellules cancéreuses pourrait être plus efficace que l'un des deux traitements donné seul.

"This is the first time anyone has identified the Abl family of protein kinases (comprising two proteins, Abl and Arg) as critical regulators of invadopodia structures," Pendergast said. "This has never been seen before."

C'est la première fois que quelqu'un identifie la famille de protéines kinases Abl (comprenant Abl et Arg) comme des régulateurs critiques des structures invadopedia ça n'a jamais été vu avant.

The study was published in the Journal of Biological Chemistry on Dec. 17.

The team found that the Abl and Arg kinases are required not only for the formation and function of the invadopodia, but also that these kinases are found within these structures. "Thus, if we can find a way to block the kinases, we'll find a way to keep the feet from forming correctly and will keep the cells from moving," Pendergast said.

L'équipe a trouvé que les kinases Abl et Arg sont importantes non seulement pour la formation de la fonction invadopodia mais aussi ces kinases sont présentes dans ces structures. si nous trouvons un moyen de bloquer ces kinases, nous toruverons un moyen d'empêcher les pieds de se former correctement et emp^cheront les cellules de bouger.

The researchers also made a new connection between these Abl and Arg kinases and the regulation of a Matrix Metalloproteinase (MMP) that is very important in cancer invasion and metastasis. "When you lose the functions of the Abl and Arg kinases, you also lose the function of the MMP proteins, which 'chew' through the matrix surrounding cells and tissues," Pendergast said. The MMP proteins can create openings for cancerous cells to escape through on their way to becoming a metastasis, she said.

Les chercheurs ont aussi fait une connection entre les kinases Abl et Arg et la régulation de MMP (metalloprotinase matix) qui est une protéine très importante pour l'invasion du cancer et les métastases. Quand vous perdez les fonctions de Abl et ARg kinases, vous perdez aussi la fonction de la protéine MMP qui mâche la matrice entourant les cellules et les tissus.

The studies began because the researchers knew that Abl kinases can directly connect with actin, a filament-like protein that cells use to move. These kinases also seem to target a number of actin-regulatory proteins that are found in invadopodia, "so we thought it might be interesting to see what would happen if we blocked the activity of these kinases," Pendergast said. "We expected a mild effect, but were surprised by the striking effect we saw."

Using fluorescent proteins for imaging purposes, the team observed that when the kinase activity was blocked, the cancer cell "feet" then disappeared as well.

Pendergast said the pharmacologic agents used to block the Abl kinases are FDA-approved for use in leukemia (imatinib), which means it may not be hard to win their approval for new applications.

Des agents pour bloquer les ABl kinases sont déja approuvé par la fda pour la leucémie (imatinib) ce qui veut dire que ce ne sera pas difficille d'ajouter de nouveaux usages.
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MessageSujet: Re: Compréhension du phénomène de la métastase.   Compréhension du phénomène de la métastase. Icon_minitimeMar 3 Aoû 2010 - 12:12

Compréhension du phénomène de la métastase. RTEmagicC_Calloselasma-rhodostoma_Al-Coritz-CC_txdam15286_a84e78

Le venin de serpent a permis d’identifier une interaction entre un récepteur à la surface des plaquettes sanguines et une protéine exprimée à la surface de cellules cancéreuses, qui aide à la propagation du cancer. Des molécules qui bloquent cette interaction pourraient donc inhiber le cancer.

Les plaquettes sanguines, autrement appelées thrombocytes, sont de petits fragments de cellules sans noyau, circulant dans les vaisseaux sanguins et ayant pour rôle d’éviter les hémorragies. Ayant la capacité de s’agréger entre elles, elles bloquent le passage du sang là où les vaisseaux sont abimés. Une trop faible quantité de plaquettes ou un dysfonctionnement de leur agrégation cause des hémorragies incontrôlables.

A l’inverse, une trop grande quantité de plaquettes ou une trop forte capacité à s’agréger mène à l’obstruction des vaisseaux sanguins, ou thrombose, une des principales causes de décès dans les pays occidentaux.

Bien comprendre le fonctionnement des plaquettes est donc un enjeu majeur. Une équipe de recherche japonaise se penche sur la question depuis plus d’une décennie. Comme souvent, une substance toxique produite par un organisme vivant a ouvert une nouvelle voie, un exemple classique comme l'a encore montré récemment la découverte d'un possible analgésique à partir de la conotoxine du cône, un gastéropode marin. L’utilisation de venins de serpents les a en effet beaucoup aidés dans leurs recherches, les menant à s’intéresser également au développement du cancer.

En effet, certains venins sont composés de molécules qui favorisent, ou au contraire qui inhibent l’action des plaquettes. Ainsi, la rhodocytine, isolée du venin d’une vipère asiatique Calloselasma rhodastoma, est capable de se fixer sur un récepteur des plaquettes, nommé CLEC-2 (C-type lectin receptor-2) et induit l’agrégation mortelle des thrombocytes.

Cette découverte avait par la suite permis de découvrir une autre molécule, endogène cette fois, la podoplanine, également capable de se fixer sur ce récepteur. Exprimée à la surface des cellules cancéreuses, la podoplanine recrute les thrombocytes, créant une sorte de bouclier autour de la cellule tumorale qui la protège du système immunitaire. De plus, la cellule peut ainsi se fixer aux parois du vaisseau sanguin, puis former des métastases et finalement se propager à l’ensemble de l’organisme. L’équipe avait alors démontré que le blocage de la fixation de la podoplanine sur les plaquettes grâce à un anticorps spécifique empêchait la propagation des métastases dans les poumons de souris.
Le venin de ce serpent, Calloselasma rhodastoma, a permis l'identification d'une interaction moléculaire importante d’une part pour la coagulation, et d’autre part pour la propagation de certains cancers.

Combattre l’interaction CLEC-2 / podoplanine

La podoplanine est aussi connue pour être exprimée à la surface des cellules épithéliales lymphatiques (les cellules qui forment les parois des vaisseaux lymphatiques). Son absence chez des souris génétiquement modifiées mène à la non formation des vaisseaux lymphatiques.

Dans le dernier article, paru dans le Journal of Biological Chemistry, les chercheurs japonais ont créé des souris dépourvues du gène codant pour le récepteur CLEC-2. Pendant le développement fœtal, les vaisseaux sanguins et lymphatiques ne se développent pas normalement, menant au décès prématuré des souris au stade embryonnaire.

Ces résultats suggèrent que l’interaction entre le récepteur CLEC-2 et la podoplanine est indispensable à la différenciation des vaisseaux lymphatiques. A l’image de ce que l’on sait sur la néogenèse des vaisseaux sanguins induite par les tumeurs, les cellules tumorales pourraient également induire la formation des vaisseaux lymphatiques pour favoriser la propagation des cellules cancéreuses dans l’organisme. Cette induction pourrait se faire par le biais de l’interaction CLEC-2 - podoplanine.

Une molécule qui bloquerait cette interaction serait donc un bon moyen d’inhiber au moins partiellement la propagation du cancer. Des drogues de ce type sont probablement à chercher du côté des molécules contenues dans le venin de serpent. Les chercheurs peuvent au moins s'en inspirer...
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MessageSujet: Re: Compréhension du phénomène de la métastase.   Compréhension du phénomène de la métastase. Icon_minitimeMar 20 Juil 2010 - 14:41

Le mécanisme que les cellules utilisent pour se regrouper et de se déplacer dans le corps a été découvert par des scientifiques de l'UCL - une constatation qui a des implications pour le développement de nouveaux traitements du cancer.
L'étude, qui a utilisé des cellules embryonnaires, pointe vers un nouveau mode de traitement du cancer où le traitement est axé sur le processus des cellules cancéreuses qui se regroupent. L'objectif est d'empêcher les cellules du cancer de se propager et de causer des tumeurs secondaires.
Pour que les cellules puissent migrer, ils se forment des saillies - un peu comme rames d'un bateau - dans la direction ou elles veulent Voyager. Toutefois, si une seule cellule est isolée elle produit ses rames dans toutes les directions et se retrouve à ramer en cercle. Pour se déplacer efficacement les cellules doivent rester ensemble avant de tenter de Voyage.
L'étude, publiée dans la revue Developmental Cell, explique comment ce processus fonctionne. Les scientifiques ont découvert que lorsque les cellules se regroupent ainsi, le contact avec d'autres cellules inhibe la formation de protubérances ou de «rames». Cela signifie que les saillies se forment seulement sur les cellules qui se trouvent sur les bords extérieurs du groupe, ce qui fait que le groupe peut se déplacer dans le sens spécifique que ces cellules "leaders" choississent.

Dr Roberto Mayor ,auteur principal de la recherche, a déclaré: «Être capable de former un groupe avec des cellules voisines est avantageux pour la migration des cellules embryonnaires ainsi que les cellules cancéreuses lors de métastase des tumeurs - ils ont la force de l'unité.

"Les résultats suggèrent une méthode alternative dans laquelle le traitement du cancer pourrait fonctionner à l'avenir si les traitements peuvent être ciblées sur les processus de formation de groupe pour arrêter les cellules cancéreuses de se propager et causer des tumeurs secondaires."

Les expériences ont été effectuées en utilisant des cellules de la crête neurale, qui se trouvent à côté du développement du système nerveux central chez les embryons. Ces cellules peuvent se transformer en une grande variété de différents types de cellules, y compris le cœur, le visage, la peau et des cellules musculaires. Les scientifiques ont bloqué les molécules de surface, des protéines appelées N-cadhérine, sur les cellules de la crête neurale qui sont impliqués dans la formation de contacts entre les cellules. Quand ils ont fait ça, les cellules n'avaient plus le pouvoir de se regrouper ainsi que la capacité de migrer.
Il est prévu que l'inhibition de la N-cadhérine aurait le même effet dans les cellules cancéreuses, qui se déplacent également en groupes au cours de la métastase.

Le travail a été financé par le Conseil de recherches médicales, des biotechnologies et des sciences biologiques du Conseil national de recherches et le Wellcome Trust.
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MessageSujet: Re: Compréhension du phénomène de la métastase.   Compréhension du phénomène de la métastase. Icon_minitimeVen 5 Mar 2010 - 9:55

(Mar. 5, 2010) — Researchers at Rhode Island Hospital have discovered how cells communicate with each other during times of cellular injury. The findings shed new light on how the body repairs itself when organs become diseased, through small particles known as microvesicles, and offers hope for tissue regeneration. The paper is published in the March 2010 edition of the journal Experimental Hematology and is now available online in advance of publication.


des chercheurs ont découvert comment les cellules communiquent entre elles lorsque certaines sont abimées. La découverte montre comment le corps se guérit lui-même quand les organes deviennent malades. Grâce à des microvesicules, l'espoir de regénération est là.

Lead author Jason Aliotta, MD, a physician researcher in the pulmonary/critical care and hematology/oncology departments at Rhode Island Hospital, and his colleagues focused their work on the microvesicles. These particles are several times smaller than a normal cell and contain genetic information such as messenger ribonucleic acid (RNA), other species of RNA and protein. The paper shows a novel mechanism by which the cells communicate with each other through these microvesicles. During times of cellular injury or stress, or with certain diseases like cancer, infections and cardiovascular disease, these particles are shed and then taken up by other cells in the body. The genetic information and protein in the microvesicles helps to reprogram the accepting cell to behave more like the cell from which the particle was derived.

Les chercheurs se sont concentrés sur les microvésicules. Ces particules sont plusieurs fois plus petites qu'une cellule normale et contiennent de l'information génétique comme les ARNs. L'article montre un nouveau moyen par lequel les cellules communiquent entre elles par ces microvésicules. Pendant le temps de blessures ou de certaines maladies comme le cancer, les infections ou les maladies cardio vasculaire, ces particules prennent de l'importance. Les informations génétiques et les protéines dans ces particules aident le corps à se reprogrammer et les cellules à agir plus comme les cellules d'ou viennent ces particules.

(...)

Based on their findings, the researchers also hypothesize that microvesicles could potentially be mediators of cancer metastasis. It is known that in cancer there are higher levels of circulating microvesicles, and these microvesicles may be responsible for transferring the traits of the cancer to other organs. Aliotta notes, "If we can define the microvesicles that are shed from cancer cells, we can identify unique characteristics, which might help us to block their uptake into normal cells. This could, in theory, stop the metastasis of cancer."

Basé sur leurs découvertes, les chercheurs font également l'hypothèse que les microvésicules pourraient potentiellement être les médiateurs des métastases. C'est connu que dans le cancer les niveaux de microvésicules sont élevés et peuvent être responsables du transfert des propriétés du cancer d'un organe à l'autre. Si nous pouvions définir les microvésicules qui proviennent de cellules cancéreuses, nous pourrions identifier les caractéristiques uniques et les empêcher de prendre le dessus sur les cellules normales. Cela pourrait en théorie arrêter le cancer.

Quesenberry concludes, "Our work explained in this paper and the work still to come from our COBRE grant hold great promise in terms of future treatment of tissue repair and cancer."

Notre travail constitue une grande promesse pour le futur traitement du cancer.
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MessageSujet: Compréhension du phénomène de la métastase.   Compréhension du phénomène de la métastase. Icon_minitimeMer 13 Juin 2007 - 14:06

A Swiss-based research team has published a new mechanistic description of how tumor cells migrate to the lymphatic system in the early stages of tumor metastasis. This new understanding holds significant potential for developing anti-metastasis therapies.

Une étude suisse a publié la démonstration d'un nouveau mécanisme sur comment les cellules cancéreuses migrent vers le système lymphatique dans les premiers stages de la tumeur. Ce nouveau savoir peut vouloir dire de nouvelles thérapies anti-métastases.

Scientists know that tumor cells spread via the lymphatic system, but they don't understand the details of how this deadly migration takes place. In the June 2007 issue of the journal Cancer Cell, EPFL Professor Melody Swartz and postdoctoral researcher Jacqueline Shields provide an explanation along with data to support it.

Les scientifiques savent que les tumeurs se répandent à travers le système lymphatique mais ne comprennent pas les détails sur le comment
Dans le Journal Cancer CEll des professeurs ont montré comment avec des données pour soustenir leur explication.


Tumors produce excess fluid that continually percolates from the tumor towards nearby lymphatic vessels. The EPFL research shows how tumor cells use a clever chemical strategy to exploit this slow, one-way flow in order to migrate to functional lymphatic vessels.

Les tumeurs produisent constamment un excès de fluide qui percole de la tumeur vers le système lymphatique proche. Les chercheurs ont montré que les cellules cancéreuses utilisent une stratégie de réseau chimique pour exploiter ce lent courant pour migrer vers les vaisseaux lymphatiques fonctionnelles.

As part of their intercellular drainage job, lymphatic tissues secrete small quantities of a signaling molecule. Cells migrate towards high concentrations of this molecule, so if they are close enough to the lymphatic to sense the molecule, they will migrate towards the vessel. Swartz's group showed that tumor cells secrete this same molecule.

Comme une de leur travail de drainage, les tissus lymphatiques secretent une petite quantité d'une molécule signalante. Les cellules migrent vers de hautes concentrations de cette molécule, ainsi si elles sont assez près pour capter le signal de la molécule, elles vont migrer vers le vaisseau.
Le group de Swartz a montré que les cellules cancéreuses secrétent la même molécule.


Since lymphatics drain fluid, there will always be slow fluid flow going away from the tumor into the lymphatic vessel. This slow flow biases the concentration distribution of this molecule towards the lymphatic, and the tumor cell follows it, like the proverbial carrot on a stick. Near the vessel, concentrations of the signaling molecule are reinforced by the lymphatic's own secretions, fine tuning the tumor cells' migration and guaranteeing that they will home in on the lymphatic.

Citation :
À cause du liquide lymphatique de drainage, il y a toujours une circulation lente qui s'en va de la tumeur vers le système lymphatique. Cette lente coulée fait que la concentration des molécules signalantes devient plus forte vers le système lymphatique entrainant les cellules cancéreuses avec le courant.


To demonstrate this new concept, the researchers engineered a tissue culture model of the tumor-lymphatic microenvironment and developed computational models to calculate the gradients of the signaling molecule.

Pour démontrer leur concept les chercheurs ont développer un modèle informatique pour calculer la présence des molécules signalantes dans un tissu modèle de la tumeur lymphatique.

The study provides the first evidence that tumor cells can both produce and use the same signaling molecule, and it highlights the significance of the biophysical environment in the vicinity of a tumor, particularly the existence of continuous slow flow in the direction of functional lymphatics.

L'étude prouve la criculation continuelle en direction du système lymphatique

This research could open new avenues for combating metastasis, says Swartz. "It implies that if a lymphatic was blocked, tumor cells would be less attracted to it. This means that tumor cells "know" which lymphatic vessels will be more effective routes for dissemination," she explains. "Therapeutically, it indicates that a drug target for lymph node metastases could be blocking the signaling molecule or its receptor on the tumor cell."

Cette recherche peut ouvrir une nouvelle avenue pour combattre les métastases. Ceci implique que si une lymphe est bloquée les cellules cancéreuses sont moins attirées vers elle. Ce qui signifie aussi que la cellule cancéreuse "sait" quelle lymphe et quel vaisseau est plus eficace pour se répandre. Ceci indique qu'un médicament qui ciblerait les nodules lymphatiques pourrait bloquer les molécules portant le signal ou le récepteur sur la cellule cancéreuse.


Dernière édition par Denis le Ven 5 Mar 2010 - 10:31, édité 1 fois
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