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 Prostate et alimentation

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Denis
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Denis


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MessageSujet: Re: Prostate et alimentation   Prostate et alimentation Icon_minitimeMer 9 Jan 2013 - 11:08

Published on 08 January 2013

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Vitamin D promotes the differentiation of prostate cancer cells, raising the possibility that vitamin D deficiency over time may contribute to the progression from subclinical prostate cancer to clinical disease.

La vitamine D promeut la différenciation des cellules cancéreuses, le manque de vitamine d, avec le temps, contribue à la progression d'un état de quasi-cancer subclinique à la véritable maladie.

Since low-risk prostate cancers are monitored over time in an effort to determine which progress into clinically important, more aggressive cancers, they provide an excellent model in which to study, over an extended period of time, the effects of enhancing vitamin D status and related changes in tumor progression. This is particularly relevant to African-American men, who exhibit a high prevalence of vitamin D deficiency as well as higher incidence of prostate cancer and higher mortality rates from prostate cancer than Caucasians. Our research team has recently completed an open-label clinical trial aimed at assessing the safety and potential efficacy of vitamin D3 supplementation at 4000 international units (IU) per day for one year in subjects diagnosed with early stage, low-risk prostate cancer. The results of this clinical study suggest that supplementation with vitamin D3 at 4000IU per day may benefit patients with early stage, low-risk prostate cancer on active surveillance, because of the improved outcome (a decreased number of positive cores at repeat biopsy) in more than half of the subjects enrolled in the trial. We also observed that, after one year of supplementation, there was no difference in circulating levels of vitamin D between African-American and Caucasian subjects who completed the study. These clinical results also suggest that robust and sustained vitamin D3 supplementation can reduce prostate cancer-related health disparities in African-American men and that these health disparities are at least in part the result of widespread hypovitaminosis D within the African-American population. This article is part of a Special Issue entitled 'Vitamin D Workshop'.

n.b. je ne suis pas sûr du 4000 u/jour dont parle l'article d'après moi ce serait plus 400 ui/j
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Denis
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MessageSujet: Re: Prostate et alimentation   Prostate et alimentation Icon_minitimeMar 24 Avr 2012 - 7:34

avril 2012

Afin de réduire le risque de la prostate, il est essentiel de posséder de bonnes habitudes de vie. Comment ? En consommant régulièrement fruits et légumes…mais aussi limiter les apports en graisses notamment saturées, éviter les excès de calories, pratiquer une activité physique et arrêter de fumer. La consommation répétée de viandes transformées (bacon, charcuterie, saucisses) augmente le risque de cancer de la prostate.

Pour juger des effets de l’alimentation, des recherches sont en cours pour évaluer les effets de suppléments en vitamine E, lycopène (tomate), sélénium, zinc ou d’autres produits. Toutefois, les études manquent encore de recul.
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Denis
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MessageSujet: Re: Prostate et alimentation   Prostate et alimentation Icon_minitimeMer 11 Nov 2009 - 17:01

Les viandes transformées augmenteraient le risque de cancer de la prostate


11 novembre 2009 – Les gros mangeurs de viandes transformées et, dans une moindre mesure, ceux qui consomment les viandes rouges seraient plus à risque d’être atteints du cancer de la prostate.
C’est ce qu’indiquent les résultats d’une étude1 menée auprès de 175 343 hommes âgés de 50 ans à 71 ans. Aucun ne souffrait du cancer de la prostate au départ.
Neuf ans plus tard, 10 313 cas de cancer se sont déclarés et, parmi ces cas, 1 102 participants avaient un cancer à un stade avancé, c'est-à-dire accompagné de métastases.
Les chercheurs ont découvert que ceux qui consommaient le plus de viandes transformées – charcuteries, bacon, saucisses – couraient un risque nettement plus élevé (32 %) de contracter le cancer de la prostate que ceux qui en mangaient le moins.
Chez les gros mangeurs de viande rouge, le risque de cancer augmentait légèrement (12 %) par rapport à ceux qui en consommaient le moins. Chez les amateurs de viandes grillées, le risque augmentait de 11 %.
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Denis
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MessageSujet: Re: Prostate et alimentation   Prostate et alimentation Icon_minitimeJeu 23 Juil 2009 - 12:45

Le poisson pour prévenir le cancer de la prostate

Une étude japonaise montre que le poisson réduirait le risque de décès par cancer de la prostate.


Le poisson pour prévenir le cancer de la prostateLa prostate est une glande située sous la vessie, chez l’homme, et servant à la fabrication du sperme. Avec l’âge, elle tend naturellement à grossir. On parle alors d’hypertrophie bénigne de la prostate, qui comme son nom l’indique est bénigne et donc non cancéreuse. Elle se traite par des médicaments ou de la chirurgie.


Le cancer de la prostate est une pathologie différente. En 2005, il est le cancer le plus fréquent avec plus de 60 000 nouveaux cas par an. C’est également le 4° cancer le plus meurtrier. Il touche les hommes âgés en moyenne de 74 ans.
Son évolution est généralement très lente.

Des chercheurs japonais ont cherché à établir un lien entre la consommation de poisson et le risque de décès par cancer de la prostate.

Les données de 5589 sujets âgés en moyenne au début de l’étude de 67,7 ans ont ainsi été analysées, ces derniers ayant été répartis entre les grands et les faibles consommateurs de poisson. Les sujets ont été suivis en moyenne pendant 13 ans.

Les chercheurs ont montré une relation inversement proportionnelle entre le risque de décès des suites de ce cancer et la consommation de poisson. En effet, les grands consommateurs de poisson ont vu leur risque de décès par cancer de la prostate chuter significativement de 88% !

Si ces résultats gagneront bien évidemment à être étayés par des études plus larges et portant sur une population plus « internationale », ils n’en demeurent pas moins intéressants et montrent une fois de plus l’intérêt de consommer davantage de poisson.
Olivier GRYSON - Retrouvez davantage d'articles sur www.regime-mediterraneen.fr
SOURCES
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MessageSujet: Re: Prostate et alimentation   Prostate et alimentation Icon_minitimeJeu 19 Avr 2007 - 14:08

Des produits chimiques contenus dans les crucif'res tels que le brocoli, le melon, le chous et choufleur semblent non seulement arrêter le cancer de la prostate de croître chez les souris mais aussi pourrait empêcher la formation de vaisseaux sanguins qu inourrissent les tumeurs. L'étude (numéro 4200) a été présenté à la réunion annuelle sur la recherche contre le cancer. (du 14 au 18 avril à Los-angeles)
La contribution de la diète et de la nutrition à la diminution du risque du cancer a été sous les feux de l'actualité ces dernières années parce que certains nutriements dans les légumes apparaissent protéger le corps contre les maladies comme le cancer. À partir d'études épidémiologiques on a établi que l'augmentation de comsommation de légunes réduit le risque de certains types de cancer mais maintenant nous commencons à comprendre les mécanismes par lesquelles certains légumes, comme le brocoli peuvent aider le corps à combattre le cancer et d'autres maladies.

L'étude du docteur Singh est basée sur les phytochimiques appelés isothicyanates (ITCs) trouvés dans plusieurs crucifères et générés lorsque les légumes sont coupés ou machés. Son laboratoire a trouvé que le phenethyl-ITC ou PEITC est hautement efficace pour supprimer la croissance des cellules cancéreuses à des taux accessibles de consommation.

La présente étude a trouvé que des souris auquelles ont été greffés des tumeurs de cancer de la prostate humaines et qui ont reçus des petits montants de PEITC pour 31 jours ont significativement réduit la grosseur des tumeurs à comparer à un groupe de contrôle. Les chercheurs ont montré que les cellules traitées avec le PETIC inhibent l'angiogenèse, un processus qui joue un rôle important dans la croissance et la fonction métastase du cancer en formant des vaisseaux sanguins.

"L'angiogenèse est un sujet important dans les métastases cancéreuses" dit le docteur Singh 'Nos résultats fournissent des preuves que les éléments des crucifères peuvent le ralentir ou même arrêter ce processus"
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Denis
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MessageSujet: Ce qu'il faut manger pour prévenir le cancer de la prostate.   Prostate et alimentation Icon_minitimeLun 5 Fév 2007 - 12:47

Votre régime alimentaire

Consommez-vous régulièrement les aliments suivants?
Même si eux seuls les aliments ne guériront pas à un cancer de la prostate, vous devriez jeter un coup d'œil à votre régime alimentaire pour vérifier si vous mangez suffisamment des aliments suivants.

Les poissons riches en acide gras, tels le saumon, la sardine le hareng et le maquereau peuvent réduire du tiers les risques de cancer de la prostate.

Les acides gras oméga-3 aident au maintien d'une prostate en santé et régénèrent les tissus lésés. On les trouve dans la truite, les anchois, le tassergal (blue fish), le germon (thon blanc), le tofu, les noix de Grenoble, l'huile de canola et les légumes-feuilles.

Il a été démontré que les aliments riches en lycopène aidaient à combattre le cancer de la prostate. La lycopène est présente dans la goyave, la papaye, le pamplemousse rose, la pastèque (melon d'eau), la tomate, les produits dérivés de la tomate, le ketchup et le jus de légumes.

La vitamine D, on la trouve dans les crevettes, dans le lait écrémé 1 % et dans les huiles de poisson, mais elle est aussi produite par l'organisme et cette production est activée par l'exposition aux rayons solaires ultraviolets. Bien que l'on pense que la vitamine D a un effet protecteur contre le cancer de la prostate, le calcium élimine la vitamine D produite de façon naturelle par l'organisme. Si vous songez à prendre des suppléments, parlez-en à votre médecin afin de connaître les quantités appropriées.

Le sélénium, on a découvert que des suppléments de sélénium diminuaient de moitié ou presque la fréquence du cancer de la prostate. Pour obtenir un supplément de sélénium, assurez-vous de manger de la viande, du poisson, des céréales, des produits laitiers, des œufs, des noix du Brésil, de l'ail, des champignons et des asperges.
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Marie

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MessageSujet: Prostate et alimentation   Prostate et alimentation Icon_minitimeVen 3 Nov 2006 - 21:18

Cancer de la prostate : efficacité d’un changement de style de vie

Les individus de sexe masculin débutant un cancer de la prostate et qui adoptent un changement de leur régime alimentaire et de leur mode de vie connaîtraient, selon une nouvelle étude, un arrêt ou même une inversion de l’évolution de la maladie.

Placée sous la direction de Dean Ornish et Peter Carroll, de l’Université de Californie (San Francisco, Etats-Unis), et de William Fair, du Memorial Sloan-Kettering Cancer Center (New York, Etats-Unis), une équipe de chercheurs a étudié 93 individus de sexe masculin dont la biopsie révélait un cancer de la prostate. Ils ont été divisés en deux groupes, l’un à qui il a été demandé d’accomplir des changements significatifs de régime alimentaire et de mode de vie, et l’autre, pour lequel cela n’était pas le cas, servant de groupe témoin.

Au bout d’un an, les chercheurs ont observé que les niveaux de PSA, une protéine secrétée par la prostate, qui augmente en cas de cancer de celle-ci, avaient décru à l’intérieur du premier groupe pendant qu’ils croissaient dans l’autre groupe, soit une corrélation directe entre le degré de modification du mode de vie et les changements de niveaux de PSA. Ils ont en outre observé que le sérum provenant des participants inhibait le développement de la tumeur de la prostate in vitro à hauteur de 70% dans le groupe où les changements étaient intervenus, et de 9% seulement dans le groupe témoin, autre corrélation entre le degré de modification du mode de vie et l’inhibition du développement de la tumeur.

Aucun des individus ayant modifié leur style de vie ne suivait de traitements conventionnels de tumeurs de la prostate tels que la chirurgie ou la chimiothérapie, durant la période de l’étude. Par contre, six membres du groupe témoin suivaient des traitements conventionnels parce que leur maladie progressait.

Le régime alimentaire modifié consistait en premier lieu à consommer des fruits et légumes, des féculents, des légumes supplémentés en minéraux et vitamines. Les individus concernés participaient à des exercices modérés d’aérobie, des séances de yoga/méditation et à une session hebdomadaire de groupe de soutien. Il a été noté en outre une amélioration de leur qualité de vie. Les modifications de régime alimentaire et de mode de vie qui, dans de précédentes recherches, s’avéraient à même d’inverser l’évolution des coronaropathies, affecteraient aussi la progression des cancers de la prostate.
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