De la pointe d’un crayon,
Elle dessinerait ses mains.
Pour les faire vibrer
Au souffle du désir.
De la douceur du pinceau,
Elle referait la courbe de ses yeux.
Les illuminant de mille éclats
Aux frontières d’envies.
De la souplesse du couteau
elle ferait vivre son corps
Le faisant à peine frémir,
A l’orée de troublantes frontières.
De la transparence du pastel
Elle lui volerait son sourire
Pour le faire vivre cent fois
Sur la toile de ses nuits peintes ….
@nola 01/06