films

J'aimerais voir ce film et l'autre avant aussi, je mets des notes pour me rappeler et je les commenterai s'il y a lieu quand je les aurai vu.

Le résumé :

Citation :

Adam a 27 ans, un boulot à la radio qu’il aime, une copine (Bryce Dallas Howard), un meilleur ami (Seth Rogen), quand un jour tout s’effondre. Atteint d’une rare forme de cancer autour de sa colonne vertébrale, il assistera, impuissant, au morcellement de son existence, alors qu’il tente de survivre à la maladie.

Le film n’est pas l’histoire d’un héros, encore moins celle d’une quête miracle pour un remède qui sauvera Joseph Gordon-Levitt à la dernière minute. L’acteur joue un personnage ordinaire, doté d’une vie ordinaire, et qui se retrouve confronté à une maladie malheureusement de plus en plus ordinaire. Sa copine le trompe, sa vie part en lambeaux, et il finira par développer une relation avec sa psychologue, la toujours timide mais ô combien séduisante Anna Kendrick (Up in the Air, Scott Pilgrim VS The World).

À travers les épreuves et la lente descente aux enfers du cancer, Seth Rogen est là – comment l’oublier! -, et est en charge de l’aspect comédique du film. Franc, direct, peut-être même trop direct… il parvient constamment à alléger l’ambiance en faisant rigoler les spectateurs, et le tout donne l’occasion de traiter le cancer et le scénario du film comme faisant partie de la vie de tous les jours, et non pas comme une horrible tragédie, ce qui donne un petit goût de nouveauté à l’ensemble.

Gordon-Levitt est à son aise dans le film, ne cherchant jamais à en faire trop, en étant même un peu effacé par rapport à Seth Rogen lorsque ce dernier fait le pitre. Loin d’être un héros, il est humain, tout simplement.

Le résumé :

Citation :

Un jeune couple de bobos confronté à la maladie potentiellement mortelle de son enfant. Sur le papier, le sujet de La guerre est déclarée a de quoi faire prendre la poudre d'escampette aux ennemis des mélodrames, craignant de faire exploser leur budget annuel de mouchoirs en papier en une seule projection. Pourtant ce deuxième film de Valérie Donzelli, après l'amusant La Reine des pommes (2009), n'a rien d'un tire-larmes.

Des émotions puissantes

Des larmes il y en a, quand les héros, interprétés par Valérie Donzelli elle-même et Jérémie Elkaïm, son ancien compagnon à la ville, deviennent des combattants du parcours de santé. Mais leur hargne contre l'adversité est si puissante, leur désir de vaincre la maladie si contagieux que des émotions puissantes ne laissent pas la moindre place à l'apitoiement.

On chante, on crie et on aime dans ce film autobiographique, intense et merveilleusement vivant qui a connu un accueil triomphal en ouverture de la Semaine de la critique de Cannes avant de remporter des prix à Paris Cinéma et à Cabourg.

Majoritairement tourné avec un appareil photo permettant une grande liberté de mouvement, cette chronique d'un combat sans merci suit l'itinéraire de ses personnages du bonheur à l'adversité. Refusant un suspense facile, la réalisatrice trouve un équilibre gracieux entre réalisme et conte. Il y a de la magie dans ce drame que sa réalisatrice n'hésite pas à prendre à bras-le-corps pour livrer un message d'amour. Valérie Donzelli enrôle le spectateur dans sa guerre et le laisse comblé au terme d'une belle aventure humaine.

La chanson "Ailleurs" de Félix Leclerc qui est chantée intégralement dans le film "Le bruit des glaçons"

Citation :

Je brise tout ce qu'on me donne
Plus je reçois et moins je donne
Plus riche que forêt d'automne
N'aide personne

Bonheur m'alourdit et m'ennuie
Ne suis pas fait pour ce pays
Avec les loups suis à l'abri
Clarté qui bouge et toi qui gigues

L'amour n'est pas sous tes draps blancs
Au fond des cieux où sans fatigue
Le vent
Matin qui joue sur l'océan

Soir de gala rempli d'enfants
Ailleurs, cher amour, on m'attend
Il faut que tu y sois aussi
Sinon je ne sors pas d'ici

Cent fois mourir homme dans tes bras
Que vivre dieu là-bas sans toi
Te l'ai dit en janvier
Te le dirai en août

J'ai écouté ce film de Bertrand Blier qui s'appelle "Le bruit des glaçons" et qui parle un peu du cancer.

Je ne suis pas sûr d'avoir aimé au fait. Il y a des choses bien comme la chanson de Félix qui a une belle voix c'est agréable même si ce n'est pas sa meilleure parce qu'elle est un peu compliqué cette chanson ce qui ne ressemble pas à Félix de nous faire travailler des méninges.

Et c'est le reproche principale que je ferais au film : c'est intellectuel ! c'est français aussi : l'image de la femme dans ce film ... ouille je suis pas sûr ça me fait penser à l'image de la femme dans les valseuses. Je suis peut-être très prude mais quand même : la servante profite du fait qu'il soit saoul pour se faufiler dans le lit du patron et en même temps fait l'amour au fils qui me semble avoir 15 ou 16 ans. Surtout c'est pas expliqué loquiquement dans l'histoire mais c'est vrai qu'on a largué la logique dès les premières images lorsque le cancer personnifié du gars se présente à sa porte.

L'actrice que je ne connais pas à reçu un trophée pour son interprétation ouais !... Qu'est-ce que ça veut dire des Français ce trophée on se le demande dans cet aire post Strauus-khanienne

Jean Desjardins n'est pas un bon choix non plus. en tant que père du jeune lorsqu'il apprend de son fils qu'il a couché avec sa maitresse, il sourit et on voit l'espace d'une seconde le sourire de l'agent 007, le tombeur de dames, que rien ne saurait choqué. Il ne réussit pas à faire oublier que c'est un comique, surtout que son partenaire de jeu est Dupontel qui a une face comique au départ et que la situation en elle-même est loufoque.

Le punch est pas mal mais ne sauve pas le film. Il manquait un peu de bonheur dans le film et ça arrive à la fin et pour quelqu'un qui a le cancer même si c'est totalement fou cette fin c'est mieux que si les deux étaient morts de leurs cancers.

Il y a des choses bien comme de dire que c'est seulement ceux qui t'aiment réellement qui voit le cancer, ça dénote une belle sensibilité mais il est passé à coté d'un bon film par manque d'un discours clair.

Salut Denis,

Je cherchais des infos sur le l'hypothétique "poète vénézuélien" qu'évoque Sean Penn dans sa tirade du resto et je suis tombée sur votre évocation de cette scène. Bon je ne sais toujours pas si ce poète existe bien et en plus j'ai découvert la fin de l'histoire sans l'avoir voulu mais vos commentaires sont intéressants.
Par contre j'arrive bien après la bataille car votre billet semble dater de l'année dernière...

Bon je vais regarder la fin du film, j'y trouverai certainement autant d'intensité que vous malgré les improbabilités que vous mentionnez...

Merci

10-05-2010

À six ans, il était condamné. La médecine avait fait un X sur lui : son cancer du cervelet était plus fort que la chirurgie, plus fort que la chimiothérapie. Avant de mourir, David Marenger n’avait plus qu’un rêve d’enfant : attraper un papillon bleu.

Un rêve que la fondation Rêves d’enfants permettra de réaliser: il est allé au Mexique, avec sa mère et l’entomologue Georges Brossard, capturer ce spécimen rare, pour compléter sa collection avant de mourir. C’était en 1987.

Son histoire avait inspiré Le Papillon bleu, un film de Léa Pool avec Pascale Bussières et Allan Osborne, qui connut un certain succès en 2004.

Mais, contre toute attente, David Marenger n’est pas mort.

Intitulé Slacker Uprising, le film porte sur la tournée de Michael Moore auprès des jeunes dans 62 villes durant les élections présidentielles de 2004. À partir du 23 septembre, le film pourra être téléchargé gratuitement durant trois semaines par les résidents nord-américains.

n documentaire retraçant le calvaire d’une jeune femme atteinte d’un cancer rarissime, maîtrisable jusqu’à un certain point, mais à l’issue nécessairement fatale: voilà qui n’annonce rien de jojo. Crazy Sexy Cancer est effectivement un «outil de sensibilisation», mais présenté sous la forme d’un journal intime.

L’actrice Kris Carr y livre ses états d’âme, ses inquiétudes et ses introspections en toute candeur, depuis le jour du terrible diagnostique jusqu’à sa quête frénétique de remèdes en tous genres. N’ayant rien à perdre, mais gardant toujours l’espoir un peu absurde d’une guérison totale, Carr fera l’expérience d’à peu près toutes les médecines alternatives et les traitements marginaux, allant de la macrobiotique aux cristaux magiques, tâtant ici du bouddhisme et là de la danse-thérapie. C’est surtout au contact de femmes, elles aussi ultimement condamnées, que Kris apprendra à s’arranger, non sans peine, avec les difficultés du sort, à repenser la vie, la mort, bref à entreprendre ce que les adeptes de la psycho pop appelleraient une «démarche vers la conscience personnelle».

Mais ce Crazy Sexy Cancer, comme son titre léger et foufou le laisse supposer, n’est pas le journal d’une ésotérique mais d’une fille éveillée, pas dupe, en proie à des accès de colère, de terreur et de tristesse parfaitement compréhensibles, mais capable de recul et d’humour.

J'ai pris ce résumé sur cyberpresse, je n'ai pas vu ce documentaire mais ça me semble bien, si quelqu'un le voit vous me donnerez votre idée...

Un film de Léa Pool que je viens de visonner à la télé. C'est bien surtout que c'est basé sur une histoire vraie apparemment. Quelques belles trouvailles dans les images et bon jeu des acteurs.

Citation :

Fière de son engagement envers la Fondation Rêves d'Enfants, Bell est heureuse de présenter le film Le Papillon Bleu, le récit du premier voeu jamais exaucé par la Fondation Rêves d'Enfants.

Inspiré d'un fait vécu par l'entomologiste québécois Georges Brossard, fondateur de l'Insectarium de Montréal, Le Papillon Bleu raconte l'histoire de David, un jeune garçon de dix ans atteint d'un cancer. Son rêve ultime est d'attraper le plus beau papillon qui soit, le rare et mythique Morpho bleu, que l'on ne trouve que dans les forêts tropicales d'Amérique centrale et d'Amérique du Sud. Teresa, la mère (Pascale Bussières) du garçon (Marc Donato) arrive à convaincre un entomologiste (William Hurt) réputé de les emmener dans la jungle, elle et son fils, afin de trouver le mystérieux papillon aux ailes d'azur. L'aventure transformera leur vie.

Le film l'huile de Lorenzo est très touchant et réconfortant parce qu'il mets en image les efforts immenses des parents pour sauver leur fils. C'est basé sur une histoire vraie, l'Article ici rapporte que ce fils est mort aujourd'hui.
Si vous n'Avez pas vu ce film, je vous le conseille, j'ai beaucoup aimé personnellement.

Citation :

Lorenzo Odone, un jeune homme dont la maladie rare avait suscité les efforts exemplaires de ses parents pour le guérir et qui a inspiré le scénario du film Lorenzo's Oil en 1992, est décédé à l'âge de 30 ans, rapportent samedi des médias américains.

Son père, Augusto Odone, a indiqué au Washington Post que Lorenzo est décédé chez lui vendredi en Virginie (nord-est) d'une pneumonie.

Lorenzo Odone avait été très affecté par une maladie rare, l'adrénoleucodystrophie, un fléau qui provoque des mutations génétiques qui détruisent le système nerveux.

Cette maladie provoque une dégradation du cerveau, puis la mort mais Lorenzo était parvenu à vivre 20 ans de plus que tout ce que les docteurs avaient prédit.

Augusto Odone a précisé que la mort de son fils «n'avait pas été causée par sa maladie» mais par une pneumonie par inhalation, ce qui peut être provoqué par l'inhalation d'un objet étranger dans les poumons.

Selon le journal, le père du jeune homme a attribué la survie de son fils à un traitement dérivé d'huiles d'olive et de colza qu'il avait découvert lui-même, peu après que son fils eut été diagnostiqué avec cette maladie à la fin des années 1980.

Le film Lorenzo's Oil, réalisé par George Miller, dépeignait la découverte du traitement par le père et les efforts touchants des deux parents, joués par Nick Nolte et Susan Sarandon, pour prolonger la vie de leur fils. L'actrice avait été nominée pour les Oscars pour ce rôle.

Un autre beau film Québécois :




T'es mon amour, t'es mon gars.
Tu peux pas me répondre bébé papa est dans la machine
Papa est dans la télévision
À l'heure qu'il est, tu dois savoir que papa est partie.
Je le sais que c'est pas facile
Écoute-moé mon amour
Tout ce qu eje veux te dire c'est à quel point t'es beau
À quel point t'es une splendeur
À quel point t'es la seule affaire dans la vie qui m'a fait croire en Dieu
À quel point j't'envie
J't'envie de toutes les choses qui t'attendent mon bébé, les feux de camps, les ciels étoilés,
Les patates frites, c'est tellement bons les patates frites quand on est p'tit
La dernière journée d'école, quand la cloche sonne pi que l'été t'appartient
Les premiers frenchs, l'automne, l'odeur, toute la magie prends-la, garde-la, soigne la.
La vie c'est un mystère bébé, y a juste les grandes personnes qui pensent le contraire.
Pi si j'amais t'arrête de la trouver mystérieuse, dis-toé que c'est parce que tu joues fessier.
Bon, soit fier, arrange-toi pour être fier. Laisse-toé par marcher ses pieds, joue arrête jamais de jouer.
Pi aimes surtout surtou aime t'es mon amour
J't'aime, y a pas de mots.

Le film 21 grammes

Citation :

Il y a un chiffre caché dans chaque acte de vie, dans chaque aspect de l'univers. Il y a les fractales, la matière. Il y a un chiffre qui s'époumonne à nous communiquer quelque chose. je vous ennuie sans doute. -Non.
Alors j'essaie de leur faire comprendre que les chiffres sont une des clés qui nous aide à comprendre un mystère qui est plus grand que nous. comment deux étrangers en viennent-ils à se rencontrer ?
Il y a un poême d'un écrivain vénézuélien qui commence ainsi.

La terre a tourné dans le but de nous réunir
elle a tourné sur elle-même et en nous
Jusqu'à ce qu'elle finisse par nous réunir dans ce rêve incroyable

Incroyable c'est le mot. Un homme sur le point de mourir se fait transplanter le coeur d'un autre homme mort d'un accident de la circulation. Il veut retrouver la personne qui lui a donné ce coeur et lui a permis de vivre et engage un détective privé.

Une fois la personne retrouvée, une femme qui a perdu son mari et ses deux filles dans un accident et qui retrouve son ancienne vie de junky, il va essayé et réussir à la séduire.

Par amour pour elle il va retrouver le gars qui a écrasé son mari et ses filles et faire semblant de le tuer.


C'est un fim un peu compliqué à comprendre car la trame ne suit pas la chronologie des évênements, ça prend une écoute pour remettre les évênements en ordre dans sa tête et une écoute pour apprécier le film.

Néammoins je l'ai trouvé très intense au n iveau des émotions. C'est un constant mélange d'amour-haine-culpabilité. C'est est étourdissant et un peu incroyable que des gens vivent sur un tel niveau d'intensité. Mais ça vaut la peine quand même d'être vu.

Paradoxalement ça peut être une histoire encourageante car ce gars qui va avoir un nouveau coeur ne se ménage pas du tout : une nouvelle histoire d'amour alors qu'il est déja en couple avec Charlotte Gainsbourgs (dans le film...) et une tentative de meutre suivi d'une balle qui va recevoir en plein thorax et s'en tirer alors que son organisme était déja en train de rejeter son nouveau coeur...C'est un peu trop pour un seul gars mais enfin c'est du cinéma.

J'ai ete regarde sur un site ciné et c'est vrai qu'il doit etre bien ce film ?!
si j'ai l'occasion ,j'essairais de le voir ...

C'est une image tirée du film Babel que j'ai écouté hier. Très beau film je dirais. Les images sont belles et nous font voyager dans différents pays. Ça parle de solitude et de culpabilité aussi je crois.

On suit l'histoire de divers personnages dans différents pays mais ils sont tous reliés par une histoire commune. Dans l'image, c'est une jeune japonnaise qui essaie de faire l'amour pour la première fois et elle ne réussit pas, ici elle est repoussé par un homme plus vieux qu'elle qui est détective et qui voulait parlé à son père à cause d'un fusil que celui-ci a donné lors de sont voyage de chasse au Maroc.

C'est une émission qui passe sur le canal historia et qui me fait énormément rire.

On peut la visionner aussi sur le site du poste à historiatv.com