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 L'alimentation pour prévenir le cancer

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Denis
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MessageSujet: Re: L'alimentation pour prévenir le cancer   L'alimentation pour prévenir le cancer Icon_minitimeVen 16 Mar 2018 - 13:19

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Denis
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MessageSujet: Re: L'alimentation pour prévenir le cancer   L'alimentation pour prévenir le cancer Icon_minitimeMer 17 Jan 2018 - 17:48

Des choses à éviter auxquelles on ne pensent pas nécessairement :

-La tomate en elle-même est un aliment efficace qui aide à lutter contre le cancer, mais lorsqu'elle est mise en conserve c'est une autre histoire. Elle est alors en contact avec l'acier qui contient dans sa composition chimique du bisphénol-A qui est considéré comme nocif pour l'homme.

-Les sodas contiennent de grosses quantités de sucre et sont néfastes pour la santé en apportant un grand nombre de calories. Il a été prouvé que les personnes qui buvaient plus d'un soda par jours seraient plus sujets aux AVC que les personnes qui n'en boivent pas.

-Les saumons d'élevage ne sont pas nourris naturellement et les bassins dans lesquels ils grandissent sont pollués de pesticides, antibiotiques, produits chimiques et autres substances cancérogènes et sont à éviter à tout prix.

-Les viandes transformés telles que les saucisses, le bacon, la sauce bolognaise, et bien d'autres contiennent des conservateurs, des produits chimiques, beaucoup de sel, et du nitrate de sodium connus pour leurs effets nocifs sur le corps humain.

-Les sachets de popcorn. L'acide perfluorooctaanoïque, un produit chimique que l'on retrouve sur les sachets de popcorn est un composant qui augmenterait les risques de plusieurs cancers et qui agirait vers l'infertilité des femmes, Il est conseillé de ne pas consommer ce produit.

-Les chips. Ils contiennent des arômes artificiels, des conservateurs et des colorants et beaucoup de gras qui peuvent causer des taux de cholostrérol et des tensions artérielles élevés et comme les chips sont frits à haute température elle produisent de l'acrylamide qui serait un agent cancérigène.

-Les graisses végétales hydrogénées. Elles causent des problèmes cardiaques et augmentent le risque de plusieurs cancers car elle contiennent des acides gras et des oméga 6 en grande quantité.

-Les OGM. Des études ont été réalisées dans lesquelles des rats auraient vu leur système immunitaire se détériorer en lassant apparaitre des cellules pré-cancéreuses quand on les auraient nourris avec des aliments OGM, d'après l'institut Rowerr en Écosse.

-Les sucres raffinés favorisent la croissance et la formation des cellules cancéreuses et provoquent des pics d'insuline. C'est pour cette raison qu'il faut surveiller son alimentation et veillez à ce qu'elle ne soit pas trop riche en sucres pour diminuer le nombre de cancers qui ne cesse de croitre.

-L'aspartame. C'est une composant principal des édulcorants artificiels, c'est un produits chimique qui se transforme en toxine DKP qui est une toxine mortelle et cancérigène qui se forme dans votre estomac.

La farine industrielle. Elle est maintenant blanchie avec du chlore qui est nocif pour le corps humain, son niveau glycémique étant aussi très élevé il peut contribué directement au diabète. Les nutriments naturels sont détruits par l'affinage industriel.

-L'alcool. Bien qu'une consommation raisonnable de certains alcools peut être bénéfique pour la santé, sa consommation excessive peut cependant causer des problèmes cardiaques et entraine la mort. Il faut savoir que la consommation d'alcool reste la deuxième cause de cancer derrière le tabac.

-La viande rouge. La consommation de la viande rouge peut être bénéfique pour votre santé, si les animaux ont été bien élevés et si elle consommée en petite quantité. À l'inverse vous pouvez constater le risque de cancer ( de la prostate, du côlon, du sein) augmenter de 20% si la consamation est régulière et en grande quantité. C'est pour cette raison qu'il est important d'avoir une alimentation variée.

-La charcuterie. Elle contient des nitrites de sodium qui peuvent construire des cellules cancéreuses (nitrosamines) et qui peuvent engendrer des risques de cancer de l'appareil digestif si la consommation de la charcuterie est fréquent et ne grande quantité.

-Certaines céréales. Elles contiennent bien plus de vitamines A que le corps humain en a besoin. Elles contiennent aussi du zinc et de la niacine. Ces éléments peuvent provoquer et être lié à la perte des cheveux, des lésions du foie, des anomalies du squelette ou altérer le système immunitaire qui est la principale défense de notre corps contre les maladies.

-Les aliments frits. Ce sont les aliments les plus dangereux de votre alimentation qui causent des prises de poids, des taux de cholestérol élevés et sont également les causes principales des maladies cardiaques. Évites-les à tout prix.

-La glace. La glace contient beaucoup de matières grasses et peut perturber votre circulation en augmentant le mauvais cholestérol ce qui pourrait provoquer des maladies cardiaque et des avc.

-Les viandes ou poissons fumées. Ils absorbent du goudron pendant leur cuisson. Le goudron est bien connu pour être cancérigène puisqu'on le retrouve également dans les cigarettes. Le goudron augmente donc le risque de cancer du côlon et l'estomacé

-Le café. Le café contient des antioxydants qui sont bons pour la santé lorsque celui-ci est consommé avec modération car il contient également de l'acrylamide, un composant qui serait cancérigène. Une consomation excessive peut donc accroitre le risque de maladies cardiaques de cholestérol et d'ostéoporose.

-Les fruits et légumes non bios. Les fruits et légumes gardent toujours les résidus de produits chimiques comme les pesticides ou les fertilisants même en les rinçant. Ces produits augmentent le risque de plusieurs cancers et il est donc recommandé de consommer des fruits et légumes bio qui ne sont pas contaminés par ces produits.

-La confiture. Si la confiture est consommé au quotidien, elle favorise les problèmes cardiaques, le stockage des graisses et le diabtre à cause de sa teneur en sucre et sirop de glucose-fructose pour les confitures que l'on retrouve dans les grandes surfaces. Les risques de cancer (du pancréas et du foie) sont alors plu sélevés.

-Le camembert. Il est le même que pour les fromages affinés. S'ils sont consommés en trop grandes quantités.Leur teneur en graisse animal saturées augmente considérablement les risques de cancers (prostate, sein) et en particulier chez les plus de 50 ans.

-Les aliments allégés. Dans la plupart des aliments dits allégés on retrouve une quantité étonnante de produits chimiques dangereux pour la sanét comme l'aspartame, la saccharine ou encore la sucralose. Ces engrédients seraient cancérigènes et donc très mauvais pour votre corps.
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Denis
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MessageSujet: Re: L'alimentation pour prévenir le cancer   L'alimentation pour prévenir le cancer Icon_minitimeLun 25 Déc 2017 - 13:45

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Denis
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MessageSujet: Re: L'alimentation pour prévenir le cancer   L'alimentation pour prévenir le cancer Icon_minitimeJeu 17 Aoû 2017 - 11:54

Diet is believed to play a role in cancer risk. Current research shows that an estimated 30% of cancers could be prevented through nutritional modifications. While there is a proven link between obesity and certain types of cancer, less is known about how the ratio of energy to food weight, otherwise known as dietary energy density (DED), contributes to cancer risk. To find out, researchers looked at DED in the diets of post-menopausal women and discovered that consuming high DED foods was tied to a 10% increase in obesity-related cancer among normal weight women. Their findings are published in the Journal of the Academy of Nutrition and Dietetics.

DED is a measure of food quality and the relationship of calories to nutrients. The more calories per gram of weight a food has, the higher its DED. Whole foods, including vegetables, fruits, lean protein, and beans are considered low-DED foods because they provide a lot of nutrients using very few calories. Processed foods, like hamburgers and pizza, are considered high-DED foods because you need a larger amount to get necessary nutrients. Previous studies have shown that regular consumption of foods high in DED contributes to weight gain in adults.

In order to gain a better understanding of how DED alone relates to cancer risk, researchers used data on 90,000 postmenopausal women from the Women's Health Initiative including their diet and any diagnosis of cancer. The team found that women who consumed a diet higher in DED were 10% more likely to develop an obesity-related cancer, independent of body mass index. In fact, the study revealed that the increased risk appeared limited to women who were of a normal weight at enrollment in the program.

"The demonstrated effect in normal-weight women in relation to risk for obesity-related cancers is novel and contrary to our hypothesis," explained lead investigator Cynthia A. Thomson, PhD, RD, Professor of Health Promotion Sciences at the University of Arizona Mel and Enid Zuckerman College of Public Health in Tucson, AZ. "This finding suggests that weight management alone may not protect against obesity-related cancers should women favor a diet pattern indicative of high energy density."

Although restricting energy dense foods may play a role in weight management, investigators found that weight gain was not solely responsible for the rise in cancer risk among normal weight women in the study. They hypothesize that the higher DED in normal-weight women may cause metabolic dysregulation that is independent of body weight, which is a variable known to increase cancer risk.

While further study is needed to understand how DED may play a role in cancer risk for other populations such as young people and men, this information may help persuade postmenopausal women to choose low DED foods, even if they are already at a healthy body mass index.

"Among normal-weight women, higher DED may be a contributing factor for obesity-related cancers," concluded Dr. Thomson. "Importantly, DED is a modifiable risk factor. Nutrition interventions targeting energy density as well as other diet-related cancer preventive approaches are warranted to reduce cancer burden among postmenopausal women."

---

On pense que ce que l'on mange joue un rôle dans le risque de cancer. Les recherches actuelles montrent qu'environ 30% des cancers pourraient être évités grâce à des modifications nutritionnelles. Bien qu'il existe un lien éprouvé entre l'obésité et certains types de cancer, on connaît moins le rapport entre l'énergie et le poids de l'alimentation, autrement connu sous le nom de densité d'énergie alimentaire (DED), contribue au risque de cancer. Pour en savoir plus, les chercheurs ont examiné le DED dans le régime des femmes post-ménopausées et ont découvert que la consommation de grands aliments DED était liée à une augmentation de 10% du cancer lié à l'obésité chez les femmes ayant des poids normaux. Leurs résultats sont publiés dans le Journal of the Academy of Nutrition and Dietetics.

Le DED est une mesure de la qualité des aliments et de la relation entre les calories et les nutriments. Plus il y a de calories par gramme de poids, plus son DED est élevé. Les aliments entiers, y compris les légumes, les fruits, les protéines maigres et les haricots, sont considérés comme des aliments à faible teneur en DED parce qu'ils fournissent beaucoup de nutriments en utilisant très peu de calories. Les aliments transformés, comme les hamburgers et les pizzas, sont considérés comme des aliments à haute teneur en DED parce que vous avez besoin d'une quantité plus importante pour obtenir les nutriments nécessaires. Des études antérieures ont montré que la consommation régulière d'aliments riches en DED contribue au gain de poids chez les adultes.

Afin de mieux comprendre comment le DED seul se rapporte au risque de cancer, les chercheurs ont utilisé des données sur 90 000 femmes ménopausées de l'Initiative pour la santé des femmes, y compris leur alimentation et tout diagnostic de cancer. L'équipe a constaté que les femmes qui consommaient un régime plus élevé dans le DED étaient 10% plus susceptibles de développer un cancer lié à l'obésité, indépendamment de l'indice de masse corporelle. En fait, l'étude a révélé que le risque accru était limité aux femmes qui avaient un poids normal à l'inscription au programme.

«L'effet démontré chez les femmes de poids normal par rapport au risque de cancers liés à l'obésité est nouveau et contraire à notre hypothèse», a expliqué l'investigatrice principale Cynthia A. Thomson, Ph.D., RD, professeur de sciences de la promotion de la santé à l'Université de l'Arizona Mel Et Enid Zuckerman College of Public Health à Tucson, AZ. "Cette découverte suggère que le contrôle du poids seul peut ne pas protéger contre les cancers liés à l'obésité, si les femmes préfèrent un régime alimentaire indiquant une forte densité d'énergie".

Bien que la restriction des aliments énergétiques denses puisse jouer un rôle dans la gestion du poids, les chercheurs ont constaté que le gain de poids n'était pas seul responsable de l'augmentation du risque de cancer chez les femmes ayant des poids normaux dans l'étude. Ils émettent l'hypothèse que le DED plus élevé chez les femmes de poids normal peut provoquer une dysrégulation métabolique qui est indépendante du poids corporel, ce qui est une variable connue pour augmenter le risque de cancer.

Bien qu'une étude plus approfondie soit nécessaire pour comprendre comment le DED peut jouer un rôle dans le risque de cancer pour d'autres populations, comme les jeunes et les hommes, cette information peut aider à persuader les femmes ménopausées de choisir des aliments à DED faibles, même s'ils sont déjà à un indice de masse corporelle sain .

«Chez les femmes de poids normal, un DED plus élevé peut être un facteur contributif pour les cancers liés à l'obésité», a conclu le Dr Thomson. "Il est important de noter que le DED est un facteur de risque modifiable. Les interventions nutritionnelles visant la densité énergétique ainsi que d'autres approches préventives contre le cancer liées au régime sont justifiées pour réduire le taux de cancer chez les femmes ménopausées".
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MessageSujet: Re: L'alimentation pour prévenir le cancer   L'alimentation pour prévenir le cancer Icon_minitimeDim 4 Déc 2016 - 11:45

Devant le buffet des fêtes, on attrape une tranche de jambon, puis trois ou quatre saucisses enroulées dans le bacon et un morceau de terrine. Comment résister ?
Pourtant, l’Organisation mondiale de la santé considère les charcuteries comme cancérigènes depuis 2015. On suspecte notamment les nitrites et les nitrates, des agents de conservation synthétiques ou naturels, d’augmenter les risques de cancer (de très peu, mais tout de même).

La chercheuse Satinder Kaur Brar du Centre Eau Terre Environnement de l’Institut national de la recherche scientifique (INRS) et son collègue Khaled Belkacemi, de l’Université Laval, ont trouvé une solution de rechange bien relevée à ces nitrites et nitrates : des épices aux multiples bienfaits.

Dans plusieurs pays, dont l’Inde d’où est originaire Satinder Kaur Brar, les épices servent depuis des siècles à préserver les viandes. Son équipe a décidé d’insuffler un peu de science à ce savoir traditionnel. Elle a analysé les propriétés antimicrobiennes et antioxydantes de plusieurs épices.

Les chercheurs devaient exclure celles qui contiennent des nitrites et nitrates naturels, comme le sel de céleri. Ce dernier est ajouté dans des charcuteries dites « sans nitrite ajouté » ou « sans agent de conservation ». Ces saucissons et terrines « naturels » contiennent donc quand même des nitrites.

C’est finalement sur la cannelle, le clou de girofle, le poivre noir, la poudre de raisin et la poudre de baies que les chercheurs ont jeté leur dévolu afin de remplacer les agents de conservation pour de bon. Ces épices permettent aussi à la viande de garder une belle couleur rosée.

Pas de souci, votre jambon ne risque pas de goûter le pain d’épice ! « Nos tests de goût ont confirmé qu’on pouvait utiliser les condiments en faible concentration de façon à ce qu’elles ne changent pas énormément les propriétés organoleptiques, soit la saveur, l’odeur, l’aspect et la texture de la viande », explique la chercheuse.
Pour qu’une commercialisation soit possible, il fallait aussi porter une attention particulière au coût de fabrication. « C’est certain que les épices sont plus dispendieuses que les sels nitrés injectés dans les charcuteries, mais on réussirait à produire notre jambon au même coût que son pendant biologique, précise Satinder Kaur Brar. Je crois que la population sera prête à payer ce prix. »

Impossible par contre encore de savoir quand on pourrait voir ces nouvelles charcuteries sur les rayons des supermarchés.

« La technologie est facilement applicable et pratiquement prête à être utilisée pour la commercialisation, indique la chercheuse. Tout dépendra de la volonté des industriels à aller de l’avant. Ou peut-être seront-ils forcés de le faire en raison d’une nouvelle réglementation. »

Pour la petite histoire, soulignons que Satinder Kaur Brar est végétarienne depuis sa plus tendre enfance. « La viande, ce n’est pas pour moi, affirme-t-elle, mais je suis très consciente que bien des gens en mangent beaucoup et qu’il était important de trouver une solution santé pour remplacer les agents de conservation. »
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MessageSujet: Re: L'alimentation pour prévenir le cancer   L'alimentation pour prévenir le cancer Icon_minitimeMer 31 Aoû 2016 - 15:55

Deux récentes études américaines confirment qu'une consommation quotidienne de céréales complètes permet de vivre plus longtemps. Ces aliments permettraient non seulement de diminuer de façon notable les risques liés aux maladies cardio-vasculaires, respiratoires et infectieuses mais réduiraient également les risques liés aux cancers et diabètes.
Selon ces travaux, la consommation de 90 grammes de grains entiers chaque jour réduit le risque de mortalité, toutes causes confondues, de 17 %. Les seconds travaux, basés eux sur 14 études et près de 790.000 participants, ont confirmé ce chiffre. Selon leurs conclusions publiées sur l'édition en ligne de la revue Circulation au mois de mai, un consommateur quotidien de céréales complètes diminue le risque de mort, toutes causes confondues, de 16 %.
Ces résultats viennent confirmer de précédentes recherches, qui avaient déjà prouvé que les céréales complètes réduisaient les risques de développement de maladies cardio-vasculaires comme le diabète. Si les céréales complètes, comme l'avoine, le riz, le seigle, l'orge et le sarrasin par exemple, doivent avoir la priorité dans notre assiette, c'est tout simplement parce qu'elles sont nettement plus intéressantes pour l'organisme que les céréales raffinées.

Cet effet protecteur des céréales complètes s'expliquerait par la composition de ces aliments: d'abord, le son riche en fibres qui favorisent notamment la satiété et le transit et riche en anti-oxydants qui contrent les radicaux libres présents dans le corps et responsables du vieillissement de nos cellules. Il contient également des vitamines B et bon nombre de minéraux tels que le zinc, le fer, le cuivre et le magnésium, rempart face à la fatigue et le stress.
Ensuite, le germe à l'intérieur du grain renferme des vitamines E, qui protègent le système nerveux et des vitamins B, des anti-oxydants et des nutriments indispensables au corps pour conserver les apports nutritionnels des autres aliments ingérés. 

Articlez rédigé par Georges Simmonds pour RT Flash
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MessageSujet: Re: L'alimentation pour prévenir le cancer   L'alimentation pour prévenir le cancer Icon_minitimeMar 12 Juil 2016 - 8:52

L'alimentation pour prévenir le cancer Ribv
Les produits naturels qui ciblent les cellules souches cancéreuses, d'après la revue "Anticancer Research", les 25 meilleurs...
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Denis
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MessageSujet: Re: L'alimentation pour prévenir le cancer   L'alimentation pour prévenir le cancer Icon_minitimeLun 16 Mai 2016 - 20:58

Inflammation occurs naturally in the body but when it goes wrong or goes on too long, it can trigger disease processes. Uncontrolled inflammation plays a role in many major diseases, including cancer, heart disease, diabetes and Alzheimer's disease.

Diets rich in fruits and vegetables, which contain polyphenols, protect against age-related inflammation and chronic diseases.

Cell-to-cell communication

Polyphenols are abundant micronutrients in our diet, and evidence for their role in the prevention of degenerative diseases such as cancer and cardiovascular diseases is already emerging. The health effects of polyphenols depend on the amount consumed and on their bioavailability.

T-cells, or T-lymphocytes, are a type of white blood cell that circulate around our bodies, scanning for cellular abnormalities and infections. They contribute to cell signalling molecules (cytokines) that aid cell-to-cell communication in immune responses and stimulate the movement of cells towards sites of inflammation, infection and trauma. Cytokines are modulated by fruit and vegetable intake.

Little is known about the relative potency of different (poly)phenols in modulating cytokine release by lymphocytes.

Sian Richardson, said: "The results of our study suggest that (poly)phenols derived from onions, turmeric, red grapes, green tea and açai berries may help reduce the release of pro-inflammatory mediators in people at risk of chronic inflammation.

"Older people are more susceptible to chronic inflammation and as such they may benefit from supplementing their diets with isorhamnetin, resveratrol, curcumin and vanillic acid or with food sources that yield these bioactive molecules."

---
L'inflammation se produit naturellement dans le corps, mais quand elle va mal ou dure trop longtemps, elle peut déclencher des processus de la maladie. l'inflammation incontrôlée joue un rôle dans de nombreuses maladies graves, dont le cancer, les maladies cardiaques, le diabète et la maladie d'Alzheimer.

Les régimes riches en fruits et légumes, qui contiennent des polyphénols, pour protéger contre l'inflammation liée à l'âge et les maladies chroniques.

Communication cellule à cellule

Les polyphénols sont des micronutriments abondants dans notre alimentation, et la preuve de leur rôle dans la prévention des maladies dégénératives telles que le cancer et les maladies cardio-vasculaires émergent déjà. Les effets sur la santé des polyphénols dépendent de la quantité consommée et sur leur biodisponibilité.

Les lymphocytes T ou les lymphocytes T, sont un type de globule blanc qui circulent autour de notre corps, pour le balayage des anomalies cellulaires et les infections. Ils contribuent à la signalisation cellulaire des molécules (cytokines) qui aide la communication de cellule à cellule dans les réponses immunitaires et de stimuler le mouvement des cellules vers des sites d'inflammation, une infection et un traumatisme. Les cytokines sont modulés par consommation de fruits et de légumes.

On connaît peu la puissance relative des différents (poly) phénols dans la modulation de la libération de cytokines par les lymphocytes.


L'étude, menée par Sian Richardson et Dr Chris Ford de l'Institut de l'Université du vieillissement et des maladies chroniques, a examiné les différentes puissances des polyphénols.

Sian Richardson, a déclaré: "Les résultats de notre étude suggèrent que (poly) phénols dérivés d'oignons, le curcuma, le raisin rouge, le thé vert et les baies d'açai peuvent aider à réduire la libération de médiateurs pro-inflammatoires chez les personnes à risque d'inflammation chronique.

«Les personnes âgées sont plus sensibles à l'inflammation chronique et comme tels, ils peuvent bénéficier de compléter leur alimentation avec l'isorhamnetin, le resvératrol, la curcumine et de l'acide vanillique ou avec des sources alimentaires qui produisent ces molécules bioactives."
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MessageSujet: Re: L'alimentation pour prévenir le cancer   L'alimentation pour prévenir le cancer Icon_minitimeSam 27 Déc 2014 - 19:49

Grenade, ail, thon, curcuma, câpres, thé vert et brocoli, voilà le top 7 de ce qui peut limiter le risque de maladie établi par le Dr David Khayat, chef de service de cancérologie à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière. Son livre, loin de tomber dans la révélation, donne les conseils élémentaires non pour éviter le pire, mais pour tenter de l'éviter.

>>> LA GRENADE
Dans ce top 7, c'est elle qui remporte la palme d'or. La grenade est connue depuis la nuit des temps ; on en a retrouvé trace dans la tombe d'un haut dignitaire égyptien contemporain de Ramsès IV. Ses graines sont chargées d'anthocyanosides et sa peau recèle de la punicalagine, deux puissants antioxydants dont les effets thérapeutiques ont été scientifiquement vérifiés, notamment sur certains cancers d'origine hormonale. Par le phénomène de l'antiaromatase, sa concentration en flavonoïdes, en anthocianydines et en acide ellagique inhibe certains processus moléculaires favorisant les métastases. A dégoupiller avec les jus comprenant graines et peau.

>>> L'AIL
On savait que l'ail avait une dent contre les vampires, on sait désormais qu'il joue un rôle avéré contre le développement de tumeurs gourmandes auxquelles il coupe les vivres et qu'il pousse au suicide (apoptose). La substance concernée est l'allicine, une vraie machine anticancéreuse qui demande toutefois à ne pas être surchauffée pour garder ses vertus. Son action principale porte sur la stimulation du système immunitaire dans sa lutte contre les cellules sournoises qui se « déguisent » pour échapper à la surveillance des globules blancs chargés de les éliminer. A consommer jusqu'à perdre haleine.

>>> LE CURCUMA
Formidable agent de lutte contre le cancer, le curcuma a une faiblesse, sa fragilité. Il disparaît rapidement après son absorption s'il n'est pas aidé par un composé annexe, comme le poivre, dont la pipérine multiplie par 2 000 la capacité d'action de la curcumine. Sa propriété essentielle est d'empêcher la division des cellules malignes, donc leur prolifération, mais aussi de bloquer leur approvisionnement par les vaisseaux sanguins qu'elles détournent à leur avantage. Son efficacité sur des cancers comme le myélome (moelle osseuse) est fulgurante. En association avec certaines chimiothérapies, elle décuple leurs effets. Côté préventif, la curcumine agit sur différentes pathologies précancéreuses du côlon, de la vessie, de l'utérus et de l'estomac. On la trouve sous forme de poudre pour assaisonnement... avec du poivre.

>>> LE THÉ VERT
L'antioxydant par excellence (sans jeu de mots même si l'on sait que l'Occident a inventé la malbouffe radicale libre), grâce à la catéchine, une molécule qui bloque la fabrication des chromosomes de la cellule maligne mère (ce qui est commun aux antioxydants) et, surtout, qui asphyxie la tumeur en bloquant l'angiogenèse, processus d'extension des vaisseaux sanguins dont elle a besoin pour se développer. La dernière recherche réalisée sur la catéchine du thé vert montrait, après six mois de traitement, comment 31 % des patients atteints d'une leucémie lymphoïde chronique voyaient leur mal enrayé. Au litron !

>>> LE BROCOLI
Brassica oleracea var italica, de l'ordre végétal des capparales, classe des magnoliopsides est une personnalité à part dans ce top 7 des antioxdants magnifiques. Pas le genre de soldat qui monte en première ligne, mais le commando supplétif qui sabote les réserves de l'ennemi. Sa tactique est un peu compliquée, mais la voici résumée. L'un des composants du brocoli est l'isothiocyanate, dérivé de la glucoraphanine, qui doit être transformée en produit actif pour agir sur une tumeur. Or, le brocoli contient l'enzyme qui permet cette transformation, la myrosinase. De cette combinaison naît le sulforaphane, héros de notre périple. Lui aussi, mais de façon plus insidieuse trop longue à détailler ici, non seulement déjoue les agressions des substances cancérigènes extérieures à l'organisme (toxines, pollutions, agents chimiques) en bloquant les mauvaises enzymes, mais il stoppe la prolifération cellulaire en empêchant l'oncogenèse, parfois jusqu'à l'apoptose. Un bémol, l'excès de cuisson et la congélation annulent les vertus du brocoli.


>>> LE SÉLÉNIUM
Composé minéral contenu dans la terre, mais transmis aux végétaux, dont l'effet principal est la neutralisation active des radicaux libres à l'intérieur de nos cellules jusqu'à l'inhibition de leur stress oxydatif. On le trouve, via la chaîne alimentaire, dans le thon (348 µg par 100 g) frais non pollué, la noix du Brésil, les pâtes au blé complet et les abats, puis, en doses moins importantes, dans le jaune d'œuf et le maquereau.

>>> LA QUERCÉTINE
La quercétine est un flavonoïde, molécule organique végétale générée par le métabolisme des plantes et variante des polyphénols que l'on trouve dans le raisin (procyanidine). Selon le Pr Khayat, c'est sans doute l'antioxydant le plus complet, le plus puissant et le plus actif, mais les connaissances manquent pour être catégorique. Elle a toutes les vertus contenues dans les six autres éléments de ce top 7. On la trouve dans les câpres, la livèche, l'oignon rouge et le vin rouge.


* Prévenir le cancer, ça dépend aussi de vous, de David Khayat, éd. Odile Jacob, 280 p. 17,90 €.
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Denis
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MessageSujet: Re: L'alimentation pour prévenir le cancer   L'alimentation pour prévenir le cancer Icon_minitimeMer 5 Mar 2014 - 9:53

L'alimentation pour prévenir le cancer 140305025754243895

Selon une étude réalise par des chercheurs américains de l'Université de Californie du Sud, dirigés par Valter Longo et Eileen Crimmins, une alimentation trop riche en protéines et notamment en protéines animales avant 65 ans augmenterait sensiblement le risque de cancer et de décès précoce.

Ces travaux ont permis d'analyser les données concernant 6 381 personnes de plus de 50 ans suivies pendant près de 20 ans. Les participants consommaient en moyenne 1823 calories par jour, dont 51 % provenaient de glucides, 33 % de matières grasses et 16 % de protéines, dont les deux tiers étaient des protéines animales. Trois groupes ont été constitués : le groupe "riche" en protéines (20 % ou plus de leurs calories provenant des protéines), le groupe "modéré" (de 10 à 19 % de leurs calories provenant des protéines), et enfin, le groupe "faible" en protéines, avec moins de 10 % de calories provenant des protéines.

Résultats : les participants ayant une consommation élevée de protéines (20 % ou plus de l'apport total en calories) avaient un risque de cancer 4 fois plus élevé que ceux qui en consommaient faiblement (moins de 10 % de l'apport en calories). Ceux qui avaient une consommation modérée (10 % à 19 %), avaient un risque 3 fois plus élevé.

Les personnes du premier groupe présentaient également un risque global de décès accru de 74 % par rapport à celle du groupe "faible" en protéines. L'étude montre que le simple passage du groupe "modéré" au groupe "faible" permet de réduire le risque de décès précoce de 21 %.

Pour expliquer ces résultats, les chercheurs soulignent que les protéines contrôlent le facteur de croissance analogue à l'insuline (IGF-I) qui est une hormone de croissance aidant le corps à grandir mais étant aussi liée à la susceptibilité au cancer, expliquent les chercheurs.

Selon cette étude, les protéines contrôlent le facteur de croissance analogue à l'insuline (IGF-I) qui est une hormone de croissance impliquée dans le risque de cancer. Néanmoins, ces scientifiques précisent que les niveaux d'IGF-I diminuent de manière importante après 65 ans, ce qui entraîne une fonte musculaire et que, si un apport élevé de protéines à l'âge moyen n'est pas recommandé, il devient souhaitable pour les personnes âgées. Ces résultats confirment les recommandations des autorités de santé américaines qui préconisent de consommer 0.8g de protéine par Kg de poids corporel, soit 45 à 50 grammes par jour de protéines, pour une personne pesant 60 Kg.

Article rédigé par Georges Simmonds pour RT Flash
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MessageSujet: Re: L'alimentation pour prévenir le cancer   L'alimentation pour prévenir le cancer Icon_minitimeMer 21 Mar 2012 - 9:16

Bien manger pour prévenir le cancer
David Penven

Le Reflet - 21 mars 2012

Culture > Divers

DELSON - Éloigner le cancer en choisissant mieux ses aliments et la façon de les préparer. C’est ce que prône l'auteure Louise Rivard qui était de passage à la bibliothèque Léo-Lecavalier à La Prairie il y a quelque temps.

«Oui, il existe des aliments anti-cancer. Les recherches le démontrent. Mais ces aliments ne peuvent prévenir à eux seuls la maladie. Bien manger est important, mais il faut tenir compte également de nos habitudes de vie», explique Mme Rivard, épicurienne dans l’âme et dont le goût du plaisir se manifeste dans la cuisine et les nombreux ouvrages publiés à ce propos.

Les légumes occupent une large place parmi ces denrées, comme ceux de la famille des crucifères : brocoli, chou, radis, roquette, etc.

Les poivrons riches en vitamines A et C renferment aussi plusieurs composés antioxydants qui protègent les cellules du corps des dommages causés par les radicaux libres. Ces derniers sont des molécules très réactives qui seraient impliquées dans le développement des maladies cardiovasculaires. Quant aux piments forts, c'est la capsaïcine qu'ils renferment qui constitue l'ingrédient anti-cancer.

«Dernièrement, plusieurs études ont été réalisées sur les bienfaits du citron qui pourrait prévenir plusieurs types de cancer. Il y a les acides gras, comme les oméga-3 qu’on retrouve notamment dans certains poissons», rappelle l’auteure qui en 2006 a publié 200 recettes anti-cancer en collaboration avec le Dr Réjean Lapointe, chercheur en immuno-oncologie du Centre hospitalier de l'Université de Montréal et de l'Institut du cancer de Montréal.

Ne pas trop cuire

Louise Rivard rappelle que, dans tous les cas, on doit transformer le moins possible les aliments afin de conserver au maximum leurs propriétés nutritives et anti-cancer.

«Il faut apprendre à ne pas trop les faire trop cuire. Les légumes devraient être toujours, dans la mesure du possible, consommés frais.»

Revenant sur l’importance d’adopter un mode de vie sain, l’auteure insiste sur la nécessité de faire de l’exercice, de ne pas fumer, de boire avec modération et de prendre les précautions nécessaires lorsqu’on manipule des produits chimiques pour le nettoyage, bricolage et autres emplois.

«Il faut éviter la situation paradoxale où l’on met ses énergies à bien se nourrir, mais qu’on s’expose en même temps à des agents chimiques qui peuvent avoir à long terme un impact sur notre santé.»
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MessageSujet: Re: L'alimentation pour prévenir le cancer   L'alimentation pour prévenir le cancer Icon_minitimeDim 1 Mai 2011 - 18:29

ahh oui c'est bon la purée de brocoli, et aussi celle de chou-fleur... MIammmm.

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MessageSujet: Re: L'alimentation pour prévenir le cancer   L'alimentation pour prévenir le cancer Icon_minitimeDim 1 Mai 2011 - 15:43

Des brocolis pour vaincre le cancer?

Aider à vaincre le cancer aujourd'hui, passe avant tout par notre alimentation.

Bien sûr que certains cancers sont génétiques ou proviennent d'un virus... mais ils restent assez rares!


La grande majorité des cancers sont dus à notre environnement (pollution, alimentation, sédentarisation...), nombre de chercheurs à travers le monde le clament et le démontrent haut et fort.

Le Scientific American nous dit aujourd'hui que les brocolis sont à privilégier dans notre alimentation pour vaincre le cancer... et ce depuis notre tendre enfance.

En effet, les légumes crucifères (cresson, radis, chou-fleur et autres choux, brocolis...) contiennent des composés très intéressants dans la prévention du cancer.

La protéine p53 est impliquée dans environ la moitié des cancers humains. Elle va en effet jouer un rôle non négligeable dans la protection d'une cellule contre le risque de cancer.

Les crucifères sontiennent des CTI qui sont capables de bloquer la mutation des p53. Si ces protéines mutent, la protection de la cellule disparaît. Et le gêne codant pour la protéine p53 est inactivé dans la moitié des cancers chez l'Homme.

Le problème, c'est que très peu d'enfants consomment ces aliments, qui sont souvent associés à une punition ou qui rappellent le mauvais goût de la cantine.

Il est nécessaire d'apprendre tout petit à aimer ces légumes qui nous conservent en bonne santé. Une purée de brocolis est très vite fait et reste excellente à la fois au goût mais aussi pour aider à prévenir et vaincre le cancer.

C'est parti: un brocoli entier, deux pommes de terre (même pas obligé), 50 à 100 ml de lait (lait d'avoine, lait d'amande, lait de soja...), sel et poivre... Et le tour est joué. Vous n'allez pas me dire que c'est compliqué?

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MessageSujet: Re: L'alimentation pour prévenir le cancer   L'alimentation pour prévenir le cancer Icon_minitimeVen 8 Avr 2011 - 15:37

- Un cancer sur dix diagnostiqué chez l'homme est imputable à une consommation excessive d'alcool, selon une étude menée par un institut allemand de nutrition humaine et publiée en ligne par le British Medical Journal. Réalisée en 2008 dans huit pays européen, l'étude montre que l'absorption supérieur à deux verres d'alcool est responsable de 44% des cancers masculins des voies aérodigestives supérieures.

Dans certains pays, dont l'Italie, l'Espagne, le Royaume-Uni, l'Allemagne ou le Danemark, la consommation élevée d'alcool serait la cause de plus de la moitié des cancers des voies aérodigestives supérieures L'alimentation pour prévenir le cancer 308394 (bouche, pharynx, larynx, sinus) chez l'homme. Un tiers des cas de cancers du L'alimentation pour prévenir le cancer 29079 est également imputable à l'alcool, tout comme 17% des cas de cancer colorectal. L'alimentation pour prévenir le cancer 307141

Les femmes ne sont pas épargnées par le phénomène. La consommation d'alcool (plus d'un verre par jour) est responsable d'un quart des cancers de des voies aérodigestives supérieures L'alimentation pour prévenir le cancer 308394 , 18% des cancers du L'alimentation pour prévenir le cancer 29079 , 4% des cas de cancer colorectal L'alimentation pour prévenir le cancer 307141 et 5% des cancers du L'alimentation pour prévenir le cancer 307163 .

L'étude a été menée en 2008 auprès de 364.000 personnes habitant en France, Allemagne, Italie, Espagne, Pays-Bas, Grèce, Danemark et en Grande-Bretagne.

L'alimentation pour prévenir le cancer Livraison-alcool-a-domicile
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MessageSujet: Re: L'alimentation pour prévenir le cancer   L'alimentation pour prévenir le cancer Icon_minitimeVen 28 Jan 2011 - 15:10

Mettre le petit ver Caenorhabditis elegans au régime strict permet d'allonger de 40% son espérance de vie et diminue son risque de cancer. C'est le résultat publiée dans la revue Aging Cell par l'équipe de Marc Billaud et Florence Solari du centre de Recherche sur le Cancer de Lyon (CNRS/Inserm/université Lyon 1/centre Léon Bérard).

Cela fait assez longtemps que les biologistes savant que l'alimentation joue un rôle important dans la longévité des animaux, gros et petits. Et les études sur ce petit ver ont pu être extrapolées aux mammifères.

Cette nouvelle étude montre qu'un régime alimentaire strict mais sans dénutrition provoque un double effet sur ce petit ver, animal de laboratoire très commun. D'une part il vit plus longtemps. Et d'autre part il bénéficie d'une sorte de protection anti-cancer. Comme si les mécanismes impliqués dans les deux phénomènes étaient liés.

Dans leur expérience, les biologistes ont obtenu les mêmes résultats finaux avec deux methodes. La première consistait simplement à mettre les vers au régime. Mais la seconde a consisté à inhiber le fonctionnement d'un gène - slcf-1 - tout en les laissant se nourrir "ad libitum", c'est à dire sans restriction. Dans les deux cas, cela se traduit par une augmentation du niveau de pyruvate. Celle-ci altère le métabolisme mitochondrial et induit un stress oxydant. L'inhibition directe du gène a donc le même effet que la restriction alimentaire qui provoque, elle l'inhibition de l'expression du transporteur SLCF-1 dans les cellules intestinales.

Le gène slcf-1 serait donc un gérontogène, lié au processus de vieillissement. Et le métabolisme du pyruvate comme la protéine PTEN, connue pour avoir un effet supresseur de tumeurs, font partie de ce processus. D'où l'idée proposée par les chercheurs : tester dans d'autres modèles animaux, y compris des mammifères, si l'apport en pyruvate pourrait avoir le même effet que la restriction alimentaire. Affaire à suivre.



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MessageSujet: Re: L'alimentation pour prévenir le cancer   L'alimentation pour prévenir le cancer Icon_minitimeMar 11 Jan 2011 - 11:50

INFO E1 - Deux nouvelles études pointent les dangers de ce substitut au sucre.

L’aspartame a-t-il un impact sur la santé ? Bien que les autorités sanitaires européennes aient affirmé il y a deux ans qu'on pouvait en consommer sans problème, deux nouvelles études montrent que ces édulcorants, les substances qui donnent le goût sucré, sont mauvais pour la santé : ils pourraient favoriser les accouchements prématurés et le cancer du foie et du poumon.
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MessageSujet: Re: L'alimentation pour prévenir le cancer   L'alimentation pour prévenir le cancer Icon_minitimeMer 5 Jan 2011 - 0:32

Un quota de viande rouge par semaine

500 g de viande rouge au maximum par semaine. C’est la quantité à ne pas dépasser afin de réduire le risque de décès par maladie cardiovasculaire ou cancer. Selon plusieurs études, la consommation de viande rouge augmenterait de 24 % le risque de cancer du côlon et de 20 à 60 % ceux de l’œsophage, du foie, du pancréas ou du poumon.

Risque cardiovasculaires et de cancers
Entre cancers et maladies cardiovasculaires, le risque global pour les grands consommateurs de viande rouge d’être victime de l’une de ces maladies est majoré de 31 % pour les hommes et de 36 % pour les femmes. Les charcuteries sont aussi concernées puisqu’une ration quotidienne supérieure à 50 g accroît aussi ce risque. Aujourd’hui, la majorité des scientifiques s’accorde à dire que des milliers de décès prématurés pourraient être évités si les gens mangeaient moins de viandes rouges et de charcuterie.

Trop de graisses saturées dans les viandes rouges
Les scientifiques expliquent partiellement le danger d’une trop grande consommation de viandes rouges par le fait qu’elles renferment de grande quantité de graisses saturées. En favorisant l’excès de cholestérol sanguin, les graisses saturées entraînent la formation de plaque d’athéromes à l’origine d’accidents cardio-vasculaires. Deuxième facteur de risque important : les hydrocarbures aromatiques polycycliques, des substances hautement cancérogènes, générées lors d’une cuisson à haute température. La consommation régulière de plus de 150 g par jour de viandes cuites au barbecue, poêlées à feu vif ou saisies au grill favoriserait ainsi le développement d’un cancer.

Viande blanche contre viande rouge
Bonne nouvelle pour les inconditionnels de la viande blanche : une étude américaine, menée auprès de 500 000 personnes, révèle que toutes les viandes ne sont pas à mettre dans le même panier. Bien que les scientifiques ne soient encore en mesure de l’expliquer, la viande blanche pourrait, à l’opposée de la rouge, exercer un effet protecteur. En effet, selon une étude comparative, il apparaît que les consommateurs de viande blanche sont moins exposés aux cancers et maladies cardiovasculaires que les mangeurs de viande rouge et, plus surprenant, que ceux qui ne consomment que très peu ou pas de viande. Il est donc recommandé de privilégier les viandes blanches (non grillées) telles que lapin, dinde, veau ou poulet.

D’autres sources de protéines que les viandes rouges
Il est bien sûr possible de trouver des protéines dans d’autres aliments.

1.Les légumes secs : associés aux céréales, sont une source de protéines aussi intéressante que la viande. Par exemple, 1/2 tasse de haricots secs et 4 tasses de riz complet ont une teneur en protéines équivalente à… 500 g de steack !
2.Les poissons : ils contiennent autant de protéines que la viande et renferment de "bonnes graisses", en particulier les omégas 3.
3.Les œufs : remarquable source de protéines, on leur reproche leur teneur en cholestérol. Chez les personnes en bonne santé, le cholestérol alimentaire n’est que très peu corrélé au taux de cholestérol sanguin. La consommation de quelques œufs par semaine ne peut donc pas engendrer d’excès de cholestérol sanguin.
4.Les produits laitiers : le parmesan renferme 40 g de protéines pour 100 g, l’emmental 30 g/100 g. Avec une moyenne de 4 g/100 g les yaourts sont moins intéressants…
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MessageSujet: Re: L'alimentation pour prévenir le cancer   L'alimentation pour prévenir le cancer Icon_minitimeDim 27 Sep 2009 - 19:59

Mon oncologue m'avait fortement recommandé de laisser tomber la viande rouge en tout cas, la seule qui laisse des dépots sur les reins.

Moi je mange des légumes et des fruits au moins 7 portions par jour. Parfois bien plus. Et j'ai laissé tomber les gras trans tant que je peux (mais parfois une bonne frite je la prend quand même) Mais le doc. me disait d'au moins laisser la viande rouge.

Il y a des débats sur ce qu'est la viande rouge; certains diététiciens disent qu'il n'y a que le poulet et le poisson comme viande blanche. Je mange beaucoup de poisson mais les sortes sans trop de mercure et de danger.
D'autres diététiciens disent que le porc, le veau sont des viandes blanches aussi... va savoir????

Les viandes sont également classées en :

  • viandes rouges : bœuf, cheval, canard (magret) ;
  • viandes blanches : porc, volailles, lapin, veau, mouton ;
  • viandes noires : gibier, canard ;
  • viande séchée ;
  • viande de brousse.

D'autres animaux sont également consommés et constituent une source de protéines dans l'alimentation humaine (poissons, crustacés, mollusques, etc.), mais, d’un point de vue culinaire, leur chair n'est pas considérée traditionnellement comme de la viande.
Source Wikipédia.http://fr.wikipedia.org/wiki/Viande

Pourtant j'ai lu des affirmations a l'effet que l'agneau était une viande rouge...
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MessageSujet: Re: L'alimentation pour prévenir le cancer   L'alimentation pour prévenir le cancer Icon_minitimeVen 3 Juil 2009 - 15:53

Celui qui bannit la viande et le poisson de son assiette diminuerait de 12% ses risques de cancer par rapport à ses congénères volontiers carnivores. Les probabilités de leucémies, de cancers de l'estomac ou de la vessie sont même diminués de 50%, selon Het Laatste Nieuws. Pas de différence par contre en matière de cancer du sein ou de la prostate. "L'alimentation influence néanmoins grandement vos chances de développer une maladie comme le cancer", affirment les chercheurs.

Des chercheurs britanniques ont assuré le suivi de 61.000 sujets entre 20 et 89 ans, pendant un laps de temps de douze ans. La moitié d'entre eux mangeaient de la viande, l'autre moitié était végétarienne. Au cours de l'enquête, 3.350 sujets ont été victimes d'un cancer. Parmi eux, les "carnivores" étaient touchés à raison de 12% de plus que les végétariens. Sur base de statistiques, les chercheurs ont évalué qu'un régime végétarien pourrait sauver plus de deux millions de personnes en Grande-Bretagne.
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Julie

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MessageSujet: Re: L'alimentation pour prévenir le cancer   L'alimentation pour prévenir le cancer Icon_minitimeJeu 7 Déc 2006 - 13:37

Je viens de découvrir un site sur les bienfaits des fruits et légumes dans notre alimentation, ainsi que plein d'autres informations culinaires.

Vous pouvez le consulter en cliquant sur le lien suivant :

http://www.10parjour.net/site/pages/nouvelles/index.php

Dans la colonne de gauche, vous pouvez cliquer (en jaune) sur "Brochures" et vous pouvez demander à recevoir des brochures à votre domicile. Ce n'est (hélas) que pour les résidents de France.

Pour suivre l'actualité Produits, l'actualité de la diététique ou l'actualité culinaire, vous pouvez vous inscrire à la "lettre d'informations" en cliquant sur "Newsletter" dans la colonne de gauche (en jaune).

Il y a aussi plein de recettes à faire et à expérimenter.
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MessageSujet: Re: L'alimentation pour prévenir le cancer   L'alimentation pour prévenir le cancer Icon_minitimeLun 11 Juil 2005 - 11:01

La fourchette : une arme efficace contre les cancers

Le cancer représente la seconde cause de mortalité après les maladies cardiovasculaires. Certes, il existe des facteurs de risque qui favorisent cette maladie, comme le tabac, l'alcool et la pollution. Mais on estime également que 30% des cancers seraient plus ou moins directement causés par nos habitudes alimentaires. Marie-Amélie Picard, auteur du livre « Les aliments préventifs contre le cancer », nous indique comment réduire nos risques personnels.


e-sante : Quelles sont les caractéristiques communes des aliments dits « anti-cancer » ?


Marie-Amélie Picard : Les aliments anti-cancer ont pour caractéristique commune d'être dotés de substances protectrices appelées antioxydants. Ces derniers ont pour rôle d'empêcher l'apparition des radicaux libres et de détruire les cellules cancéreuses avant que celles-ci puissent faire des dégâts. On sait par exemple, que les crucifères comme les brocolis ou les choux-fleurs contiennent d'excellents anti-carcinogènes. Ce sont, en quelque sorte, des inhibiteurs compétitifs de l'activation des carcinogènes impliqués dans la survenue des cancers de l'œsophage, de l'estomac, du foie et du côlon.





e-sante : Quels sont les principaux aliments recommandés pour prévenir les cancers ?

Marie-Amélie Picard : Les études expérimentales réalisées sur la relation entre alimentation et maladies démontrent les effets protecteurs de nombreux fruits et légumes sur le risque de cancer. Leur action préventive est liée à la présence de fibres, vitamines, oligo-éléments, et aussi de substances antioxydantes. Parmi ces fruits et légumes, on citera l'ail, les agrumes, la carotte, le cassis, les choux, les épinards, le kiwi, les lentilles, l'oignon, le persil, la pomme, le raisin, le soja et la tomate. D'autres aliments comme les céréales, les noix, le poisson, le thé vert ou encore le yaourt, sans oublier les huiles d'olive et de colza, ont également un effet protecteur.



e-sante : Quels sont les principaux aliments déconseillés ?

Marie-Amélie Picard : Il n'existe pas à proprement parler d'aliments déconseillés, mais plutôt des conseils de prévention fondés sur les notions de risque augmenté ou diminué. Nous savons déjà, de source sûre, que la consommation de mauvais gras et de sucre, reste aujourd'hui l'habitude alimentaire à éradiquer le plus rapidement possible. Une alimentation riche en graisses saturées, présentes dans tous les produits animaux (viande grasse, beurre, fromage), constitue un facteur de risque convaincant pour les cancers du sein, du côlon et du pancréas. Il ne s'agit pas ici de diaboliser la viande, bien au contraire, mais en prenant la précaution de diminuer, même légèrement, la quantité de corps gras absorbés, on pourrait obtenir une protection importante. Sachez qu'aucun aliment n'est en lui-même nocif. Si l'on conseille d'éviter la consommation excessive ou de limiter la prise de certains aliments, il ne s'agit pas ici d'en interdire la consommation. Simplement, il faut savoir que la cause profonde de l'ensemble des maladies est pratiquement toujours la même : un déficit en fruits et légumes, une alimentation trop riche en sucres, graisses et autres nourritures industrielles. S'interroger sur nos comportements et habitudes alimentaires est donc essentiel et chacun de nous a le pouvoir et la liberté d'agir sur sa santé par l'alimentation, une démarche responsable de prévention à la portée de tous, tout comme arrêter de fumer et pratiquer une activité sportive régulière.



e-sante : Quelle est la proportion de cancers évitables par l’alimentation ?

Marie-Amélie Picard : Aujourd'hui, on compte 100.000 cancers évités grâce à la prévention nutritionnelle. De nombreuses études épidémiologiques ont été le moyen de repérer des informations, actuellement susceptibles d'encourager des comportements favorables à notre équilibre biologique. Et pourtant, nous apprenons dans les sondages que les comportements alimentaires des Français n'ont pas forcément évolué dans le bon sens : trop de graisses, trop de sucres, trop d'alcool, pas assez de fibres, de minéraux, de vitamines et de repas équilibrés. Ces mauvaises habitudes ne sont pas sans conséquence sur la santé. Les possibilités de prévention par l'alimentation sont importantes. Il reste à faire qu'elles deviennent réalités. En particulier, il est important que les conseils livrés atteignent et sensibilisent les personnes à risque afin d'induire un changement dans leur comportement alimentaire.
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MessageSujet: Re: L'alimentation pour prévenir le cancer   L'alimentation pour prévenir le cancer Icon_minitimeLun 6 Juin 2005 - 18:18

Mieux manger pourrait réduire l'incidence du cancer



C'est ce que nous conseille un article bien détaillé du Monde du Mardi 22 Février 2005.

Cet article montre qu'un petit effort de chacun d'entre nous pourrait avoir un impact significatif sur notre santé individuelle et collective.

On est quasi tous au courant de l'impact du trop de poids sur la fréquence des maladies cardio vasculaires. On l'est nettement moins pour l'impact sur la fréquence de certaines affections cancéreuses.

Tous les cancers ne diminueraient pas par ces mesures diététiques, mais la fréquence de ces affections liées aux habitudes alimentaires, à l'alcool, au tabac pourraient reculer. Près de 30 à 40 % des cancers pourraient être évités par des régimes alimentaires faciles à suivre, par une activité physique et un contrôle adéquat du poids

Parmi les aliments conseillés les fruits et légumes en quantité suffisante pourraient prévenir 20 % de l'ensemble des cancers. La limitation de l'alcool pourrait empêcher 20 % des cancers des voies aéro-digestives supérieures et probablement des cancers du côlon-rectum et du sein. Le Programme national français de nutrition santé recommande de consommer au moins cinq fruits et légumes par jour.
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MessageSujet: Re: L'alimentation pour prévenir le cancer   L'alimentation pour prévenir le cancer Icon_minitimeLun 28 Fév 2005 - 6:22

oui, c'est sur c'est intéressant,....
Mais pas d'abus de :
-soleil
-Alcool
-Tabac
Faire du sport et manger équilibré, beaucoup de fruits et de légumes....
N'est un secret pour personne, et pas uniquement pour ne pas avoir de cancer, c'est une règle qui est bonne à suivre pour tout.
Mais qui la suit à la lettre ??
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MessageSujet: L'alimentation pour prévenir le cancer   L'alimentation pour prévenir le cancer Icon_minitimeMer 23 Fév 2005 - 16:06

Citation :
Des changements modestes dans notre mode de vie permettraient de réduire sensiblement le risque de contracter cette maladie.
Nous sommes ce que nous mangeons. Pour imparfaite qu'elle soit, cette formule renvoie à une réalité. De notre régime alimentaire dépend en bonne partie notre état de santé. L'idée a été largement diffusée dans le public en ce qui concerne les rapports entre les graisses et les maladies cardio-vasculaires.  Mais elle ne l'a pas été, ou de manière souvent biaisée, pour ce qui est des liens entre alimentation et cancer. Pourtant, en bien comme en mal, notre alimentation peut modifier substantiellement les risques d'en développer un.

En 2004, on a recensé en Europe 2,9 millions de nouveaux cas de cancers et enregistré 1,7 million de décès par cancer, indique un rapport publié le 17 février 2005 par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC). A eux seuls, les 25 Etats membres de l'Union européenne totalisent pour cette période 2 millions de nouveaux cas et 1,2 million de décès.

En France, les cancers représentent la deuxième cause de mortalité, après les maladies cardio-vasculaires. Dans notre pays, la probabilité d'avoir un cancer au cours de sa vie est de 47 % pour les hommes et de 37 % pour les femmes, soit plus d'une femme sur trois.

Les cancers sont des maladies déterminées par différents paramètres : facteurs biologiques de l'individu, en particulier prédispositions génétiques, mais aussi facteurs liés au comportement individuel (tabagisme, consommation d'alcool, habitudes alimentaires) ainsi qu'à l'environnement (exposition au soleil, à des produits chimiques ou à des virus...).

S'il n'est pas possible d'agir sur notre patrimoine génétique ou de maîtriser complètement l'environnement, il est tout à fait concevable de jouer sur notre comportement alimentaire et notre mode de vie. C'est d'autant plus important que, comme l'indiquent le World Cancer Research Fund International (WCRFI) et le Réseau national alimentation cancer recherche (Nacre) dans une brochure publiée en 2002, "entre 30 % et 40 % des cancers peuvent être évités par des régimes alimentaires appropriés et faciles à suivre et par une activité physique et un contrôle adéquat du poids". La réduction du tabagisme peut, en sus, diminuer elle aussi de 30 % ce risque.

Trois grandes idées émergent de ces travaux. Tout d'abord, les régimes alimentaires comprenant des fruits et légumes variés et en quantité suffisante pourraient prévenir au moins 20 % de l'ensemble des cancers. Ensuite, la limitation de la consommation d'alcool pourrait empêcher "jusqu'à 20 % des cancers des voies aéro-digestives supérieures et probablement des cancers du côlon-rectum et du sein". Enfin, il serait possible d'éviter le cancer de l'estomac par des régimes appropriés. De même pour le cancer du côlon et du rectum si le régime est couplé "à une activité physique constante ou accrue et à un contrôle du poids adéquat", affirment les experts de WCFRI et de Nacre.

L'action préventive des fruits et légumes s'exerce avant tout sur les cancers de la bouche et du pharynx, ainsi que ceux de l'œsophage. Le CIRC estime que la consommation quotidienne de 200 grammes de légumes réduirait de 30 % le cancer de l'œsophage et de 80 % ceux de la bouche et du pharynx, en particulier avec une consommation élevée d'agrumes et de légumes verts.

Mais les légumes comme les aliments complets riches en fibres alimentaires ont aussi des effets positifs vis-à-vis du cancer du côlon. La famille des crucifères (chou, chou de Bruxelles, chou-fleur, brocolis et navet) et les carottes ont un bon effet protecteur. Cette action s'exerce également à l'égard du poumon et pourrait dépasser 30 % de réduction chez les personnes consommant plus de 400 grammes de fruits et légumes par jour. Le Programme national nutrition santé recommande dans une brochure publiée en 2002 de consommer "au moins cinq fruits et légumes par jour" sous n'importe quelle forme pour atteindre une ration de 400 grammes de partie comestible.

Les bénéfices des fruits et légumes sont attribués au moins pour partie à l'effet de certains de leurs constituants (vitamines, minéraux...) dans la régulation de systèmes enzymatiques de détoxification des composés cancérogènes. L'action de protection contre les radicaux libres oxydants y contribuerait également.

D'autres liens, favorisant les cancers, ont été identifiés pour certains aliments. L'alcool est un facteur de risque établi pour les cancers de la bouche, du pharynx, de l'œsophage et du larynx. Il jouerait dans le même sens pour des cancers du côlon et du rectum, ainsi que des cancers du sein.

A côté de ces certitudes, des hypothèses ont été formulées qui ne font pas encore l'objet d'un consensus scientifique. C'est le cas du rôle de la consommation de viandes et de charcuterie. Certaines études ont impliqué les viandes comme favorisant le cancer colorectal, voire celui du pancréas ou de la prostate, probablement en partie du fait des graisses animales, des protéines et de la production de nitrates au cours du métabolisme.

Pour la charcuterie, une partie des études menées a montré une augmentation significative du risque de cancer colorectal, d'autres ont retrouvé une multiplication par 1,5 à 2 du risque de cancer de l'estomac. Les mécanismes évoqués pour expliquer une éventuelle action de la charcuterie favorisant les cancers impliquent notamment la responsabilité des graisses saturées et du sel.

Enfin, il convient de tordre le cou à quelques idées reçues, qui ont parfois la vie dure. L'utilisation du four à micro-ondes n'a ainsi jamais pu être impliquée comme "donnant le cancer". Les additifs alimentaires, dénoncés il y a plus de trente ans dans la "liste de Villejuif", ne sont ni cancérogènes ni toxiques. De même, aucune accusation n'a pu à ce jour être étayée contre les édulcorants (aspartame). Symétriquement, inutile d'attendre une protection contre le cancer avec la consommation de suppléments en oligo-éléments et en vitamines, pas plus qu'avec le vin rouge...

Paul Benkimoun

Un article sur "Le monde" trouvé le 23 février sur le net


Dernière édition par Denis le Lun 25 Déc 2017 - 13:46, édité 2 fois
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