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 À propos de la confiance à faire aux médicaments.

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Denis
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MessageSujet: Re: À propos de la confiance à faire aux médicaments.   À propos de la confiance à faire aux médicaments. Icon_minitimeMer 24 Fév 2016 - 14:35

Santé Canada informe les Canadiens qui ont acheté Novodalin B17, un produit de santé naturel non homologué vendu comme traitement contre le cancer, d’en cesser immédiatement l’utilisation.

Santé Canada n’a approuvé aucun produit pharmaceutique contenant de la vitamine B17 ou de l’amygdaline pour le traitement du cancer ou d’autres maladies. De plus, le ministère ne permet pas que les produits de santé naturels affichent des allégations concernant des traitements contre le cancer.

Novodalin B17, qui est vendu en ligne en anglais seulement sur le site CDNF.com, présente aussi de graves risques pour la santé étant donné qu’il renferme, selon l’étiquette, de l’extrait d’amande d’abricot. Les amandes d’abricots peuvent contenir de l’amygdaline, un composé qui peut libérer du cyanure lorsqu’il est ingéré par les humains.

La teneur du produit en amygdaline est inconnue pour le moment, mais l’ingestion de quantités faibles à modérées de cyanure peut avoir de graves effets sur la santé, tandis que les fortes doses peuvent être mortelles.

Santé Canada a ordonné au vendeur en ligne de cesser la vente du produit et le ministère prendra les mesures qui s’imposent et informera les Canadiens de tout risque supplémentaire observé. Entre-temps, les consommateurs qui ont utilisé le Novodalin B17 doivent consulter leur médecin.

Les autorités rappellent qu’avant de consommer un produit naturel, il faut en lire l’étiquette pour vérifier que Santé Canada en ait autorisé la vente et lui ait attribué un DIN, un DIN-HM ou un NPN, qui sont des codes de huit chiffres.
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MessageSujet: Re: À propos de la confiance à faire aux médicaments.   À propos de la confiance à faire aux médicaments. Icon_minitimeJeu 11 Fév 2016 - 17:16

Les chercheurs ont constaté que le Seroxat anti-dépresseur peux interférer avec le tamoxifène, ce qui est prescrit à des milliers de survivants du cancer du sein pour les cinq années à la fois.

Les résultats ont des implications importantes parce que beaucoup de ces femmes souffrent également de dépression, avec un maximum de un sur quatre touchés.
Anti-dépresseur liés aux décès par cancer du sein

Par Jenny Hope

Seroxat

Les femmes qui prennent Seroxat anti-dépresseur en même temps que le tamoxifène cancer du sein de drogue sont plus susceptibles de mourir d’un cancer du sein, les médecins avertissent

Cependant, d’autres anti-dépresseurs n’ont pas eu le même effet.

Une étude menée par une équipe du Centre Sunnybrook des sciences de la santé et de l’Université de Toronto en

Canada a examiné 2.430 femmes âgées de 66 ans et plus qui ont été traités entre 1993 et ​​2005.

Toutes ont été traitées par tamoxifène et l’un des cinq anti-dépresseurs, y compris le Seroxat, qui était le plus couramment prescrits. Seroxat est également connu comme la paroxétine.

Au cours des 2,4 prochaines années, 374 sont morts du cancer du sein. L’analyse a montré que ces tenant Seroxat étaient beaucoup plus susceptibles de mourir du cancer du sein et un peu plus susceptibles de mourir de toute autre cause, par rapport aux femmes non pas sur la drogue.

Les chercheurs ont constaté que si les patients ont pris Seroxat 25 pour cent du temps qu’ils étaient sur le tamoxifène, ils étaient 24 pour cent plus susceptibles de mourir d’un cancer du sein.

Lorsque le Seroxat a été prise pour 50 pour cent du temps, il a été de 54 pour cent d’augmentation dans le risque de décès, et lorsqu’il est pris pour 75 pour cent des patients de traitement ont été de 91 pour cent plus susceptibles de mourir.

»En conclusion, nos résultats indiquent que le choix des anti-dépresseurs peuvent affecter de manière significative la survie chez les femmes recevant du tamoxifène pour cancer du À propos de la confiance à faire aux médicaments. 307163 , de leur rapport publié dans le British Medical Journal a dit.

Mais les auteurs soulignent que les femmes ne devraient pas cesser de prendre le tamoxifène et que leur étude ne signifie pas que le Seroxat causes ou influe sur le cours du cancer du sein.

« C’est tout simplement une situation dans laquelle [Seroxat] nuit à l’efficacité du tamoxifène, disaient-ils.

Dr David Juurlink, un des auteurs de l’étude, a déclaré : « Lorsque la co-prescription de tamoxifène avec un anti-dépresseur est nécessaire, la préférence devrait être donnée à des anti-dépresseurs qui ont un impact présentent peu ou pas sur le métabolisme du tamoxifène.

Meg McArthur, de haut niveau et agent d’information au Breakthrough Breast Cancer, a dit toute personne ayant des préoccupations devraient discuter avec leur médecin.

Un porte-parole de GlaxoSmithKline, qui rend le Seroxat, a déclaré la firme était au courant de la liaison et avait mis à jour les avertissements figurant sur l’étiquette de la drogue en 2008.

Elle a ajouté : « Après la publication de cette nouvelle étude, GSK passera en revue ces données supplémentaires et travaillera avec les autorités de réglementation à déterminer les prochaines étapes."
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MessageSujet: Re: À propos de la confiance à faire aux médicaments.   À propos de la confiance à faire aux médicaments. Icon_minitimeJeu 5 Déc 2013 - 16:05

OTTAWA - Le ministère de la Santé canadien a demandé mercredi au laboratoire suisse Hoffmann-La Roche d'apporter des changements à son médicament Xeloda pour le traitement du cancer du sein, en raison des risques, parfois mortels, encourus par les patients sous traitement.

Ce médicament "est utilisé pour traiter le cancer du sein avancé ou le cancer du sein qui s'est propagé à d'autres parties du corps (métastatique)", comme des cas de cancer du côlon ou du rectum, a indiqué Santé Canada dans un communiqué.
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MessageSujet: Re: À propos de la confiance à faire aux médicaments.   À propos de la confiance à faire aux médicaments. Icon_minitimeSam 7 Sep 2013 - 13:48

Le fabricant d'un médicament utilisé pour traiter plusieurs types de cancer a annoncé vendredi que le produit avait été associé à des formes rares mais potentiellement mortelles d'éruptions cutanées.

Le Sutent, fabriqué par Pfizer Canada, est employé pour combattre les cancers de l'estomac, de l'intestin, des reins et du pancréas.

Dans un avis public diffusé par Santé Canada vendredi, la compagnie affirme que le Sutent (malate de sunitinib) a provoqué chez quelques personnes des réactions cutanées graves, dont le syndrome de Stevens-Johnson et la nécrolyse épidermique toxique.

Les symptômes de ces réactions peuvent se présenter initialement sous la forme de taches rouges concentriques ou de plaques circulaires, parfois avec des cloques en leur centre, sur le tronc ou ailleurs sur le corps.

L'éruption peut ensuite évoluer en ampoules sur une grande partie du corps ou en décollement de la peau, en ampoules dans la bouche et en ulcères dans les yeux. Ces symptômes peuvent apparaître après de la fièvre, de la fatigue, des maux de tête et de la toux.

Si des patients utilisant le Sutent présentent de tels signes, ils devraient arrêter immédiatement le traitement et communiquer leur médecin, a prévenu Santé Canada.

Le syndrome de Stevens-Johnson et la nécrolyse épidermique toxique se manifestent rarement, mais quelques-uns des cas qui ont été rapportés se sont soldés par la mort de la personne atteinte.

Désolé ce n'est pas très gai pour ceux qui utilisent ce médicament, ni très porteur d'espoirs mais je me suis fait chicané par quelqu'un qui trouvait qu'on devrait dénoncé plus de choses dans l'industrie pharmaceutique. Les cas semblent rares de toutes façons mais Cest utile à savoir si vous constater les signes décrits, ça peut vous sauver la vie.
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MessageSujet: Re: À propos de la confiance à faire aux médicaments.   À propos de la confiance à faire aux médicaments. Icon_minitimeMer 15 Fév 2012 - 16:43

Roche: des contrefaçons du médicament Avastin découvertes aux Etats-Unis

LOS ANGELES - Des contrefaçons d'Avastin, un médicament destiné à lutter contre différents types de cancers, ont été découvertes aux Etats-Unis, a annoncé l'entreprise Roche mercredi, avertissant que l'usage de ces produits n'était pas sûr.

Nous avons été informés par les autorités américaines que des contrefaçons ont été découvertes, a précisé une porte-parole du groupe pharmaceutique suisse à Zurich.

L'enquête est en cours et nous aidons les autorités américaines dans leurs recherches, a-t-elle ajouté.

Nous savons aujourd'hui que le produit contrefait ne contient pas le principe actif de l'Avastin, a déclaré à l'AFP Charlotte Arnold, porte-parole de Genentech, la filiale américaine de Roche, basée à San Francisco.

Par conséquent, il n'est ni sûr ni efficace et ne doit pas être utilisé. Ce n'est pas de l'Avastin (...), il ne traite pas le cancer, donc il est dangereux par définition, a-t-elle insisté.

Les analyses sont encore en cours pour savoir ce qu'il y a dans ce produit. Nous savons qu'il ne contient aucun élément biologique, a encore dit Mme Arnold.

Aux Etats-Unis, plusieurs lots portant la mention Avastin 400 mg/16 ml sont soupçonnés d'être des imitations. Ces lots portent les numéros de série B86017, B6011, B6010.

Genentech a précisé que les lots incriminés ne ressemblaient pas aux produits officiels homologués par l'agence américaine des médicaments (FDA). Les boîtes d'Avastin sont normalement marquées avec des numéros de série à six chiffres et sans lettres, a souligné le laboratoire.

La FDA a précisé dans un communiqué avoir envoyé un courrier à 19 cabinets médicaux aux Etats-Unis qui ont acheté des médicaments anti-cancéreux non homologués, dont pourrait faire partie l'Avastin contrefait.

Ces cabinets ont acheté ces faux médicaments auprès de Quality Specialty Products (QSP), un fournisseur étranger également connu sous le nom de Montana Health Care Solutions. Volunteer Distribution, basé à Gainesboro (Tennessee, sud) est un distributeur des produits QSP, précise en outre la FDA.

La FDA a demandé à ces cabinets médicaux de ne plus utiliser les produits de ces fournisseurs encore en leur possession, poursuit le communiqué.

Mme Arnold a précisé pour sa part que les les fournisseurs désignés dans la notice de la FDA ne sont pas autorisés par Genentech à distribuer l'Avastin.

Nous limitons la distribution de beaucoup de nos produits et ne vendons l'Avastin qu'à un nombre défini de distributeurs spécialisés et dûment autorisés, ajoute-t-elle.

L'Avastin, qui est utilisé pour traiter les cancers colorectal, des poumons et des reins, figure parmi les médicaments les plus vendus par Roche, avec un chiffre d'affaires de 5,3 milliards de francs suisses (4,4 milliards d'euros) en 2011.

En novembre dernier, la FDA avait retiré à Roche l'autorisation d'utiliser l'Avastin pour traiter les cancers avancés du sein, le médicament s'étant révélé inefficace et risqué pour ce type de cancers.


(©AFP / 15 février 2012 20h44)


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MessageSujet: Re: À propos de la confiance à faire aux médicaments.   À propos de la confiance à faire aux médicaments. Icon_minitimeDim 15 Jan 2012 - 19:56

Les autorités britanniques ont lancé samedi une campagne d'information dans la presse pour redonner les conseils du ministère de la Santé aux femmes porteuses d'implants mammaires PIP, au coeur d'un scandale planétaire.

"Les femmes avec des implants mammaires PIP n'ont pas besoin de se les faire enlever à moins qu'elles aient des symptômes tels que des douleurs", affirme la campagne lancée par le service public de santé britannique, le National Health Service (NHS).
"Il n'y a pas de lien" entre ces implants et le cancer, assure encore cette campagne, conseillant cependant aux femmes "inquiètes" de consulter leur médecin.
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MessageSujet: Re: À propos de la confiance à faire aux médicaments.   À propos de la confiance à faire aux médicaments. Icon_minitimeDim 20 Nov 2011 - 14:03

"Si c'est avéré, c'est gravissime", a indiqué Xavier Bertrand, le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Santé, ce mercredi sur France Info. Selon une information du Parisien, le laboratoire allemand Riemser va déposer plainte au tribunal de grande instance contre le laboratoire francçais Genopharm, pour "faux et usage de faux, tromperie et falsification".

Le laboratoire allemand accuse Genopharm, filiale du groupe Alkopharma, d'avoir commercialisé des lots périmés de Thiotepa, un traitement notamment utilisé contre certains cancers chez l'enfant. "D’après les éléments recueillis par Riemser, le produit se trouvait encore sur le marché début 2011 alors que sa date d’utilisation arrivait à expiration en mars 2009. Au bout de dix-huit mois, le produit perd beaucoup de son efficacité, ce qui risque de fausser gravement les traitements", écrit Le Parisien.

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MessageSujet: Re: À propos de la confiance à faire aux médicaments.   À propos de la confiance à faire aux médicaments. Icon_minitimeVen 18 Nov 2011 - 23:24

Le ministère de la Santé de France a annoncé que du matériel de remplacement aux biberons stérilisés avec un gaz cancérogène sera désormais utilisé dans les établissements de santé.

L'utilisation des biberons stérilisés avec un gaz toxique est suspendue. Le ministère de la Santé a décidé ce vendredi "le déploiement progressif de solutions alternatives permettant dès que possible le retrait des biberons et tétines stérilisés avec un gaz cancérogène, l'oxyde d'éthylène, et fournis aux maternités françaises.

Ces solutions de remplacement sont notamment l'utilisation de nourettes (biberons préremplis) et "autres biberons à usage unique ou non", a précisé le ministère dans un communiqué à l'issue d'une réunion avec les fabricants et les fournisseurs.
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MessageSujet: Re: À propos de la confiance à faire aux médicaments.   À propos de la confiance à faire aux médicaments. Icon_minitimeMar 4 Oct 2011 - 20:54

MONTRÉAL - Un médicament prescrit aux femmes atteintes d'un cancer des ovaires est en rupture de stock et ne sera plus fabriqué.

Produit aux États-Unis et distribué à l'échelle mondiale, le Caelyx, administré lors de chimiothérapies, permet d’allonger l'espérance de vie des malades.

«Ce médicament-là me permet de me lever le matin, de faire un petit déjeuner à ma fille, de la voir partir pour l'école, de rencontrer des amis», a confié avec émotion une patiente atteinte d’un cancer, Danièle Déry.

Elle avait pour habitude de prendre du Caelyx une fois par mois, depuis un an. Son cancer des ovaires, diagnostiqué en 2009, est incurable.

Or, en juillet dernier, le gynécologue oncologue de la femme de 51 ans lui a annoncé qu'il devait cesser sa chimiothérapie pendant deux mois, car le Caelyx n'est plus disponible depuis que Santé Canada a décelé d'importantes lacunes dans le processus de fabrication.

«Ça n'a pas de sens qu'on manque d'un médicament aussi important que celui-là», dénonce Mme Déry.

Une décision que regrettent aussi les professionnels de la santé. «La rupture de stock va probablement être définitive, a mentionné la Dre Diane Provencher, gynécologue oncologue au CHUM. Même s'il y a des médicaments génériques en préparation, ils vont devoir être testés.»

Danièle Déry doit reprendre ses traitements lundi et les poursuivra tant qu'il y aura du Caelyx. Elle appelle à l'aide au nom de toutes les femmes comme elle qui ne demandent qu'une chose: vivre.

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MessageSujet: Re: À propos de la confiance à faire aux médicaments.   À propos de la confiance à faire aux médicaments. Icon_minitimeDim 4 Sep 2011 - 17:56

Le Cardioxane des laboratoires Novartis a donc été contre-indiqué jeudi chez les enfants et les adolescents, "en l'absence de preuve d'efficacité clinique" du traitement dans cette population selon l'Afssaps.

"Deux études ont montré une incidence de cancers secondaires multipliée par trois" à ces âges, est-il précisé dans une lettre aux professionnels de santé.

L'Afssaps déconseille d'associer le médicament à un traitement du cancer du À propos de la confiance à faire aux médicaments. 307163 ou une chimiothérapie à visée curative. Son utilisation est maintenant réservée aux patients adultes atteints d'un cancer du sein avancé et/ou métastatique.

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MessageSujet: Re: À propos de la confiance à faire aux médicaments.   À propos de la confiance à faire aux médicaments. Icon_minitimeSam 6 Aoû 2011 - 12:31

VANCOUVER - Une juge de la Cour suprême a autorisé le dépôt d'un recours collectif contre un fabricant d'hormones de remplacement, ce qui permettra aux femmes de la Colombie-Britannique et des autres provinces victimes de cancer d'obtenir compensation si elles ont gain de cause en cour.
Deux des hormones produites par la compagnie Wyeth Canada, qui a depuis peu été rachetée par Pfizer, soit le Prémarine et le Premplus, seraient en cause en raison du risque élevé de cancer qu'elles comporteraient.

La juge Miriam Gropper a rejeté les arguments de la compagnie qui alléguait le fait que de nombreuses situations personnelles différentes venaient compliquer le dossier.

Selon elle, un action commune sera profitable à l'ensemble des femmes même si les cas de cancer diffèrent.

L'idée de déposer un recours collectif a vu le jour en 2006 après que plusieurs femmes ayant pris des hormones pour soulager les problèmes reliés à la ménopause entre 1977 et 2003 eurent eurent été atteintes d'un cancer du sein.

Une étude importante menée en 2002 établissait un lien entre ces hormones et les crises cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux et le cancer dans certains cas.

La personne désignée dans cette cause, Dianna Stanway, de la Colombie-Britannique, a appris qu'elle souffrait d'un cancer deux mois après avoir cessé la prise d'hormones.


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MessageSujet: Re: À propos de la confiance à faire aux médicaments.   À propos de la confiance à faire aux médicaments. Icon_minitimeJeu 30 Juin 2011 - 12:34

Jeudi 30 juin 2011


Le Comité d'experts en oncologie de l'agence américaine du médicament (FDA) maintient son avis concernant le retrait de l'AMM de l'Avastin®️ pour le traitement du cancer du À propos de la confiance à faire aux médicaments. 307163 avancé, arguant du manque de sécurité et d'efficacité de ce médicament.
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MessageSujet: Re: À propos de la confiance à faire aux médicaments.   À propos de la confiance à faire aux médicaments. Icon_minitimeJeu 9 Juin 2011 - 5:50

The study, presented June 7, 2011, by University of Chicago researchers at the American Society for Clinical Oncology's annual meeting in Chicago, focused on three chemotherapy regimens that were not supported by evidence from prior clinical studies or clinical practice guidelines. One treatment was rated "insufficient data to support," one had been "shown to be ineffective," and one was supported by "no data, nor is there a compelling rationale."

L'étude présenté à l'asco met en lumière 3 régimes chimio thérapeuthiques qui ne sont supporté par aucune preuve d'études cliniques ou autre. Un traitement avec la note "insuffisance de données pour supporter" un a été "démontré inefficace" et un "pas de données pour supporter un impérieux besoin"

"Patients with advanced cancers that do not respond to standard therapies should either be looking for clinical trials, where there is a chance for a benefit, or should have been thinking about shifting toward palliative care," said study author Jonas De Souza, M.D., a hematology/oncology fellow at the University of Chicago. "Patients should not face the risks, discomforts and costs of aggressive and often quite toxic chemotherapy with treatment regimens that did not provide a benefit in previous studies."

Les patients avec un cancer avancé qui ne répond plus aux thérapies standards devraient soit regarder pour des essais cliniques ou il y a une chance de bénifice ou aller vers les soins palliatifs dit l'Auteur de l'étude...Le spatients ne devraient pas prendre le risque les inconforts et les coûts et souvent une thérapie toxique avec des régimes qui n'ont pas été prouvé bénifique avec de sérieuses études.

Under an agreement with UnitedHealthcare, a health benefits business, the researchers used de-identified medical and pharmaceutical claims data in the collaborative project. They examined claims from 7,642 colon cancer cases treated between January 2007 and June 2010, including 1,041 who developed metastatic disease. Of those 1,041 patients, 140 (13%) received treatments that were not supported by the evidence from clinical studies. Many of them received multiple cycles of non-beneficial chemotherapy.

The researchers focused on three chemotherapy regimens with specific recommendations against their use in the National Comprehensive Cancer Network (NCCN) guidelines. The regimen with insufficient data involved bevacizumab (trade name Avastin) used after the patient had progressed on a combination of that drug and chemotherapy. The treatment shown to be "ineffective" was capecitabine (trade name Xeloda) after progression on the same class of drugs. The regimen with no compelling rationale was panitumumab or cetuximab (trade name Erbitux) after progression on similar drugs.

The 140 patients received 869 cycles of chemotherapy. Some received two or more unproven treatments.

•Ninety-one of those patients went through 632 intravenous cycles of bevacizumab, at an estimated cost of $1.3 million. Potential side effects include hypertension, heightened risk of bleeding and bowel perforation.
•Fifty-nine patients received 218 non-evidence-based cycles of capecitabine, at a cost of more than $600,000. This drug, taken orally, can cause diarrhea, nausea, vomiting, fatigue, rash and swelling of the hands or feet.
•Six patients underwent 19 cycles of panitumumab, at a cost of almost $70,000. This drug can trigger itching, dermatitis and rash.
"We did not study why these physicians and patients turned to unproven therapies," said co-author Caleb Alexander, M.D., associate professor of medicine at the University of Chicago. "I suspect that both patients and care providers, when facing life-threatening disease with limited options, are more willing to step outside guidelines."

"There could also be financial implications," he added. "A physician who has run out of options may be hesitant to send a patient to a center that has access to greater resources but may be far away."

The researchers emphasized, however, that as the costs of cancer care continue to rise, the impetus to base treatment decisions on solid evidence can only increase. "It's important to get the right medicines to the right patients," said Alexander.

"DeSouza's research highlights the importance of evidence-based treatment for cancer patients," said Lee Newcomer, M.D., UnitedHealthcare's senior vice president, oncology. "Expert oncology opinions tell us that the extra therapies that these patients received potentially exposed these patients to unnecessary side effects. We should be relieving symptoms and not causing new ones, even as we try to address the underlying disease."

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MessageSujet: Re: À propos de la confiance à faire aux médicaments.   À propos de la confiance à faire aux médicaments. Icon_minitimeJeu 9 Juin 2011 - 5:38

L’Actos, médicament antidiabétique remboursé à 65% par la Sécurité Sociale, pourrait avoir comme effet secondaire d’entraîner des cancers de la À propos de la confiance à faire aux médicaments. 307203 .
En effet, plus de 40 patients ayant été traités avec ce produits ont été victimes de ce cancer.
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MessageSujet: Re: À propos de la confiance à faire aux médicaments.   À propos de la confiance à faire aux médicaments. Icon_minitimeMar 24 Mai 2011 - 15:47


D’un côté, il y a le principe de précaution et l'intérêt général et de l’autre, le poids des laboratoires et des intérêts financiers. On pourrait penser que le scandale du Mediator et l'affaire des antidiabétiques «cancérigènes» ne se sont jamais produits. Et pourtant. Selon le quotidien Le Monde, on trouve aujourd’hui en pharmacie quelque 400 médicaments, parmi lesquels des produits pour bébé, des antibiotiques et des dentifrices, qui contiennent des parabènes, des conservateurs à risques cancérigènes. La question est de savoir s’ils seront retirés de la vente ou s’il convient d’attendre, comme le souhaite le ministère de la Santé.

Quels sont ces médicaments?

Parmi les 400 préparations, on trouve des sirops pour la toux (Humex, Hexapneumine, Pectosan, Rhinathiol), des traitements contre les vomissements (Primpéran) ou pour le transit intestinal (Motilium). Sont également désignés des pansements gastriques (Maalox, Gaviscon), des antidouleurs (ibuprofène, paracétamol) et des crèmes (Biafine). Certains produits cosmétiques pour les bébés (Carbocistéine, Fluimucil) sont aussi dans le collimateur de même que des dentifrices (Fluocaril) et des antibiotiques (Zinnat). En voici une liste complète.

Que sont les parabènes?

Les parabènes, présents dans ces médicaments, se trouvent aussi dans des milliers de produits cosmétiques ou alimentaires. Ce sont des conservateurs qui empêchent le développement des champignons et des micro-organismes potentiellement nocifs pour l'homme. Ils évitent aussi la dégradation du médicament et la baisse de son efficacité. Mais, selon certaines études scientifiques, les parabènes pourraient avoir un effet cancérigène et une incidence sur la fertlité masculine.



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MessageSujet: Re: À propos de la confiance à faire aux médicaments.   À propos de la confiance à faire aux médicaments. Icon_minitimeVen 29 Avr 2011 - 11:17

Va-t-on vers un nouveau scandale sanitaire avec Actos®️ et Competact®️, deux médicaments antidiabétiques ? Ces deux médicaments sont toujours disponibles sur le marché, alors qu’ils figurent sur la liste des médicaments dangereux en raison d’un risque accru de cancer de la À propos de la confiance à faire aux médicaments. 307203 .


Certains experts s’insurgent que ces médicaments ne soient toujours pas interdits. Actos®️ et Competact®️ sont sur le marché depuis 2000. Ils appartiennent à la famille des glitazones. Ils font baisser la glycémie et l'hémoglobine glyquée, et à ce titre, sont prescrits aux diabétiques.

Ceci dit, ils ne sont pas officiellement reconnus par les autorités sanitaires comme antidiabétiques stricto sensu, mais néanmoins remboursés à 65% par l’Assurance maladie.

Ces deux médicaments ont également été inscrits sur la liste de l’Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) des 77 médicaments placés sous surveillance renforcée. En effet, Actos®️ et Competact®️ sont accusés d’augmenter le risque de cancer de la vessie, parfois dès 3 mois de traitement. Pourtant, l’Afssaps n’a toujours pas décidé de retirer leur autorisation de mise sur le marché. Pour l’heure, le dossier a été transmis à l’Agence européenne du médicament, qui pourra peut-être rendre un avis courant juin. En attendant, les preuves de la dangerosité de ces médicaments s’accumulent. La dernière en date provient du laboratoire fabricant lui-même, montrant une augmentation des cancers de la vessie chez des souris traitées avec ces antidiabétiques.

Souhaitons que l’affaire Médiator ne se répète pas… que les bonnes décisions soient prises, et au bon moment !
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MessageSujet: Re: À propos de la confiance à faire aux médicaments.   À propos de la confiance à faire aux médicaments. Icon_minitimeMar 19 Avr 2011 - 19:19

Sale temps pour les médicaments anti-diabétiques. Après le Mediator, c'est au tour de l'Actos et du Competact d'être dans le collimateur des autorités de santé. Rien à voir pour ces deux produit avec celui fabriqué par Servier mais l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) émet quand même une alerte à leur encontre. La pioglitazone, molécule utilisée dans leur composition, augmenterait en effet le risque de cancer de la vessie chez les patients traités.

« La Commission d’autorisation de mise sur le marché du 7 avril 2011 a réexaminé le rapport bénéfice / risque de la pioglitazone » souligne l'Afssaps dans un communiqué. « A la lumière de ces nouvelles données, l’Afssaps souhaite dès à présent mettre en garde contre ce risque (de cancer de la À propos de la confiance à faire aux médicaments. 307203 ) » les professionnels de santé. En clair, elle recommande aux médecins de bien évaluer les réels bénéfices d'un traitement à base de pioglitazone pour les personnes diabétiques et « de prendre en compte (…) les facteurs de risque additionnels potentiels de cancer de la vessie tels que l’exposition au tabac, l’âge, le sexe masculin, les infections urinaires chroniques, ainsi que certaines expositions professionnelles à des produits chimiques ».

Une enquête approfondie en cours
Pour les pharmaciens, l'Afssaps affirme que « l'Actos et le Competact ne font pas, à ce stade, l’objet d’une mesure de suspension d’autorisation de mise sur le marché » mais conseille ceux qui auraient un doute à « se rapprocher du médecin prescripteur ». Afin de mesurer plus précisément les risques de cancer de la vessie pour les patients traités à long terme avec ces deux produits, une grande enquête est actuellement en cours. Les résultats intermédiaires seront connus fin mai et les conclusions définitives fin juillet. Si vous avez un doute, le mieux est d'en parler avec votre médecin.

Par R.K
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Denis
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MessageSujet: À propos de la confiance à faire aux médicaments.   À propos de la confiance à faire aux médicaments. Icon_minitimeLun 4 Avr 2011 - 10:14

Dominique Maraninchi: «On va intégrer un comité de patients aux réunions»


INTERVIEW - Le nouveau directeur général de l'Affsaps explique les nouvelles orientations de l'agence à «20 Minutes»...

Plusieurs médicaments, aujourd’hui sous surveillance, ont été entachés par des conflits d’intérêts. Comment réagissez-vous?

J’ai pris la direction de l’Afssaps il y a quarante jours. Je ne veux pas faire de commentaires sur le passé. Je ne vais pas reprendre l’histoire de ces produits un par un. Ce qui compte, c’est ce que l’on fait aujourd’hui. Il faut être parfait. La suspicion sur les conflits d’intérêts ne doit plus exister.

Que faites-vous pour cela?

Depuis mon arrivée, je siège personnellement à toutes les commissions d’AMM. Les conflits d’intérêts sont lus à haute voix. Et ceux qui sont concernés sortent de la salle lors des délibérations.

Comment réagissent-ils?

Les gens ont été humiliés. Traumatisés... Aujourd’hui, ils sont toujours inquiets. Notre travail consiste à leur redonner confiance. La transparence absolue peut paraître excessive. Mais elle est juste indispensable.

Quelles actions concrètes comptez-vous mettre en place pour favoriser cette transparence?

La prochaine commission d’AMM sera filmée. Nous allons diffuser des extraits sur Internet. Et puis, je pense qu’il faut encore plus intégrer les patients dans le processus. Cela se fait déjà aux USA avec les «patient advocacy». On peut imaginer qu’un comité de patients relisent les protocoles et participent aux réunions. Mais c’est pareil que les experts: ils ne doivent pas être directement concernés. Une femme atteinte d’un cancer du sein ne devrait pas participer à une réunion sur un médicament qui soigne le cancer du sein. Mais pourquoi pas sur un produit pour le cancer de la prostate. On va expérimenter ça sur un ou deux sujets rapidement.

Croyez-vous parvenir à regagner la confiance des patients?

Il faudra du temps. On doit leur parler. Et pas uniquement par lettre recommandée. Mon but est de leur montrer qu’on peut aussi offrir du bien.

—Propos recueillis par Vincent Vantighem


Dernière édition par Denis le Mar 25 Juil 2017 - 17:02, édité 4 fois
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