Véritable miraculé

C'est vrai que l'activité physique est très bon autant pour le moral que le physique. Moi quand j'arrête la marche ou mes cours d'aqua-forme, je me sens plus fatigué et le moral baisse. J'ai récemment lu un lire sur des études mener sur des personnes recevant des traitements, un équipe qui avait un progamme de mise en forme et une autre sans programme. Le groupe qui avait un programme répondait beaucoup mieux aux traitement et ressentait beaucoup moins d'effets secondaires.

Pour revenir à ce témoignage, ce monsieur avait une volonté de vivre incroyable. Nous pouvons dire que : Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir!!!!

Bonne journée!!!

Denis quand j'entends de tels témoignages,ça donne beaucoup de vérité en ce que je dis quand je parle d'activité physique.L'activité physique remonte le système immunitaire ce qui est très aidant pour passer à travers les maladies.
Je vais continuer de répéter et de faire de l'exercice tant que mon corps me le permettra.nous devenons des exemples.

Cette semaine j'ai rencontrée une dame qui a eu un cancer du rein,on a du lui enlevé et elle a un sac.,j,étais en vélo et eux à pied.C'est sur que mon moteur de vélo am`ne beaucoup de questions et j'ai racontée mon histoire en gros et les personnes qui l'accompagnaient lui ont dit que tous les espoirs lui étaient permis avec mon récit.Nous attendions pour prende le tit bateau qui nous fait traverser la rivière.Ca faisait seulement 3 mois qu'elle était opérée et en bonne forme malgré tout.
Donc les amis espoirs,il faut continuer car nous tenons le flambeau.
Merci Denis. @#@

Une histoire encourageante prise sur cyberpresse aujourd'hui.




Après avoir survécu à trois cancers qui l'ont affaibli au point qu'il n'avait pratiquement plus le goût de vivre, Fernand Thériault a décidé de s'accrocher et de lutter. Véritable miraculé, il participera même au demi- marathon de Montréal en septembre prochain.


«Beaucoup de gens pensaient que je n'allais jamais m'en sortir, après mon troisième cancer. Maintenant, mon entourage m'appelle le miraculé de la rue Nicolet.»


C'est avec beaucoup d'émotion que le Montréalais Fernand Thériault raconte les difficiles embûches qu'il a dû surmonter depuis 1992, année où un premier cancer de la peau lui a été diagnostiqué. Par la suite, il aura à entendre encore deux fois la terrible annonce qu'il est à nouveau cancéreux.


«La deuxième fois, c'était en 1995 pour un cancer des ganglions, raconte l'homme de 73 ans. Crois-moi, tu réagis mal quand tu en as déjà eu un. J'étais vraiment abattu, surtout que j'avais perdu toutes mes forces.»

Autre cancer

Fernand Thériault s'accroche malgré tout et subit d'autres traitements, mais sept ans plus tard, un cancer des ganglions apparaît à nouveau. Il refuse encore une fois de céder devant la maladie et entreprend sa rémission. En tout, ses trois cancers auront nécessité 50 séances de radiothérapie et chimiothérapie.


«À la fin, je pesais à peine 80 livres, se souvient-il. J'ai été nourri pendant huit mois avec un tube dans le nez et j'ai fini par reprendre des forces. Mais pour le mental c'était dur aussi. Il y a certains jours où je pensais sauter du troisième étage...»

Espoir

C'est par l'activité physique qu'il reprend goût et espoir en la vie. Il recommence à marcher sur de plus longues distances avec sa chienne Roxy, et l'an dernier, il commence à penser au demi-marathon. Son médecin approuve son choix, mais lui demande d'être très prudent. Depuis quelques mois, il court et marche trois fois par semaine pour la course qui se tiendra en septembre.


Son entourage n'en revient tout simplement pas de le voir si actif malgré les trois cancers qui l'ont affecté. «Mon petit-fils m'a déjà dit 'ça se peut pas grand-papa, tu es trop en forme'», raconte Fernand Thériault, ému. Au-delà de ses prouesses physiques, l'homme espère aussi divulguer un message d'espoir à tous les cancéreux. «Je veux montrer qu'il ne faut jamais baisser les bras. On peut vaincre cette maladie», dit-il.