Sur le chemin, de mon moi

,j'aimes tes mots ....

Je te chéris, je te cherche souvent dans le silence
Je t’imagine, mais je ne vois pas ta silhouette
Qui es-tu? Une part connue de mon insouciance
Rends-moi libre, que je puisse faire des pirouettes.

Tendre, certes jusqu’au plus profond de ce mystère
L’horizon se rempli de désirs presque inconnus
Comment t’identifier, au milieu de la foule entière
Devant toi, je pourrais presque mettre mon cœur à nu.

Solitude, je marche, je vois les traces dans le sable
Tu n’as pas de nom, mais je te parle très souvent
La vie me tient debout, tu n’as rien d’une belle fable
En moi, j’entends des réponses inscrites dans le vent.

Le pont entre les deux mots, m’enlève tous mes maux
En joignant les deux mains, je les serre contre le cœur
Il m’arrive d’avoir des idées nouvelles, à fleur de peau
Je découvre avec joie, leur héritage et leurs valeurs.

Ce monologue entre et moi, m’ouvre une autre porte
Celle du désir de vivre, avec cette plénitude acquise
C’est l’espoir de ce jour nouveau qui déjà, l’emporte
L’amour réel est là et c’est la vie même, qui me grise.


19/04/2005
feedelanuit
ou mon nom de poète afin de ne pas poser de problème de plagia face à moi même
Michèle R. De Guise !

Très joli, vraiment. Et bienvenue fée de la nuit.

@#@

J’avance encore, vers un destin que je programme
J’ai le pouvoir de redessiner, le paysage que j’aime
Je suis en paix avec mon cœur, mon corps, mon âme
Et symboliquement, je détruis alors mes problèmes.

Le soleil m’envoie des messages de joie, que je capte
Sa chaleur me donne le courage, d’avoir foi en moi
Il retire comme par magie, les douleurs qu’il capte
Et l’eau de la rivière, me donne un habit de soie.

Mon cœur est expansé par l’amour, qu’il contient
Il pulse au son des mots, chuchotés dans mon cou
Puis se sèment, comme des cailloux sur ce chemin
Afin que je ne tombe plus jamais, seule à genoux.


Mon esprit se libère, dans le silence je me retrouve
Face au renouveau, qui me donne certes, des ailes
Avec mes mains, c’est mon visage que je trouve
Et je réalise enfin, que cet amour aimé est éternel.


Mon âme n’à que faire, de toutes les limites imposées
Elle se veut libre, de ce passage voulu, sur cette terre
L’avenir m’appelle pour terminer, le choix inexpliqué
Gravé en moi, mais pour certains remplis, de mystères.


18/04/2005