Des recettes avec du Curcuma

Le curcuma stoppe la prolifération des cellules cancéreuses

Le curcuma contient une importante quantité d'un phytonutriment appelé curcumine et peut combattre le cancer de plusieurs façons. Car non seulement il est l'anti-inflammatoire le plus puissant reconnu à ce jour mais il est aussi capable de stopper la prolifération des cellules cancéreuses. «Il peut tuer une cellule cancéreuse à différents stades de son cycle de vie, explique la diététiste Jean LaMantia.Ce qui signifie qu'il n'est jamais trop tôt ou trop tard pour ajouter le curcuma à son régime».
Le curcuma augmente l'efficacité de la radiothérapie et de la chimiothérapie. Des études ont démontré le rôle de la curcumine dans la prévention et le traitement de plusieurs cancers comme celui de l'estomac, du , de l'intestin, du , de la et du , du et de l' .

Curcumin, an antioxidant found in the curry spice turmeric, has been found to slow or limit the activity of the HPV virus, which causes oral and cervical cancers.

Turmeric -- the familiar yellow spice common in Indian and Asian cooking -- may play a therapeutic role in oral cancers associated with human papillomavirus, according to new research published in ecancermedicalscience.

One of the herb's key active ingredients -- an antioxidant called curcumin -- appears to have a quelling effect on the activity of human papillomavirus (HPV).

HPV is a virus that promotes the development of cervical and oral cancer. There is no cure, but curcumin may offer a means of future control.

"Turmeric has established antiviral and anti-cancer properties," says corresponding author Dr Alok Mishra of Emory University, Atlanta, USA. "And according to our new findings, we could say that it's good for oral health too."

Dr Mishra's research group first noted the effect of curcumin on HPV and cervical cancer cells in 2005. The antioxidant slowed the expression of HPV, suggesting that curcumin could control the extent of HPV infection.

"Since HPV-related oral cancer cases are on rise, we tested the same hypothesis on oral cancer," Dr Mishra says.

"They turned out to be some very interesting findings."

The new research indicates that curcumin turns down the expression of HPV in infected oral cancer cells by downregulating the levels of cellular transcription factors AP-1 and NF-kB. These findings could suggest a new therapeutic role for curcumin in cancer control.

While Dr Mishra cannot comment on the therapeutic benefits of turmeric in cooking, he says that the use of curcumin and other anti-oxidants may be good for health in general, and HPV-related oral cancers in particular.

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La curcumine, un antioxydant trouvé dans le curcuma, ralentit ou limite l'activité du virus HPV, qui provoque des cancers oraux et cervicales.

Curcuma - l'épice jaune familière commune dans la cuisine indienne et asiatique - peut jouer un rôle thérapeutique dans les cancers oraux associés au papillomavirus humain, selon une nouvelle étude publiée dans ecancermedicalscience.

L'un des principaux ingrédients actifs de l'herbe - un antioxydant appelé curcumine - semble avoir un effet sur l'activité étouffement du virus du papillome humain (VPH).

Le VPH est un virus qui favorise le développement du cancer du col et celui de la bouche. Il n'existe aucun remède, mais la curcumine peut offrir un moyen de contrôle futur.

"Le curcuma a des propriétés antivirales et anti-cancer», explique l'auteur correspondant Dr Alok Mishra de l'Université Emory, Atlanta, USA. "Et selon nos nouvelles découvertes, nous pourrions dire que c'est bon pour la santé bucco-dentaire aussi."

Le groupe de recherche du Dr Mishra abord noté l'effet de la curcumine sur les cellules HPV et le cancer du col utérin en 2005. L'antioxydant ralenti l'expression du HPV, ce qui suggère que la curcumine pourrait contrôler l'étendue de l'infection par le VPH.

"Depuis que des cas de cancer de la bouche associées au VPH sont en hausse, nous avons testé la même hypothèse sur le cancer par voie orale», dit le Dr Mishra.

"Ce se sont des conclusions très intéressantes."

La nouvelle recherche indique que la curcumine refuse l'expression de HPV dans les cellules infectées de cancer de la bouche par régulation négative les niveaux de transcription cellulaire facteurs AP-1 et NF-kB. Ces résultats pourraient suggérer un nouveau rôle thérapeutique pour la curcumine dans la lutte contre le cancer.

Bien que le Dr Mishra ne peut pas commenter sur les bienfaits thérapeutiques du curcuma dans la cuisine, il dit que l'utilisation de la curcumine et d'autres anti-oxydants peut être bon pour la santé en général, et les cancers oraux liés au VPH en particulier.

A common Asian spice and cancer-hampering molecules show promise in slowing mesothelioma, cancer of the lung lining linked to asbestos. Scientists demonstrate curcumin and cancer-inhibiting peptides increase a protein inhibitor that slows mesothelioma.

Le curcuma ralentirait la progression du mésothéliome qui est le cancer relié à l''amiante

J'adore le curcuma , j'en mets partout 


Le GnamakouDji ( une boisson africaine anti cancer)

4 tasses d'eau ou 1litre
100g de gingembre, lavé et épluché
300g d'ananas, lavé et épluché
1/3 tasse de jus de citron
1 et 1/2 tasse de sucre


Étape 1: Ajoutez le gingembre, l’ananas et le jus de citron dans un robot culinaire. Puis ajoutez l’eau et mélangez bien jusqu'à obtention d’un liquide homogène.

Vous pouvez aussi utilisez un mortier et piler le gingembre et les ananas ensemble et mélangez dans l’eau.

Étape 2 : Filtrez le mélange obtenu à l'aide d'un tamis pour retirer le jus .

Étape 3 : Ajoutez le sucre au jus et mélangez.

Le sucre est selon votre goût,
Gardez au réfrigérateur pour au moyen 2 heures et servez froid avec vos repas.

Le curcuma, épice miracle anti-cancer ?

Par Cécile Abdesselam, le 19 février 2014

Le curcuma, c’est l’un des composants du curry, ce qui lui donne sa belle couleur orangée. Mais cette épice n’est pas que savoureuse, et belle, elle est aussi thérapeutique, et riche en antioxydants. Des chercheurs américains de l’université de Louisville, au Kentucky, ont démontré récemment qu’elle pourrait permettre de lutter contre le cancer du sein : elle bloquerait le processus des hormones qui nourrissent les cellules cancéreuses.

Les chercheurs l’ont donnée à des souris porteuses de cellules cancéreuses du sein, divisées en deux groupes. Pendant quatre mois, certaines ont été nourries avec un régime alimentaire à base de curcuma ; les autres, avec des capsules contenant 200 mg de curcuma. Les souris nourries au curcuma brut, si l’on peut dire, ont vu leurs tumeurs grossir. En revanche, dans le 2ème groupe, les tumeurs ont diminué et cessé de proliférer. Selon les scientifiques, cela s’explique par le fait que l’épice ingérée se dilue dans l’estomac. Alors qu’avec les capsules, elle se diffuse dans le sang…

Une autre étude datant, elle, de 2011, avait déjà montré les bienfaits de la curcumine (un des composés du curcuma) sur un type de cancer du cerveau nommé glioblastome. Elle avait permis de réduire la tumeur sur neuf des onze rats étudiés. Impact positif également observé sur un autre type de cancer, celui du pancréas, d’après une étude de 2009. Reste à tester l’effet de l’épice sur les humains. A noter que les médecines traditionnelles chinoises et indiennes exploitent les vertus du curcuma depuis toujours. Bien avant les études sur les souris.

Une recette qui utilise à la fois le curcuma et le gingembre, très anti-cancer donc :

12 palourdes fraiches ou en canne.
120 grammes de beurre en dés
du gingembre frais en julienne (1/3 de tasse environ)
2.5 ml de curcuma en poudre
sel
tempura frite (magasin asiatique)

Prenez une palourde dans chaque main et frappez les l'une contre l'autre, dès que le bruit de cassure se fait entendre déposer la palourde cassée et recomencer avec une autre jusqu'à ce qu'elles soient toutes ouvertes. ensuite preez un couteau et libérez le muscle et réservier dans un plat.

Beurre de gingembre : dans une petite casserole, faire fondre le beurre. ajouter le gingembre et le curcuma frais. Le mélange s'émulsionnera en chauffant

Plonger les palourdes dans le beurre mais ne les faites pas trop chauffer. remettez du curcuma en poudre et de la friture de tempura à la fin.

Citation :

La curcumine est le principe actif du curcuma, une plante indienne aussi connue sous le nom de “Safran des Indes” (Curcuma longa). Elle est sans danger dans le traitement du cancer du . C’est ce qu’ont constaté des médecins japonais chez vingt patients atteints de ce cancer et qui suivaient une chimiothérapie. Une dose de 8 grammes de curcumine ne provoquait que de très légers effets secondaires. La curcumine est mal absorbée par l’organisme, c’est pourquoi il est nécessaire d’administrer de grosses doses.

Bien que l’étude n’était pas tout à fait adéquate pour mesurer l’efficacité de la curcumine, les résultats se sont révélés très encourageants. Les chances de survie ont doublé et presque 20% des patients ont encore vécu plus d’un an. De plus, les effets secondaires de la chimiothérapie avaient diminué.

Je ne sais pas si c'est possible de manger pour 8 grammes de curcuma par jour (?), il faut probablement se faire un curry de légume à base curcuma mais quand t' en as mangé un dans ta semaine comme ça, tu dois attendre 2 semaines avant d'en manger un autre... J'en mange beaucoup personnellement mais beaucoup j'évalue ça à 2 ou 3 grammes/jour.

Les études in vitro ont montré que le curcuma serait susceptible d’agir à trois niveaux : il diminuerait l’effet mutagène de certaines substances (comme celles présentes dans le tabac), faciliterait la mort prématurée des cellules en dégénérescence et aurait un effet anti-angiogénique en empêchant la vascularisation de la tumeur. En Chine, il est officiellement recommandé aux personnes à risque de cancer de l’œsophage.

Curcuma: il améliore la digestion

En stimulant le foie et en favorisant l’excrétion de la bile. Il est d’ailleurs le composant principal de l’Hépatoum®, précieux après des excès de table. En régulant l’hyperacidité, il prévient ainsi les parois de l’estomac contre les brûlures gastriques. Sa présence dans le curry n’est donc pas anodine, il vient contrebalancer l’acidité à laquelle peuvent conduire les épices « chaudes ». Enfin, il interagit avec les enzymes du foie qui sont responsables de la détoxication. Il facilite ainsi l’élimination de certains toxiques, comme l’arsenic ou ceux liés à la prise de médicament. Si vous suivez un traitement ...

Comme je mettais ces bons résultats sur la cucurmine, j'ai décidé d'en profiter et de me faire la recette au dessus avec du comcombre et des pois chiches parce que je savais que j'avais au moins ces deux ingrédients-là.

À force de remplacement, le résultat final est assez surprenant, ça se rapproche du gout du rince bouche en fait... Je n'avais pas de menthe à ciselé mais j'avais une petite bouteille d'extrait de menthe, ça doit être ça qui donne le goût de rince bouche à toute l'affaire.



Je n'ai pas souvenir d'avoir croisé une seule feuille de menthe dans ma jeunesse, il faut dire que j'ai été élevé en ville et je crois qu'il n'y en avait même pas au magasin du coin de la menthe. Je dis ça pour expliquer que ce n'est pas un goût qui m'est naturelle. Enfin passons.

J'ai changé aussi les oignons pour des piments rouges, je dois m'ennuyer de nôel, le vert du concombre avec le rouge du piment je trouvais que ça faisait joli. J'ai mis de la lime à la place du citron que j'avais mais comme je n'avais pas d'orange, je trouvais que la lime serait moins sûr et j'ai sucré avec du jus de cannegerbes (pas assez cependant j'aurais dû rajouter carrément du sucre.)

Réduit en purée et mis en pot ça pourrait se vendre comme médicament...non là j'exagère c'est pas si méchant que ça c'est surprenant et j'ai peut-être exagéré sur le curcuma et le curry c'est juste ça.

Si vous essayez la recette, essayez d'être moins "créatif" que moi et tout va bien aller. Vous m'en donnerez des nouvelles, si mes cellules canécreuses ont aimé ça autant que moi, je suis guéri car elles se sont suicidées

(Sep. 12, 2011) — Curcumin, the main component in the spice turmeric used in curry, suppresses a cell signaling pathway that drives the growth of head and neck cancer, according to a pilot study using human saliva by researchers at UCLA's Jonsson Comprehensive Cancer Center.

The inhibition of the cell signaling pathway also correlated with reduced expression of a number of pro-inflammatory cytokines, or signaling molecules, in the saliva that promote cancer growth, said Dr. Marilene Wang, a professor of head and neck surgery, senior author of the study and a Jonsson Cancer Center researcher.

"This study shows that curcumin can work in the mouths of patients with head and neck malignancies and reduce activities that promote cancer growth," Wang said. "And it not only affected the cancer by inhibiting a critical cell signaling pathway, it also affected the saliva itself by reducing pro-inflammatory cytokines within the saliva."

La curcumine principal ingrédient du curcuma utilisée dans le curry supprimes un chemin cellulaire qui mène la croissance du cancer du

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New study finds curcumin to be an effective agent against glioblastoma; a fatal type of brain cancer
Curcumin has the most evidence-based literature backing its use as a cancer support than any other nutrient
The compound affects 700 genes and more than 100 different pathways once it enters the cell
Curcumin appears safe for the treatment of all types of cancer

De nouvelles études ont trouvés que la cucurmine est un agent efficace contre le glioblastome

More recently, studies have linked curcumin to potential uses in treating arthritis and a range of rheumatic diseases and, potentially, even as an agent to kill cancer cells directly or make them more sensitive to killing by chemotherapy and radiotherapy.

Récemment des études ont lié la curcumine à des usages potentiels pour contrer l'Arthrite et une variété de maladies rhumatismales et portentiellement comme un agent pour tuer les cellules canceures ou pourles rendre plus sensibles à la chimio ou à la radio thérapie.

ici

Miammmm très tentante cette recette. J'adore les pois chiches.

INGRÉDIENTS
250 g de pois chiches secs
1 concombre
4 beaux oignons en botte
1 bouquet de menthe
2 c. à soupe de curcuma + 1 c. à café
5 c. à soupe d’huile d’olive
1 le jus de 1 citron
1 le jus de 1/2 orange
1 c. à café de poudre de curry
1 sel, poivre du moulin
1

RECETTE

Salade de pois chiches au concombre et au curcuma

La veille, faites tremper les pois chiches dans l’eau froide, 12 heures minimum.

Le lendemain, faites-les cuire dans une grande casserole d’eau salée et parfumée de 1 c. à café de curcuma, portée à ébullition. Lorsqu’ils sont tendres, égouttez-les et laissez-les refroidir.

Lavez, séchez et ciselez la menthe. Pelez et émincez les oignons.

Préparez une vinaigrette avec l’huile d’olive, le jus des agrumes, le curcuma restant, le curry, du sel et du poivre.
Lavez et épépinez le concombre. Détaillez-le en bâtonnets et mélangez-le avec les pois chiches et les oignons. Ajoutez la menthe ciselée, la vinaigrette et réservez au réfrigérateur jusqu’au moment de servir.

J'avais vu une émission à ce propos avec le Dr. Béliveau. A propos du poivre.

Le curcuma et le poivre sont étudiés depuis longtemps comme traitements potentiels contre le cancer, mais une nouvelle étude laisse entendre pour la première fois que ces épices pourraient prévenir le cancer en visant spécifiquement les cellules souches.

Les chercheurs du centre de cancérologie de l'université du Michigan aux Etats-Unis ont découvert que lorsque la curcumine, un élément chimique se trouvant dans le curcuma, et la pipérine, qui provient du poivre noir, sont ajoutées à une culture de cellules, le nombre de cellules souches est réduit tandis que les cellules normales sont épargnées. Les chercheurs estiment que l'élimination des cellules souches cancéreuses et la réduction du nombre de cellules normales sont essentielles dans la lutte contre le cancer.

La pipérine renforce les effets de la curcumine, et les deux éléments stoppent le processus de renouvellement des cellules souches cancéreuses.

Donc on ne lâche pas avec le curcuma...

(May 19, 2011) — A primary reason that head and neck cancer treatments fail is the tumor cells become resistant to chemotherapy drugs. Now, researchers at the University of Michigan Comprehensive Cancer Center have found that a compound derived from the Indian spice curcumin can help cells overcome that resistance.

Une des raisons principales que les traitements contre les cancer du ne marchent pas toujours c'est que les cellules cancéreuses deviennent résistantes. Maintenant les chercheurs ont établi qu'une molécule dérivée d'une épice indienne appelée curcuma peut aider à vaincre cette résistance.

When researchers added a curcumin-based compound, called FLLL32, to head and neck cancer cell lines, they were able to cut the dose of the chemotherapy drug cisplatin by four while still killing tumor cells equally as well as the higher dose of cisplatin without FLLL32.

Quand les chercheurs ont ajouté une molécule tirée de la curcumine appelée FLLL32 à des cellules cancéreuses du cancer de , ils ont été capable de couper la dose de cisplatine par 4 tout en tuant autant de cellules cancéreuses.

agathe a écrit:

Je mets aussi du curcuma et autres épices dans mes potages.

J'en ai toujours toujours toujours...j'en met très souvent.

Curcuma longa est une plante jaune de la famille du gingembre qui tiendrait, selon les adeptes de sa consommation, du miracle alimentaire, avec de véritables propriétés anticancer (notamment sur le côlon et le système digestif).

La curcumine, l’une des molécules du curcuma les plus actives biologiquement (présente dans le curry) aurait des propriétés antioxydantes, antiinflammatoires et anticancéreuses.

Si David Servan-Schreiber le préconise « nature » ou associé à du poivre, le Dr Chevallier préfère le combiner avec du curry à cause de la pipérine, molécule également présente dans le poivre noir, afin d’améliorer son absorption intestinale (apport potentialisé par l’association avec des brocolis ou du chou). Il y a deux ans, le National Cancer Institute (NCI-USA) avait d’ailleurs adoubé le curcuma en lui consacrant un éditorial. Car, en cancérologie, certains effets antiprolifératifs notamment auraient été constatés.

Son action préventive concernerait particulièrement les cancers de la , du col de l’utérus, de l’estomac, du et de la .

Cette épice étant omniprésente dans la cuisine indienne, la Sécurité sociale ferait œuvre de salubrité publique en remboursant les notes de restaurants exotiques.

Il semble que la curcumine aurait des effets contre le cancer du selon ce site également :

http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/ijc.26132/abstract

à moins que je ne comprenne pas bien ce qui est écrit...

Je mets aussi du curcuma et autres épices dans mes potages.

Poulet cari-curcuma

Ingrédients pour 4 personnes
4 blancs de poulet de 150 gr chacun, sans gras ni peau, 3 gousses d’ail, 4 échalotes, 2 c. à café de cari en poudre, 1 c. à café de curcuma moulu, 2 c. à soupe de nuoc-mam (sauce de poisson vietnamienne), 2c. à soupe de cassonnade, 2 tasses de lait de coco.
Préparation
Chauffer 3 cuillerées à soupe d’huile d’olive dans une grande poèle. Faire revenir l’ail et les échalotes émincées 2 à 3 minutes à feu vif.
Ajouter tous les autres ingrédients. Saler et poivrer. Laisser mijoter 20 minutes, à feu doux.
Couper le poulet en lanières et servir immédiatement.

Atout santé

Le curcuma fait partie des épices capables d’interférer avec la progression du cancer, et possède des propriétés anti-inflammatoires. Pour en bénéficier, deux règles : l’associer à un peu d’huile et du poivre en grain.

Ingrédients
•1 oignon moyen, grossièrement haché
•2 gousses d'ail, hachées
•2 cuillères à soupe (30 ml) de gingembre, haché
•1 cuillère à soupe (15 ml) de curcuma
•1 tasse (250 ml) de jus d'orange
•1 boîte de tomates en dés (28 oz ou 796 ml)
•1/4 tasse (60 ml) de pâte de tomate
•1 1/2 cuillère à thé (7,5 ml) de menthe séchée, réduite en poudre
•4 filet de saumon sans peau (environ ½ lb ou 200 g chacun)
•4 pincées de cumin, moulu
•huile d'olive
•sel et poivre

Préparation
Dans une grande poêle, faire revenir l'oignon, l'ail et le gingembre jusqu'à transparence.

Dans un petit ramequin, mélanger le curcuma à 2 c. à soupe (30 ml) d'huile d'olive, verser le tout sur l'oignon, bien incorporer, baisser le feu et laisser compoter pendant 5 minutes.

Monter le feu à vif, déglacer avec le jus d'orange, et laisser réduire de moitié.

Ajouter les tomates, la pâte de tomate et la menthe séchée, saler et poivrer, bien incorporer, et laisser mijoter jusqu'à texture onctueuse.

Quelques minutes avant de servir, saler et poivrer les filets de saumon, et les saupoudrer de cumin.

Déposer les filets sur le concassé de tomate, couvrir et poursuivre la cuisson jusqu'à ce que le saumon laisse écouler un jus blanchâtre.

Servir aussitôt, accompagné de couscous de blé entier et de brocolis sautés.

On soupçonne depuis plusieurs années que la forte consommation de curcuma pourrait participer à la faible incidence de certains cancers chez les habitants de l'Inde. Par exemple, alors que le cancer du sein représente une des principales causes de cancer en Amérique, les femmes indiennes sont environ cinq fois moins touchées par ce cancer.

De nombreuses études suggèrent que cette action préventive du curcuma est liée à la capacité de cette molécule d'attaquer les cellules cancéreuses sous plusieurs fronts:

* inhibition de la croissance de plusieurs types de cellules cancéreuses;

* stimulation de la mort de ces cellules cancéreuses par le processus d'apoptose;

* inhibition de la résistance à la chimiothérapie;

* inhibition de l'angiogenèse, la formation de vaisseaux sanguins dans les tumeurs;

* inhibition de l'inflammation.

Plus récemment, des chercheurs du Michigan ont montré que la curcumine a également la propriété d'interférer avec les cellules souches cancéreuses présentes dans le tissu mammaire. Ces cellules souches jouent un rôle très important dans la progression du cancer, car elles ont la capacité de continuellement donner naissance à de nouvelles cellules cancéreuses.

Pire encore, ces cellules souches sont très résistantes aux médicaments de chimiothérapie et sont donc capables de reformer une tumeur quelque temps après la fin des traitements.

ARRÊT DE CROISSANCE

En utilisant des cellules souches isolées de tissu mammaire, les chercheurs ont observé que l'addition de curcumine provoquait rapidement un arrêt de leur croissance, alors que la molécule n'avait aucun impact sur celle de cellules normales. Cet effet inhibiteur de la curcumine est considérablement augmenté par la présence de pipérine, une molécule présente dans le poivre noir qui est reconnue pour augmenter la biodisponibilité de la curcumine.

Ces résultats sont extrêmement importants, car ils permettent de penser que l'inclusion de curcuma dans le régime alimentaire pourrait prévenir le développement du ont du sein ainsi qu'améliorer l'efficacité des traitements en réduisant la population de cellules souches cancéreuses présentes dans la tumeur. D'ailleurs, il est intéressant de noter qu'une étude préliminaire réalisée en France chez des femmes atteintes de formes avancées de cancers du sein indique que la curcumine est bien tolérée et améliore la réponse des patientes à la chimiothérapie.

En plus de ces études, plus de 15 essais cliniques sont en cours dans les meilleurs hôpitaux à travers le monde pour mesurer l'efficacité du curcuma dans le traitement de divers cancers. Les prochaines années s'annoncent donc très prometteuses pour l'implantation de nouvelles approches thérapeutiques anticancéreuses basées sur les propriétés de cette épice.

Utilisation du curcuma associé avec la chimiothérapie


On peut associer le curcuma avec certaines chimiothérapies pour lesquelles nous avons des éléments expérimentaux de synergie d’action / potentialisation de l’efficacité de la chimiothérapie, à savoir :

• GEMCITABINE (Gemzar)
  
• PACLITAXEL (Taxol)
  
• DOCETAXEL (Taxotère)
  
• OXALIPLATINE (Eloxatine)
  

En dehors de ces 4 chimiothérapies, en l’absence a ce jour d'éléments suggérant une synergie d’action du curcuma avec la chimiothérapie, il est recommande de prendre le curcuma en dehors de la période d’action thérapeutique de la chimiothérapie. Il paraît notamment souhaitable d’éviter la prise de curcuma le jour des chimiothérapies, et le ou les jours suivants, selon la durée d’action recherchée de la chimiothérapie. Il existe un risque d’inhibition partielle de l’efficacité des chimiothérapies suivantes :

• CAMPTOCHÉCINE (Campto)
  
• DOXORUBICINE (Adriamycine)
  
• MÉCHLORÉTHAMINE et CYCLOPHOSPHAMIDE (Endoxan)
  
• VINCRISTINE (Oncovin)
  

Il est donc nécessaire d’obtenir l’aide de son oncologue chimiothérapeute pour définir la période de prise du curcuma, s’il est pris a des doses élevées (au delà d’une cuillère café par jour).