Virus et cancer de la prostate

(July 31, 2012) — Two common viruses known to be associated with human cancers are both present -- and may even be collaborating with each other -- in most male prostate cancers, a new study suggests.

Deux virus communs connus pour être associé avec des cancers humain sont présent tous les deux - et peut-être collaborent ensemble - dans la plupart des cancers de la prostate suggère une nouvelle étude.

The research involved examination of 100 specimens of normal, malignant and benign prostate samples from Australian men.

La recherche implique 100 exemple de cancers de la prostate

It revealed that both the human papilloma virus (HPV) and Epstein Barr virus (EBV) were present in more than half of the malignant cancers, as well as in a high proportion of benign and normal prostate samples.

Elle révèle que le HPV cancer du virus du papillome humain et le virus Epsin Barr sont présent tous les deux dans plus de la moitié des cancers malins et dans une grandes proportion des bénins ainsi que dans les exemple normaux de cellules de la prostate.

Details of the study, led by Associate Professor Noel Whitaker and Professor James Lawson, of the University of New South Wales (UNSW) in Sydney, Australia, are published in the journal The Prostate.

The research team included other UNSW researchers and colleagues from the Department of Forensic Medicine Sydney South West Area Health Service and at Douglass, Hanly, Moir Pathology.

"Recent unpublished experimental evidence by other researchers suggests that HPV and EBV can collaborate to promote the survival and proliferation of cancer cells, so our findings may well have important implications for understanding and preventing prostate cancer," says Professor Whitaker.

Des études récentes et non-publiées ont mis en évidence que le HPV et le virus d'epsin Barr collaborent pour promouvir la survie et la prolifération des cellules cancéreuses aussi nos découvertes peuvent avoir des implications importantes pour comprendre et prévenir les cancer de la

"Significantly, in our prostate samples we found a high-risk strain known as HPV 18, which is known to be associated with other human cancers.

"HPV 18 is a common high-risk strain in Australia and is a specific target of the Gardasil vaccine now offered free to teenage girls to protect against cervical cancer.

"Hpv 18 est un risque répandu en Australie et une cible spécifique du vaccin Gardasil offert gratuitement aux jeunes filles pour les protéger.


"We note recent proposals to offer Gardasil to Australian teenage boys as well, with the aim of preventing the spread of the virus to women through sexual contact. If HPV 18 is also associated with prostate cancers, as our research suggests, vaccinating boys may yet prove to have an unexpected direct benefit for them as well."

"nous avons noté des propositions récemment pour que le vaccin Gardasil soit offert aussi aux jeunes hommes pour prévenir que le virus ne se répande à travers les contacts sexuels. Si le hpv18 est associé également avec le cancer de la prostate, comme le suggère nos recherches, les vaccins aux jeunes hommes pourraient avoir un bénéfice inattendu."

Earlier research by Professor Whitaker's team has found that HPV is present in about 40% of breast cancers as well. The new study found that HPV alone is present in about 70% of the malignant prostate cancers sampled.

EBV has also been linked to head and neck cancers, particularly in south-east Asian countries: like HPV, it is spread mostly by close skin contact, leading it to be dubbed "the kissing disease."

While HPV has been detected before in prostate cancers, this is one of only a few studies -- and the first in Australia -- to confirm the presence of both high-risk HPV and EBV in the same cancer tissues.

"I should caution that their presence is not conclusive of a role in prostate cancer," says Professor Whitaker. "But given their well-established track record with other cancers, it would seem quite unlikely that they are harmless."

"la présence des virus n'est pas concluante pour un rôle dans le cancer de la prostate mais étant donné leur présence bien établi dans d'autres cancers il serait surprenant que ce soit anondin.

L'arme de certains virus à l'origine de cancers démasquée


(AFP) – Il y a 4 heures


PARIS — Des chercheurs français ont découvert l'arme cachée de certains rétrovirus impliqués dans l'apparition de cancers et en ont fait une cible privilégiée pour les combattre, y compris par des vaccins, à l'avenir.

Ces travaux de l'équipe dirigée par Thierry Heidmann (Institut Gustave-Roussy, près de Paris) viennent de paraître dans les comptes rendus de l'Académie des sciences américaines, les PNAS.

Les rétrovirus (famille de virus englobant le VIH/sida) utilisent la machinerie cellulaire pour se multiplier.
Les rétrovirus oncogènes sont à l'origine de cancers notamment animaux.

Chez l'homme, deux rétrovirus, nommés HTLV et XMRV, sont associés à des cancers (respectivement leucémie et cancer de la ).

Toutefois, le rôle déclencheur de ce dernier virus n'est pas encore clairement établi : l'association du XMRV avec des formes familiales de cancer de la prostate, décrite chez des patients américains, n'a pas été retrouvée, selon une étude réalisée en Allemagne sur près de 600 patients (Institut Robert Koch et hôpital de la Charité à Berlin).

L'équipe du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) a identifié la protéine permettant à ces virus à l'origine de cancer de neutraliser les défenses immunitaires de l'hôte attaqué.

Cette protéine permet la fusion des particules virales avec la membrane de la cellule, leur permettant ainsi d'y pénétrer.
Les chercheurs ont montré qu'elle possédait aussi des propriétés immunosuppressives, c'est-à-dire qu'elle bloquait la défense immunitaire de la cellule pour permettre au virus de s'y installer puis de se propager dans l'organisme.

Pour la démonstration, ils ont étudié un virus responsable de leucémie chez la souris (VLM/MLV).
Après avoir identifié une zone-cible sur la protéine de l'enveloppe virale, les chercheurs ont modifié le virus, le privant ainsi de sa capacité à déjouer le système immunitaire.

Résultat : si le virus naturel a infecté durablement les rongeurs, le virus modifié privé de son arme habituelle a été neutralisé par les défenses immunitaires des animaux. De surcroît, l'innoculation de la version désarmée du virus aux souris les a "vaccinées", offrant là une nouvelle piste aux recherches pour des vaccins.

En effet, les virus HTLV et XMRV, associés à des maladies humaines, possèdent des propriétés analogues au virus de rongeur initialement étudié, selon les chercheurs s'intéressant également au VIH.

Cancer de la prostate
http://www.passeportsante.net/fr/Maux/Problemes/Fiche.aspx?doc=cancer_prostate_pm&xtor=EPR-2

Le Tai Chi pour les Nuls
http://www.passeportsante.net/fr/P/Bibliotheque/Fiche.aspx?doc=Biblio_7240&xtor=EPR-2

Nouveautés et découvertes Bonjour chez Do
http://www.bonjourchezdo.com/nouveautes/

Merci de découvrir de nouveaux articles sur la recherche sur le cancer.

!

Denis

Un virus responsable du cancer de la prostate?
http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Nouvelles/Fiche.aspx?doc=2006022802

Manger Santé, selon le Dr Jean Drouin
http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Entrevues/Fiche.aspx?doc=drouin_j_20060306

Guérir sa vie par le Dr Jean Drouin
http://www.passeportsante.net/fr/P/Bibliotheque/Fiche.aspx?doc=Biblio_7221