Les champignons contre le cancer

Tapping into the power of natural ingredients for safer treatment is the next frontier in the battle against cancer. A recent breakthrough from HKPolyU uses tiger milk mushroom to prepare anti-tumor nanoparticles is bringing us one step closer.

Prendre à même le pouvoir des ingrédients naturels pour des traitements plus sûrs est la prochaine frontière dans la bataille contre le cancer. Une récente avancée dans l'utilisation d'un champignon est la préparation de nanoparticules anti-cancer.

Cancer is a word dreaded by many. Many cancers are deadly and difficult to treat while conventional remedies such as chemotherapy often cause physical and emotional sides effects, giving struggling patients more harm just as the cancer. What if cancer-killing drugs can become more natural and in harmony with our body? Tapping into the power of natural ingredients for safer treatment is the next frontier in the battle against cancer. A recent breakthrough from PolyU's Department of Applied Biology and Chemical Technology using tiger milk mushroom to prepare anti-tumor nanoparticles is bringing us one step closer.

Les cancers peuvent être difficiles à traiter avec les remèdes conventionnels à cause des effets physiques et émotionnels de la chimiothérapie pour donner cet exemple.

A natural compound found in mushrooms may hold the key to a new class of cancer drugs. In Tiger Milk mushrooms from Africa, Dr Wong Ka-hing, Associate Director of the Food Safety and Technology Research Centre, has discovered a polysaccharide-protein complex (PSP) which can turn selenium, a common nutrient, into new cancer therapy to benefit millions of breast cancer patients around the world.

Une molécule naturelle trouvée dans les champignons peut être le secret pour une nouvelle classe de médicaments. Dans les champignons lait de tigres, le chercheur Wong Ka-hing a trouvé un complexe de protéines polysaccharides qui peut changer le sélenium, un nutriment commun, en nouvelle thérapie contre le cancer qui pourrait bénéficier aux porteuses de cancer du à travers le monde.

Selenium is a trace mineral essential for good health. Health benefits include boosting immune systems against viral infections. Staple foods and vegetables in our diet such as rice, wheat, potatoes, broccolis and onions are great sources of antioxidant. In nano-size, selenium was found to have potent anti-cancer effect in the laboratory. However, efficacy diminished as the nanoparticles fell back into bigger aggregates which suppressed the up-take into cancer cells. Finding new ways or compounds to halt the rebinding process is harder than it seems. Literally, it is quite like searching for a needle in a haystack.

The use of mushroom PSP as stabilizing force is a significant breakthrough. Combined with cutting-edge nanotechnology, Dr Wong and his team successfully made selenium nanoparticles to destroy breast cancer cells. "Lab-test results were exciting. Our selenium nanoparticles were found to have remarkable inhibition effect on the growth of human breast cancer cells by triggering the cells into self-destruction. The next stage will be tests on animals," Dr Wong said.

Les résultats en laboratoire sont excitants. Nos nanoparticules au sélénium ont un effet remarquable d'inhibition sur la croissance des cellules humaines de cancer du sein en les amenant à l'auto-destruction. La prochaine étape sera d'essayer sur des animaux.

The research is still in a very early phase. But if successful, it could lead to a new drug much less toxic and more reliable, capable of killing cancer cells while leaving healthy tissues unharmed, which could mean fewer agonizing side-effects, greater comfort and better chances of recovery. Dr Wong also planned on developing a dietary supplement as auxiliary cancer treatments.

Scientists around the world have been looking into the therapeutic value of produces such as fish oil, broccoli, cauliflower, cabbage, and green tea. For safe human consumption, a natural ingredient must be effective against cancer in low concentration. Dr Wong's work has advanced medicine with a working tool for boosting the effectiveness of natural cancer killing compounds.

"Mushroom PSP has striking effects on controlling selenium nanoparticles," Dr. Wong added, "and a better understanding of this mechanism may help us find the next suitable compounds and make better nano-medicines for a whole host of cancers." Tiger Milk, similar to Chinese mushrooms we have in dishes and soups mushroom, is a common foodstuff in Africa, and the groundbreaking biomedical research opens door to making cancer drug from 100% natural ingredients. The drug development process is equally natural and green because all it takes are room temperature and water, which is little waste and without much power consumption.

Holding new promise for beating cancer, this research has won Dr Wong the Young Investigator Award at the 2011 International Conference of Food Factors and the Gold Medal in 40th International Exhibition of Inventions of Geneva

Grâce à leurs polysaccharides, certains champignons (notamment le shiitake, le champignon de Paris, le portobellos et le pleurote), stimulent le système immunitaire en augmentant le nombre de globules blancs dans le sang, ce qui empêche les tumeurs naissantes de devenir cancéreuses. Ils peuvent ainsi réduire jusqu’à 50% le risque de cancer de l’estomac. Le pleurote s’attaque en prime au cancer du . En faisant baisser les niveaux d’œstrogènes associés aux cancers hormonodépendants, le champignon de Paris agit de son côté contre le cancer du . 100g par jour sont essentiels pour profiter de leurs bienfaits.

En s’inspirant de la pharmacopée traditionnelle asiatique, des chercheurs européens s’intéressent aux bienfaits de la mycothérapie.

«Les vertus des champignons médicinaux sont malheureusement peu connues en Europe», déplore Thomas Falzone, président de la Société suisse pour les champignons vitaux (GFVS). Le vieux continent a découvert très tôt les propriétés thérapeutiques de ces organismes qui, ni plantes ni animaux, forment un règne à part du vivant, mais il les a ensuite négligées. Des savoirs provenant d’Asie pourraient rouvrir aujourd’hui la voie à l’utilisation médicale des champignons sous nos longitudes.

«En Chine, la connaissance des vertus thérapeutiques des champignons est ancrée dans la culture», explique Thomas Falzone. Leur utilisation remonte à plus de deux millénaires. Et, depuis environ quarante ans, des scientifiques de Chine, du Japon et de Corée du Sud étudient leurs propriétés pharmacologiques, notamment dans la prévoyance et le traitement complémentaire du diabète ainsi que dans le cadre de traitements modernes contre les tumeurs. Le lentinane, par exemple, substance tirée du shiitaké, est l’un des dix médicaments les plus utilisés au Japon dans les thérapies anticancéreuses, explique Reinhard Saller, directeur de l’Institut de médecine naturelle de l’Hôpital universitaire de Zurich, en Suisse.

«Ces substances soutiennent le système immunitaire et peuvent ainsi restreindre la croissance de tumeurs et de métastases», précise Reinhard Saller. Dans le cadre d’études cliniques, des cohortes de patients ayant reçu des extraits de champignons ont survécu nettement plus longtemps sans rechute ni métastases.

Le Coriolus versicolor au secours des hommes
23:18 lun 30 mai 2011


La recherche annonce une avancée capitale en matière de lutte contre le cancer de la , une bonne nouvelle qui rassure.

Une équipe de Chercheurs australiens du Queensland University Technology vient d'annoncer les conclusions de son dernier travail qui portait sur des cellules souches incriminées dans la progression du cancer, et plus particulièrement le cancer de la prostate. Or, grâce à un champignon, le Coriolus versicolor, dont a été tiré un polysaccharopeptide, les scientifiques ont pu altérer le pouvoir des cellules souches à développer des tumeurs.

Ainsi, et pour confirmer les tests in vitro, des souris saines ont vu leur ADN modifié en laboratoire afin que leur organisme développe un cancer de la prostate.

Toutes les souris ayant reçu quotidiennement un dosage précis de polysaccharopeptide n'ont pas développé de cancer prostatique. Et la satisfaction des Chercheurs a été décuplée lorsqu'ils ont constaté qu'aucun effet secondaire n'était à déplorer chez les souris traitées. Heureuse issue.

Fort de leurs recherches, les scientifiques sont persuadés que le polysaccharopeptide tiré du champignon Coriolus Versicolor a un rôle fondamental à jouer dans la prévention de ce type de cancer responsable du décès de nombreux hommes dans le monde entier.

A l'heure actuelle, certains malades atteints d'un cancer de l'estomac et d'autres d'un cancer colorectal sont traités par polysaccharide-K, une substance extraite d'un champignon. Grâce à ce traitement, leur durée de vie s'en trouve prolongée.

Les recherches ne vont pas s'arrêter en si bon chemin, le champignon semblant être efficace dans la lutte contre certaines tumeurs cancéreuses. La bataille champignon contre cancer ne fait que commencer.

(May 22, 2011) — A mushroom used in Asia for its medicinal benefits has been found to be 100 per cent effective in suppressing prostate tumour development in mice during early trials, new Queensland University of Technology (QUT) research shows.

Un champignon utilisé en Asie pour ses propriétés médicinales montre 100% d'efficacité pour ce qui est de la suppression des tumeur de la prostate chez les souris pendant des essais.

The compound, polysaccharopeptide (PSP), which is extracted from the 'turkey tail' mushroom, was found to target prostate cancer stem cells and suppress tumour formation in mice, according to an article written by senior research fellow Dr Patrick Ling in the online journal PLoS ONE, published by the Public Library of Science.

La molécule polysaccharopeptide (PSP) qui est extraite du champignon "queue de dinde" cible les cellules souches du cancer de la et supprime les tumeurs en formation chez les souris selon un article écrit par le docteur Patrick Ling.

Dr Ling, from the Australian Prostate Cancer Research Centre-Queensland and Institute for Biomedical Health & Innovation (IHBI) at QUT, said the results could be an important step towards fighting a disease that kills 3,000 Australian men a year.

Ces résultats pourrait représenter un pas important vers une thérapie qui combatterait un cancer qui tue 3000 Australiens par année.

"The findings are quite significant," Dr Ling said.

"What we wanted to demonstrate was whether that compound could stop the development of prostate tumours in the first place.

Nous voulions savoir si la molécule pouvait arrêter le développement des tumeurs.

"In the past, other inhibitors tested in research trials have been shown to be up to 70 per cent effective, but we're seeing 100 per cent of this tumour prevented from developing with PSP.

"Importantly, we did not see any side effects from the treatment."

Nous n'avons pas vu d'effets secondaires.

Dr Ling said conventional therapies were only effective in targeting certain cancer cells, not cancer stem cells, which initiated cancer and caused the disease to progress.

Les thérapies conventionnelles ne sont pas efficaces contre les cellules souches.

During the research trial, which was done in collaboration with The University of Hong Kong and Provital Pty Ltd, transgenic mice that developed prostate tumours were fed PSP for 20 weeks.

Les souris manipulées pour développés des tumeurs de la prostate ont été nourri 20 semaines avec le PSP

Dr Ling said no tumours were found in any of the mice fed PSP, whereas mice not given the treatment developed prostate tumours. He said the research suggested that PSP treatment could completely inhibit prostate tumour formation.

Les souris n'ont pas développé de tumeurs comme si elles n'avaient pas reçu le traitement pour développer les tumeurs prostatiques. La recherche suggère donc que le traitement au PSP pourrait inhiber complètement la formation des tumeurs de la prostate.


"Our findings support that PSP may be a potent preventative agent against prostate cancer, possibly through targeting of the prostate cancer stem cell population," he said.

He said PSP had been previously shown to possess anti-cancer properties, and 'turkey tail' mushrooms (known as Coriolus versicolor or Yun-zhi) had been widely used in Asia for medicinal benefits.

However, Dr Ling said it was the first time it had been demonstrated that PSP had anti-cancer stem cell effects.

Although 'turkey tail' mushrooms had valuable health properties, Dr Ling said it would not be possible to get the same benefit his research showed from simply eating them.

A fundraiser has been organised in September to support further tests for the therapeutic potential of PSP against prostate tumours either alone or in combination with other anti-cancer compounds.

On lève des fonds pour continuer cette recherche.

Des scientifiques sud-coréens ont annoncé ce mardi avoir découvert un champignon qui peut inhiber la propagation et la métastase du cancer et qui pourrait être développé comme une nouvelle méthode de traitement des maladies potentiellement mortelles.


L’équipe, dirigée par Ahn Jong-seong, un chercheur de l’Institut coréen de recherche en sciences biologiques et biotechnologiques (KRIBB), a déclaré avoir isolé du terroir local le «fusarisetin A», métabolite fongique, qui a présenté des caractéristiques anticancéreuses lors de tests réalisés en laboratoire.


Les dernières découvertes, publiées dans le dernier numéro de la revue scientifique américaine «Journal of the American Chemical Society», ont avancé que le champignon fusarisetin n’est pas toxique pour les cellules ordinaires et empêche la propagation du cancer.



«Le cancer tue en général car il se propage à travers tout le corps, mais la nouvelle substance a montré un espoir dans l’inhibition de tels développements», a expliqué Ahn.


Il a noté que, avec plus de recherches, le fusarisetin pourrait être développé comme un médicament contre les cancers et utilisé pour déterminer la raison de la croissance des cellules tumorales dans le corps.

Six years ago, Japanese scientists discovered that rasfonin, a compound isolated from a fungus, selectively destroys ras-dependent cells. Normal cells were not harmed.

Voici 6 ans, des scientifiques japonais ont découvert que la rasfonine, un composé isolé d'un champignon détruit sélectivement des cellules cancéreuses dépendantes de Ras. Les cellules normales ne sont pas affectées par cette molécule.

With the prospect that rasfonin could lead to a new family of anti-cancer drugs, scientists began searching for a way to make enough rasfonin for tests.

Scientists now are reporting development of that simpler method in a report scheduled for the Aug. 23 issue of the Journal of the American Chemical Society.

Robert K. Boeckman Jr. and colleagues explain that the only existing synthesis was complicated and not easily adapted for producing larger amounts of rasfonin. Their method involves only 16 steps (compared to 23 in the previous method) and produces 67 percent more rasfonin.

Les champignons offrent une protection contre le cancer du sein et le cancer de la prostate. Les nutriments trouvés dans les champignons blancs sont capable de supprimer l'aromatase, l'enzyme responsable pour la synthèse de l'oestrogène, ce qui est important pour éviter le cancer du sein

Ces champignons "white button" suppriment aussi le stéroïde 5 alpha-réductase qui est l'ensyme qui convertit la testéstérone en dihydrostérone, DHT, qui peut ocnduire au cancer de la prostate. Il semble aussi que ces champignons ralentissent la perte des cheveux