Liens vers d'autres sites sur le cancer

Dans un article, je découvre un site très intéressant qui recense les essais cliniques sur le cancer fait en France et par cancer. On constate qu'il y a plus de médicaments qui sont essayés que ceux qu'on connait en fait :

Citation :

Le Registre des essais cliniques, consultable en ligne par répartition anatomique (bit.ly/GS1tAN) recense à ce jour plus de 1.370 essais et reçoit entre 150.000 et 200.000 visites d'internautes par mois. On y relevait, vendredi, 66 essais sur l'appareil respiratoire, 64 pour le côlon-rectum et 90 pour le cancer du sein.

à consulter

Mélanome, cancer du sein, cancer du pancréas, hémopathies malignes… tous ces cancers ont connu durant les deux à trois dernières années d’importants progrès. A l’origine de ces avancées, la recherche avance sur plusieurs fronts. Ces progrès s’appuient ainsi sur une meilleure compréhension de la cellule tumorale, grâce à l’avènement de nouvelles technologies d’étude du vivant (génomique, protéomique, imagerie médicale, bioinformatique…). De plus, les stratégies pour vaincre le cancer se diversifient : d’un côté, la chimiothérapie, la radiothérapie et la chirurgie sont de plus en plus performantes ; de l’autre apparaissent de nouvelles approches comme les thérapies ciblées, l’immunothérapie (vaccins curatifs…). Cet élargissement de l’arsenal anti-cancer offre la possibilité de s’attaquer à cette maladie sur plusieurs fronts.

Le colloque de la recherche de la Ligue nationale contre le cancer témoigne de la richesse des pistes aujourd’hui explorée pour lutter contre ce fléau. Il est diffusé en direct sur le site de la Ligue à l’adresse : www.ligue-cancer.tv/live/.

Organisation non-gouvernementale indépendante, l’action de la Ligue nationale contre le cancer repose sur la générosité du public et sur l’engagement de plus de 727 000 adhérents et 12 000 bénévoles réguliers. Avec 103 comités départementaux, elle lutte contre le cancer à travers trois priorités : la recherche pour guérir, prévenir et protéger, accompagner pour aider. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site www.ligue-cancer.net

Denis a écrit:

L'information sur le cancer à Lyon avec des adresses physiques :

http://www.kiosque-info-cancer-lyon.org/index.php

Merci! je conserve soigneusement.

L'information sur le cancer à Lyon avec des adresses physiques :

http://www.kiosque-info-cancer-lyon.org/index.php

Le portail des données du cancer, mesure phare et action 6.2 du Plan cancer 2009-2013, permet un accès direct, simple et dynamique aux principaux indicateurs sur le cancer et la cancérologie.
Il s'appuie sur les travaux de l'INCa et de ses partenaires producteurs de données, institutionnels et associatifs.

Ce portail constitue un outil pour améliorer le partage et la diffusion, et valoriser les informations relatives au cancer.
Il est accessible via l'onglet « Les données » sur le site de l'INCa (www.e-cancer.fr) ou directement à l'adresse http://lesdonnees.e-cancer.fr.
Le portail des données s'adresse à un public très large : ministères, acteurs de la recherche ou de la santé publique, professionnels assurant la prise en charge des personnes pendant et après leur cancer, médias et également grand public.

Les informations mises à disposition sur le portail, validées par les producteurs de données, présentent une vision transversale du cancer et de la cancérologie, en traitant de l'épidémiologie, des facteurs de risques, des dépistages, des soins, de la prise en charge du patient, en attachant une attention particulière à la vie après le cancer et de la recherche.
Ces indicateurs sont regroupés dans des fiches de synthèse, elles-mêmes rassemblées dans des thématiques et des sous-thématiques, afin de faciliter la recherche et la lisibilité de ces informations pour l'internaute.

Une base de données des projets de recherche donne accès aux projets ayant reçu un financement de la part du ministère de la santé (Direction générale de l'offre de soins - DGOS) et de l'Institut National du Cancer.
Cette base permet de rechercher les projets par type de cancer, par type de recherche, mais aussi par nom de l'investigateur principal et l'institut-centre de recherche.

Afin de faciliter la navigation, les indicateurs et les fiches de synthèse sont identifiés par des mots-clés et proposent des liens vers des ressources complémentaires (fiches de synthèse, sites des producteurs de données, rapports ...).
Il est ainsi possible d'accéder à ces informations soit à partir des thématiques, soit par l'utilisation de moteurs de recherche multicritères et interactifs.
De la même façon, les projets de recherche sont accessibles via leur propre moteur de recherche.

Enfin, un lexique, des aides, les méthodes et les sources à l'origine des indicateurs sont proposés.

L'actualisation permanente du portail des données permet de suivre les évolutions dans les domaines du cancer et de la cancérologie.
Parallèlement, « La situation du cancer en France » (action 6.1 du Plan cancer) propose une synthèse annuelle des principaux indicateurs présentés sur le portail.
La quatrième édition de ce rapport vient d'être publiée concomitamment à l'ouverture du portail.

Voici un site qui vient d'ouvrir et qui donne une idée de la fréquentation des urgences des hopitaux au Québec. Je me suis inscrit, je vais peut-être lui trouver une utilité plus grande comme l'accessibilité à des informations par un médecin...

Trouver un médecin à ceux qui n'en ont pas et désengorger les urgences québécoises: la tâche que s'est fixée Hanna Nicolas est grande. Mais le jeune docteur ne doute pas que sa plate-forme Elodoc, mise en ligne la semaine dernière, permettra d'atténuer les maux du système médical québécois.

«Le but est vraiment d'informer les patients sur leurs problèmes de santé, de diminuer le temps d'attente dans les urgences et d'aider les gens à trouver des médecins», dit le jeune homme âgé de 28 ans, qui est coordonnateur médical pour la région de Laval et qui travaille aux urgences à la Polyclinique Concorde Laval.

C'est dans l'exercice de sa profession que le Dr Nicolas a constaté que les urgences accueillaient surtout des patients qui pourraient éviter de s'y rendre. «Le problème principal que je rencontre, ce sont des gens qui ont besoin d'être rassurés par rapport à leurs problèmes de santé», explique-t-il.

Ainsi est né elodoc.com, un portail qui souhaite fournir en 24 heures des réponses de médecins aux internautes et aider ces derniers à trouver, près de chez eux, un médecin de famille. Le site offre aussi un panorama des temps d'attente pour les urgences et les chirurgies. «Ces informations sont disponibles sur le site du ministère de la Santé, mais elles sont très difficiles à trouver, indique le Dr Nicolas. Ce que je fais, c'est offrir des liens.»


Une telle plate-forme pourrait être une initiative gouvernementale, croit le médecin. «C'est clair. Le défaut du gouvernement, c'est qu'il y a plusieurs paliers de fonctionnaires à passer avant d'arriver à une idée. Moi, je suis seul, et je n'ai pas à passer par des fonctionnaires qui vont me dire quoi faire. Je fais ce qu'il me semble le plus raisonnable ou le plus intelligent par rapport au système qu'on m'a présenté», poursuit-il.

Lacunes

Le système de santé québécois souffre de graves lacunes, selon lui. «Qu'on en soit rendus là au Québec, c'est la faute de ce qu'il s'est passé en 1995 avec le gouvernement de Lucien Bouchard [et des médecins qui n'ont pas été remplacés, ndlr]. Mais je pense qu'une plate-forme comme celle-là va aider le système québécois d'une belle manière.»

Le site elodoc.com devrait gagner en popularité, espère le Dr Nicolas qui n'a pourtant pas l'ambition que l'internet se substitue à un médecin de famille en chair et en os. «Au contraire. Le but est de rendre le médecin de famille encore plus présent auprès de la population en général», précise-t-il.

Des intentions qui ne semblent pas convaincre le ministre de la Santé, Yves Bolduc, qui a jugé lundi qu'Elodoc aurait un effet «nul» sur l'achalandage aux urgences. «Les gens qui attendent sur les civières à l'urgence sont très malades. Le site ne les aidera pas. C'est bien de pouvoir obtenir de l'information sur la santé. Mais il y a déjà des sites qui font ça et Info-Santé», a-t-il dit.

La Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) a pris connaissance du projet, mais émet des réserves à son égard.



www.elodoc.com

Internet regorge d’informations sur le cancer, mais pas évident de faire le tri et d’y voir clair. Afin d’assurer une communication scientifique efficace et fiable autour de la maladie, le projet EUROCANCERCOMS (« Establishing an efficient network for cancer communication in Europe »), porté par 18 partenaires européens et financé par l’UE, a mis au point le site ecancerHub.

Sur le modèle d’un réseau social, il réunit des informations provenant de grandes organisations européennes spécialisées dans le cancer. Patients, familles, professionnels de santé, chercheurs et décideurs disposent ainsi désormais d’une plateforme unique pour s’informer et interagir.

Le projet s’appuie sur les recherches de Rachel Warden, de l’université de Nottingham au Royaume-Uni : elle a analysé comment Internet a révolutionné la communication pour les chercheurs spécialisés dans le cancer et comment il pourrait la faire avancer encore.

Un tel mode de communication pourrait à l’avenir être appliqué à d’autres domaines de la santé.




[05.08.11]


http://www.ecancerhub.eu/collContent.aspx?id=1


J'ai été mettre une pub pour "Espoirs" sur ce site, je ne sais pas si ça va améliorer la fréquentation.

Un site sur le cancer du sein HER2 + :


http://isabelledelyon.canalblog.com/

Je viens de trouver un site qui m'a l'air super bien fait. Ça s'appelle oncoprof.net et je cherchais quelque chose en fait sur la psychologie par rapport au cancer et sur ce site c'est très bien exprimé je trouve,. Ça parle des réactions des personnes atteintes du cancer mais aussi de celles des soignants:


http://www.oncoprof.net/Generale2000/g13_Psychologie/g13_ps01.php

Pour vous donner le goût :

Un site pour chercher des essais de médicaments sur le cancer :


http://ancelot.gapi.fr/RECHERCHE_CLINIQUE/essaisclinFront/Liste.php?etabliss=Baclesse&essaitype=Ouvert

http://www.apic-cancer.com/

C'est un groupe de réflexion sur le cancer issus de compétence diverses
APIC :Association sur la prévention des cancers

Un annuaire de différents sites français :


http://www.annuaire-cancer.com/liens_assos_cancer_france.php

Ce site est un dictionnaire des médicaments en anglais.


http://arizonaoncology.com/drug-dictionary/category/A/

Quand les internautes jouent au docteur


De Véronique MARTINACHE (AFP) – Il y a 1 jour
PARIS — Des portails les plus généralistes aux forums d'échange entre internautes, en passant par toute la gamme des sites santé spécialisés, le web offre mille possibilités de "jouer au docteur".
Laboratoires, maisons d'édition, associations, sociétés savantes, agences sanitaires... les sources d'information en ligne se multiplient.
Deux exemples de petits nouveaux sur la toile: www.mesgrainsdebeaute.fr, lancé par un laboratoire à l'occasion de la journée de prévention des cancers de la peau, ou La Maison du cancer (www.la-maison-du-cancer.com), site créé par deux journalistes et dont l'acteur Bernard Giraudeau s'est fait le porte-voix.
Certains, comme Orphanet (www.orpha.net) sur les maladies rares, sont de véritables bases de données. D'autres utilisent animations et vidéos pour vulgariser biologie et anatomie (www.santepratique.fr).
L'internaute a l'embarras du choix... mais comment choisit-il ? Une enquête réalisée par le Groupe d'étude et de recherche marketing et santé (Germs) de l'Université Pierre et Marie Curie montre un décalage entre les professionnels de santé et le grand public.
Médecins et pharmaciens utilisent des sites professionnels ou institutionnels. Le grand public passe majoritairement (plus des deux tiers des internautes) par un moteur de recherche, comme Google, et privilégie les sites de vulgarisation.
Peu de sites sont connus du grand public, à l'exception de Doctissimo.
Globalement, les personnes interrogées accordent "une confiance moyenne" à l'information santé qu'ils trouvent sur internet, quel que soit le site fréquenté.
"Ce qui fait rester sur un site, c'est son attrait plus que tout autre chose, c'est-à-dire son apparence, plus que la qualité de l'information, plus que le fait qu'il soit certifié, et même plus que la confiance que l'on peut lui accorder", explique à l'AFP Déborah Wallet-Wodka qui a dirigé l'étude.
Une majorité d'internautes ne connaît d'ailleurs pas le label HON (Health On the Net) qui garantit de bonnes pratiques éditoriales.
Quelque 900 sites internet français dédiés à la santé ont été à ce jour labellisés par la Fondation HON, organisme certificateur suisse agréé par la Haute autorité de santé (HAS), selon l'Association Qualité Internet Santé (Aqis).
Pour bénéficier de ce label, le site doit notamment indiquer la qualification des rédacteurs (médecins, journalistes....) et préciser que l'information fournie ne remplace pas la relation patient-médecin. La source des informations publiées doit être citée et les pages datées, toute affirmation sur les bienfaits ou inconvénients de produits ou traitements doit être justifiée.
"Souvent la recherche d'informations sur internet est plutôt cachée, les patients ne le disent pas de premier abord lors de la consultation", indique Erik Bernard, jeune médecin de l'ouest parisien, auteur d'une thèse sur internet et les médecins.
"Ca peut aussi arranger le médecin de ne pas poser la question, de ne pas se sentir confronté aux connaissances que pourrait avoir le patient", ajoute-t-il.
Il estime cependant que "c'est toujours intéressant de reprendre ce que les patients ont retenu, parce qu'il y a souvent des choses comprises de travers ou complètement fausses qui ont été lues".
Les internautes cherchent, dans l'ordre, des informations sur une maladie ou un symptôme, le médicament arrivant en 3e position, selon le Germs.
Sur le site EurekaSante.fr, lancé l'année dernière par Vidal, référence en matière de médicaments, "deux tiers du trafic" concernent la recherche d'informations sur les médicaments, indique Stéphane Korsia-Meffre, directeur du pôle grand public. "Plutôt des médicaments sur ordonnance", soit après une consultation, soit dans une démarche d'automédication avec des produits restant dans l'armoire à pharmacie. Néanmoins, "une bonne partie du trafic est très liée aux campagnes de publicité pour les médicaments sans ordonnance", ajoute-t-il.
Reste que la santé arrive "en avant-dernière position des centres d'intérêt en ligne", selon l'étude du Germs, après l'administratif, les voyages, les loisirs, la musique, mais avant les chats. L'internaute type qui fréquente les sites santé est la jeune femme, urbaine, de catégorie socio-professionnelle supérieure.

merci denis !

http://forums.france2.fr/france2/Le-cancer-sort-de-l-ombre/liste_sujet-1.htm

source d'informations sur tout ce qui touche la santé

Je mets ici une liste de sites que je regarde assez régulièrement pour trouver les articles sur les nouveautés de la recherche. Il peut y en avoir d'autres...

http://www.thecancerblog.com/
http://www.e-sante.fr/
http://mesnouvelles.branchez-vous.com/communiques/cnw/BIO/2005/10/index.html
http://www.lorusthera.com/
http://www.nature.com/onc/index.html
http://www.medicms.be/032005index.html
http://aeterna.com/fr/page.php?p=30
http://www.cancer.gov/

Je mets un lien sur site qui parle du traitement du myélome multiple parce qu'il me semble bien résumer la situation et les traitements.

Citation :

Parce qu'on ne peut pas guérir le myélome, de nouvelles thérapies prometteuses, qui pourraient allonger l'espérance de vie et permettre de trouver un traitement pour guérir le myélome, sont actuellement à l'étude dans des essais cliniques. Parlez à votre médecin, non seulement des traitements ci-dessous, mais aussi des nouvelles chimiothérapies qui pourraient convenir à votre cas.

Citation :

Chimiothérapie
La chimiothérapie, ou traitement par les médicaments, consiste en des médicaments qui tuent les cellules myélomateuses dans l'ensemble de l'organisme.

Les médicaments peuvent être administrés sous forme d'injection, par l'intermédiaire d'un tube IV ou oralement
Plusieurs chimiothérapies sont souvent combinées entre elles ou à des séances de radiothérapie, à des greffes de cellules souches ou à des glucocorticoïdes (la prédnisone ou la dexaméthasone)
Parmi les chimiothérapies courantes utilisées pour le traitement du myélome, on peut citer: le melphalan, la vincristine, l'Adriamycin, la carmustine et la cyclophosphamide
Les traitements comportent plusieurs cycles dont chacun dure généralement de 3 à 4 semaines, en alternant les périodes de traitement et les périodes de repos

source

C'est un journal mensuel (et un site) qui me semble fort bien fait sur le cancer du cerveau. Il répertorie de mois en mois où en sont les essais avec les nouveaux médicaments et parle aussi des médicaments existants.






http://gfme.free.fr/bulletin6.html

Ce site est compliqué et technique. J'ai démissionné après 5 minutes.

Je mets cette référence d'un site qui peut peut-être être utile mais je dois avouer qu'il me semble assez compliqué. Il semble évalué les produits utilisés pour combattre le cancer colorectal.


Produits efficaces en prévention du cancer colorectal
Revue systématique des données expérimentales (humains, rats, souris)
http://www.inra.fr/reseau-nacre/sci-memb/corpet/indexfr.html

! Merci pour les liens Fredéric en effet c'est beaucoup de travail.
Bonne continuation a vous. Je vais aussi faire mes contrôles le mois prochain. Touchons du bois

Voici une adresse ou sont listé les médicaments pour le cancer avec leur descriptions et leurs effets secondaires.

http://www.doctissimo.fr/traitements-CANCER.htm

Je sais que tu l'apprécie Denis. Tu connais la somme de travail que cela représente. Visiter le site pour l'évaluer et mettre ça sur le forum etc...

J'espères que les membres, ou non-membres, auront plus de facilité à s'informer grâce à ce genre de travail. Profitez-en chers amis.