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 Efforts pour vaincre le mélanome.

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Denis
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MessageSujet: Re: Efforts pour vaincre le mélanome.   Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 Icon_minitimeMar 16 Avr 2013 - 2:20

Mar. 21, 2013 — A new study of genetically modified immune cells by scientists from UCLA and the California Institute of Technology could help improve a promising treatment for melanoma, an often fatal form of skin cancer.

The research, which appears March 21 in the advance online edition of the journal Cancer Discovery, was led by James Heath, a member of UCLA's Eli and Edythe Broad Center for Regenerative Medicine and Stem Cell Research and UCLA's Jonsson Comprehensive Cancer Center. Heath is a professor of molecular and medical pharmacology at UCLA and also holds the Elizabeth W. Gilloon Chair in Chemistry at Caltech.

The melanoma treatment uses T cells -- immune cells that play a major role in fighting infection -- taken from patients with melanoma. The cells are then genetically modified in the laboratory so that when they are reintroduced into a patient's bloodstream, they specifically attack melanoma tumors. In early clinical trials, this treatment was shown to shrink tumors dramatically in many patients, but the positive effects were often short-lived.

The UCLA and Caltech researchers found that after the engineered T cells were returned to patients, their efficacy faded within two to three weeks. Surprisingly, however, once the engineered cells were no longer effective, a new group of non-engineered T cells arose that had a similar tumor-killing effect that lasted even longer, the scientists discovered.

Using newly developed nanotechnology chips to perform multidimensional and multiplexed immune-monitoring assays, the researchers were able to examine at high resolution single engineered T cells taken at different times from patients undergoing the therapy, each of whom had a different level of response to the treatment.

"The engineered T cells did not recover their tumor-killing effect," Heath said, "but after one month, another group of T cells appeared that did have tumor-killing effects for another 90 days. Those were not the genetically engineered T cells, and they appeared to be a byproduct of a process called 'antigen spreading' by the original engineered cells. After 90 days, those cells lost their tumor-killing ability as well."

Antigen spreading is a process by which a T cell that has been engineered to attack a particular tumor expands its immune response to other T cells in the body, which then attack the same tumor but are focused on different antigens. (Antigens are substances that trigger a response by the body's immune system.) Scientists may be able to use this process, Heath stressed, to improve T cell-based treatments for melanoma.

"Our results have led us to possible ways to improve the T cell therapy to extend its positive effect," Heath said. "We need to incorporate strategies that maintain the functional properties of the engineered T cells used for therapy. This might include modifying how we grow the T cells in the laboratory to make their tumor-killing effect last longer or make them resistant to the effects of the patient's T cells as they recover from pretreatment chemotherapy conditioning and possibly increase the antigen spreading of anti-tumor T cells."

UCLA professor of medicine Dr. Antoni Ribas was one of Heath's key collaborators on the research.

"One of the possible approaches to resolve the problem identified by this study is to use engineered blood stem cells -- instead of the peripheral blood used in the original trials -- with this therapy in the hope that the engineered blood stem cells will provide a renewable source of engineered T cells," said Ribas, a member of UCLA's Broad Stem Cell Research Center and Jonsson Cancer Center.

Caltech's Chao Ma, the study's first author, said the findings and the use of the new nanotechnology assay process hold promise for treatments of other disease as well.

"This study points to the value of these single-cell functional analyses for probing the successes and failures of a sophisticated immunotherapy," he said. "I am excited to see its use as a monitoring tool to understand a spectrum of other cellular immunotherapies in the near future."

This research was funded by the National Cancer Institute, the Jean Perkins Foundation, The California Institute for Regenerative Medicine, UCLA's Broad Stem Cell Research Center, the Seaver Institute, the PhaseOne Foundation, the Garcia-Corsini Family Fund, the Caltech/UCLA Joint Center for Translational Medicine, the Melanoma Research Alliance, a Rosen Fellowship and UCLA's Jonsson Comprehensive Cancer Center.

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Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 307276

21 mars 2013 - Une nouvelle étude de cellules immunitaires génétiquement modifiés par des scientifiques de l'UCLA et de l'Institut de Technologie de Californie pourrait contribuer à améliorer un traitement prometteur pour le mélanome.

La recherche, qui apparaît le 21 mars 2013 sur l'édition avancée en ligne de la revue Cancer Discovery, a été dirigée par James Heath. Heath est professeur de pharmacologie moléculaire et médicale.

Le traitement du mélanome utilise des cellules T - Les cellules immunitaires qui jouent un rôle majeur dans la lutte contre l'infection - Prélevés sur des patients atteints de mélanome. Les cellules sont ensuite génétiquement modifiées en laboratoire afin que, quand elles sont réintroduites dans la circulation sanguine d'un patient, elles s'attaquent spécifiquement aux tumeurs du mélanome. Dans les premiers essais cliniques, ce traitement a montré sa capacité à réduire les tumeurs de façon spectaculaire chez de nombreux patients, mais les effets positifs sont souvent de courte durée.

Les chercheurs de l'UCLA et Caltech ont constaté qu'après que les cellules modifiées T ont été retournés aux patients, leur efficacité disparait dans les deux à trois semaines. Chose étonnante, cependant, une fois que les cellules modifiées ne sont plus efficaces, un nouveau groupe de cellules T non artificielles surgit qui a un effet semblable qui dure encore plus longtemps.

Avec l'utilisation de puces nanotechnologiques récemment mis au point pour effectuer la surveillance des essais, les chercheurs ont pu examiner, à haute résolution, des cellules T prises à différents moments dans des patients subissant la thérapie, chacun d'entre elles à un niveau différent de la réponse au traitement .

"Les cellules T n'ont pas récupéré leur effet de tueuses de tumeurs" a dit Heath, "mais après un mois, un autre groupe de cellules T est apparu pendant encore 90 jours. Ce ne sont pas les cellules génétiquement modifiées initiales, et elles semblaient être un sous-produit d'un processus appelé «antigène de diffusion» par les cellules d'ingénérie d'origine. Après 90 jours, les cellules ont perdu leur capacité de tuer la tumeur aussi. "

La diffusion d'antigène est un processus par lequel une cellule T qui a été conçue pour attaquer une tumeur particulière élargit sa réponse immunitaire à d'autres cellules T dans le corps, qui attaquent ensuite la même tumeur, mais se concentrent sur différents antigènes. (Les antigènes sont des substances qui déclenchent une réponse par le système immunitaire de l'organisme.) Les scientifiques pensent être en mesure d'utiliser ce processus pour améliorer les traitements à base de cellules T du mélanome.

«Nos résultats nous ont conduit à des moyens d'améliorer la thérapie cellulaire T d'étendre son influence positive," dit Heath. «Nous avons besoin d'intégrer des stratégies qui maintiennent les propriétés fonctionnelles des cellules T pour la thérapie. Cela pourrait inclure modifier comment nous cultivons les cellules T dans le laboratoire pour faire que leur effet de tueuses de tumeurs durent plus longtemps ou de les rendre résistantes aux effets des cellules T du patient lorsque ceux-ci récupérent du prétraitement de chimio et éventuellement augmenter la diffusion de l'antigène des cellules T anti-tumorales. "

"L'une des approches possibles pour résoudre le problème identifié par cette étude est d'utiliser l'ingénierie des cellules souches du sang - au lieu du sang périphérique utilisé dans les essais cliniques initiaux - dans cette thérapie dans l'espoir que les cellules souches du sang d'ingénierie fournira une source renouvelable de cellules T d'ingénierie », a déclaré Ribas, un membre de l'UCLA Broad Stem Cell Research Center et Jonsson Cancer Center.

«Cette étude souligne la valeur de ces analyses mono-cellulaires fonctionnels pour sonder les réussites et les échecs d'une immunothérapie sophistiqué", at-il dit. «Je suis excité de voir son utilisation comme outil de suivi de comprendre un éventail d'autres immunothérapies cellulaires dans un proche avenir."

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Denis
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MessageSujet: Re: Efforts pour vaincre le mélanome.   Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 Icon_minitimeMar 30 Oct 2012 - 13:38

(Oct. 30, 2012) — Blocking the action of a particular protein in our skin could improve the treatment of skin cancers, according to a study recently published in Oncogene by Philippe Roux, a researcher at the University of Montreal's Institute for Research in Immunology and Cancer (IRIC). "Our findings reveal part of the mechanisms responsible for the resistance of melanoma to anti-cancer treatments, and suggest that a particular protein in our bodies called RSK may be targeted in combination therapies to overcome drug resistance," Roux explained.

Bloquer l'action d'une protéine particulière dans notre peau peut améliorer le traitement du cancer de la Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 307276 , selon une étude récente. La découverte révèle une partie du mécanisme responsable de la résistance au mélanome et suggère qu'une protéine particulière de notre corps appelé RSK peut être ciblée comme thérapie adjuvante pour vaincre la résistance aux médicaments.

Although melanoma accounts for only 4% of all skin cancers, it is responsible for 80% of skin cancer-related deaths worldwide as it is highly invasive and resistant to conventional chemotherapies. Melanoma originates from pigment-producing cells, called melanocytes, located in the skin. The incidence of malignant melanoma is growing rapidly worldwide and there is still no effective therapy to treat it. Approximately 160,000 new cases of the disease are diagnosed each year.

Roux and his team focused their research on a signaling pathway called Ras/MAPK, which is often deregulated in melanoma, but also in lung, colon and pancreatic cancers. A signaling pathway is a chemical chain reaction that causes the cells in our bodies to act in a certain way. In this study, Roux and his team found that a protein in the Ras/MAPK pathway, RSK, contributes to chemoresistance by altering the response of cancer cells to chemotherapeutic agents.

Roux a mit l'emphase sur le chemin cellulaire Ras/MAPK qui est souvent dérégulé dans le mélanome Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 307276 mais aussi dans le cancer du Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 307171 , du Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 307141 , du Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 565294389 . Une chemin cellulaire est une chaine de réaction chimique qui fait que les cellules de notre corps agissent d'une certaine façon. Dans cette recherche, Roux a découvert que la protéine RSK dans le chemin cellulalire Ras/MAPK contribue à la résistance en altérant la réponse des cellules cancéreuses aux agents de chimio.

This is the second Oncogene publication for Philippe Roux this year. In a paper published in July, Roux and his colleagues, IRIC Principal Investigators Katherine Borden and Sylvain Meloche, demonstrated that the same protein involved in chemoresistance contributes to melanoma growth, making the protein RSK a promising therapeutic target for treating the disease.

The study was made possible thanks to grants from the Canadian Cancer Society Research Institute and the Cancer Research Society.
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MessageSujet: Re: Efforts pour vaincre le mélanome.   Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 Icon_minitimeJeu 26 Juil 2012 - 8:40

(July 23, 2012) — An international team of scientists led by Gary Goldberg, PhD, of the University of Medicine and Dentistry of New Jersey-School of Osteopathic Medicine (UMDNJ-SOM), has found that a protein from the seeds of a plant used for centuries in traditional medicines may be able to halt the spread of melanoma, a lethal form of skin cancer. The National Cancer Institute estimates that melanoma will cause more than 9,000 deaths in the United States this year. On average, melanoma kills one person nearly every hour in the USA, and many more in other countries.

Une équipe internationale de scientifiques a trouvé une protéine dans les graines d'une plante utilisé en médecine traditionnelle depuis des siècles qui pourrait être capable d'arrêter la propagation du mélanome Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 307276

Previously published research prompted Dr. Goldberg's team to examine a protein extracted from the seeds of a legume tree that is native to parts of Asia. References to this tree being used medicinally can be found in ancient Chinese documents that date back more than 400 years. Dr. Goldberg and his colleagues found that MASL, a specific component found in the plant's seeds, interacts with a receptor called podoplanin (PDPN) that is expressed by many types of cancer cells. This discovery seemed profound as they and other investigators found that the PDPN receptor promotes tumor invasion and metastasis to other parts of the body that are sources of the vast majority of cancer deaths.

L'équipe du docteur Goldberg examine une protéine extraite des graines d'un arbre-légume qui est originaire d'Asie. Les références à cet arbre peuvent être trouvé dans d'anciens documents chinois qui datent de plus de 400 ans. Le docteur a découvert que le MASL, une molécule spécifique des graines de cette plante interagit avec un récepteur appelé podoplanin qui est exprimé par beaucoup de cellules cancéreuses de divers types. Cette découverte semble importante puisque les chercheurs ont découvert que ce récepteur PDPN promeut l'invasion du cancer et des métastases dans les autres parties du corps ce qui est mortel souvent.

"Cells, even when they are cancerous, tend to stay put," Dr. Goldberg explained. "PDPN allows tumor cells to break out of their microenvironment, invade new areas and metastasize. Our laboratory research shows that MASL not only significantly reduces cell migration, it also inhibits cancer cell growth."

"Les cellules, même cancéreuses, tendent à se maintenir"explique le docteur. " PDPN leur permet de s'échapper de leur environnement et d'aller métastaser dans d'autres parties du corps. Notre laboratoire de recherche a montré que MASL réduit significativement la migration des cellules et qu'il inhibe aussi la croissance de celles-ci.

Dr. Goldberg collaborated with other investigators at UMDNJ, Nagoya University, the University of Michigan and GlaxoSmithKline to find that MASL targets the PDPN receptor to inhibit the migration and growth of melanoma cells in cell culture and mouse models. The findings appear in the July 23 edition of PLoS ONE.

Le docteur a collaboré avec d'autres chercheurs pour trouver la cible de MASL, le récepteur PDPN et que ce récepteur une fois bloqué inhibe la croissance et la migration des cellules du mélanome en laboratoire et dans des modèles de souris.

Although these studies focused on melanoma, MASL may also be useful to treat and prevent a variety of other cancers that express PDPN. Dr. Goldberg's group has collaborated with the Developmental Therapeutics Program at the National Cancer Institute of the NIH to find that MASL can effectively suppress the growth of lung, breast, prostate, colon, and brain cancer cells that are often resistant to current therapies.

Même si les études sont faites autour du mélanome, le MASL peut être utile pour traiter ou prévenir une variété d'autres cancers qui exprime PDPN. Le MASL peut efectivement supprimer la croissance du cancer du Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 307171 , du cancer du Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 307163 , du cancer de la Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 307098 , du cancer du Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 307141 et du cancer du Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 307180 des cellules souvent résistantes aux thérapies courantes.

Many anti-cancer drugs cause significant side effects because they indiscriminately kill all dividing cells rather than precisely targeting cancerous ones. Often, these medications need to be given intravenously and many do not work well on specific cancers including malignant melanoma. In contrast, Dr. Goldberg's findings indicate that MASL can be taken orally to effectively combat cancer.

LE MASL peut être pris oralement pour combattre le cancer.

The researchers also found that MASL caused no noticeable side effects at doses necessary to inhibit cancer cell growth and migration. "The absence of any noticeable side effects isn't surprising," Dr. Goldberg said. "For centuries, MASL has been taken as a component in medicinal plant extracts used to treat a variety of ailments including cancer. According to standard traditional protocols, these preparations contain very high doses of MASL, yet we can not find any reports of toxicity from its use."

Il ne cause pas d'effets secondaires aux doses suffisantes pour inhiber la croissance des cellules cancéreuses et leurs migrations. La plante est utilisée depuis des siècles sans qu'il y a it eu de rapport d'intoxication.

Dr. Goldberg and his colleagues have recently founded a company named Sentrimed to develop MASL and other diagnostic and therapeutic agents for animals and humans.

Le docteur a fondé une compagnie
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MessageSujet: Re: Efforts pour vaincre le mélanome.   Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 Icon_minitimeLun 16 Juil 2012 - 19:15

Le remède "Smart Bomb", en phase de test, offre de l'espoir aux malades du cancer.

Des chercheurs américains ont l'espoir de guérir le cancer avec ce nouveau remède testé avec succès sur des souris. Le médicament, du nom de Smart Bomb, permettrait d'éradiquer les cellules cancéreuses dans l'organisme tout en protégeant celles qui sont saines. La bombe intelligente irait donc directement cibler l'origine de la tumeur pour la soigner ! Il s'agit ici d'une lueur d'espoir pour tous les malades. Ce traitement concerne le mélanome. Le nombre de personnes atteintes par ce cancer de la peau est de plus en plus nombreux et la situation en devient alarmante. Heureusement, le combat contre la maladie touche toute la société, et de beaux gestes d'entre-aide sont souvent entrepris.
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MessageSujet: Re: Efforts pour vaincre le mélanome.   Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 Icon_minitimeLun 9 Juil 2012 - 8:58

(July 8, 2012) — Researchers from Brigham and Women's Hospital (BWH) have made a groundbreaking discovery that will shape the future of melanoma therapy. The team, led by Thomas S. Kupper, MD, chair of the BWH Department of Dermatology, and Rahul Purwar, PhD, found that high expression of a cell-signaling molecule, known as interleukin-9, in immune cells inhibits melanoma growth.

Des chercheurs ont fait une découverte importante qui structurera le futur de la thérapie contre le mélanome. Les chercheurs ont trouvé que l'interleukin-9 des cellules immunitaires inhibe la croissance du mélanome.

After observing mice without genes responsible for development of an immune cell called T helper cell 17 (TH17), researchers found that these mice had significant resistance to melanoma tumor growth, suggesting that blockade of the TH17 cell pathway favored tumor inhibition. The researchers also noticed that the mice expressed high amounts of interleukin-9.

Après avoir observé des souris sans le gène responsable pour le développement d'une cellule immunitaire appelé cellule T aidant h17 (TH17), les chercheurs ont découvert que ces souris avaient une résistance assez grande à la croissance de la tumeur du mélanome, cela suggérait que bloquer le TH17 favorisait l'inhibition de la tumeur. Les chercheurs ont noté du même coup que ces souris avaient de grands niveaux d'interleukin-9.

The researchers next treated melanoma-bearing mice with T helper cell 9 (TH9), an immune cell that produces interleukin-9. They saw that these mice also had a profound resistance to melanoma growth. This is the first reported finding showing an anti-tumor effect of TH9 cells.

Les chercheurs ont ensuite traité les souris porteuses de mélanomes avec la cellule T aidant 9 qui produit l'interleukin-9. Ils ont vu que ces souris avaient aussi une profonde résistance à la croissance du mélanome. C'est la première fois qu'on se rendait compte que TH9 avait cet effet anti-tumeur.

Moreover, the researchers were able to detect TH9 cells in both normal human blood and skin, specifically in skin-resident memory T cells and memory T cells in peripheral blood mononuclear cells. In contrast, TH9 cells were either absent or present at very low levels in human melanoma. This new finding paves the way for future studies that will assess the role of interleukin-9 and TH9 cells in human cancer therapy.

De plus, les chercheurs ont constaté que le th9 était soit absent soit présent en très petite quantités dans les mélanomes humains mais présent dans les tissus sains de sang et de peaux. Ces découvertes pavent la voie à de futures études qui testeront le rôle de l'interleukin-9 et de th9 dans une thérapie contre le cancer humain.

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MessageSujet: Re: Efforts pour vaincre le mélanome.   Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 Icon_minitimeMar 10 Jan 2012 - 17:19

(Nov. 28, 2011) — Researchers from UCLA's cancer and stem cell centers have demonstrated for the first time that blood stem cells can be engineered to create cancer-killing T-cells that seek out and attack a human melanoma. The researchers believe the approach could be useful in about 40 percent of Caucasians with this malignancy.

Les chercheurs ont démontré pour la première fois que les cellules souches du sang peuvent être tranformées en cellules T tueuses de cellules cancéreuses qui cherchent et attaquent les cellules du mélanome Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 307276 Les chercheurs croient que cette approche peut être utile dans 40% des cas des caucasiens.

Done in mouse models, the study serves as the first proof-of-principle that blood stem cells, which make every type of cell found in the blood, can be genetically altered in a living organism to create an army of melanoma-fighting T-cells, said Jerome Zack, the study's senior author and a scientist with UCLA's Jonsson Comprehensive Cancer Center and the Eli and Edythe Broad Center of Regenerative Medicine and Stem Cell Research at UCLA.

L'essai a été fait sur des souris et a servi de preuve que chaque cellules souche du sang peut être transformé en un organisme vivant pour créer une armée de cellules T.

"We knew from previous studies that we could generate engineered T-cells. But would they work to fight cancer in a relevant model of human disease, such as melanoma?" asked Zack, a professor of medicine and microbiology, immunology and molecular genetics in the UCLA Life Sciences Division. "We found with this study that they do work in a human model to fight cancer, and it's a pretty exciting finding."

The study appeared Nov. 28 in the early online edition of the peer-reviewed journal Proceedings of the National Academy of Sciences.

Researchers used a T-cell receptor -- cloned by other scientists from a cancer patient -- that seeks out an antigen expressed by a certain type of melanoma. They then genetically engineered the human blood stem-cells by importing genes for the T-cell receptor into the stem cell nucleus using a viral vehicle. The genes integrate with the cell DNA and are permanently incorporated into the blood stem cells, theoretically enabling them to produce melanoma-fighting cells indefinitely and when needed, said Dimitrios N. Vatakis, the study's first author and an assistant researcher in Zack's lab.

Les chercheurs ont utilisé un récepteur de cellule T, cloné à partir d'un patient, ce récepteur cherche un antigène exprimé par un certain type de mélanome. Ils ont ensuite génétiquement tranformer des cellules souches de sang humain, en important des gènes pour le récepteur de T-cell en utilisant un virus comme véhicule. (?...entk...) Les gènes sont intégrés avec l'ADN de la cellule et sont incorporés d'une façon permanente dans les cellules souches, ce qui permet de produire indéfiniment des cellules capables de combattre le mélanome.

"The nice thing about this approach is a few engineered stem cells can turn into an army of T-cells that will respond to the presence of this melanoma antigen," Vatakis said. "These cells can exist in the periphery of the blood, and if they detect the melanoma antigen, they can replicate to fight the cancer."

La bonne chose à propos de cet approche, c'est qu'à partir de quelques cellules souches retravaillées, on peut produire une armée de cellules-T qui va répondre à l aprésence de cet antigène du mélanome.

In the study, the engineered blood stem cells were placed into human thymus tissue that had been implanted in the mice, allowing Zack and his team to study the human immune system reaction to melanoma in a living organism. Over about six weeks, the engineered blood stem cells developed into a large population of mature, melanoma-specific T-cells that were able to target the right cancer cells.

The mice were then implanted with two types of melanoma tumors, one that expressed the antigen complex that attracts the engineered T-cells and one that did not. The engineered cells specifically went after the antigen-expressing melanoma, leaving the control tumor alone, Zack said.

The study included nine mice. In four animals, the antigen-expressing melanomas were completely eliminated, while in the other five, these melanomas decreased in size, Zack said -- an impressive finding.

L'étude a inclus 9 souris. dans 4 animal, les mélanome exprimant l'antigène ont été complètement éliminés, pendant que dans les 5 autres les mélanomes ont dimiinué en grosseur.

Response was assessed not only by measuring physical tumor size but by monitoring the cancer's metabolic activity using positron emission tomography (PET), which measures how much energy the cancer is "eating" to drive its growth.

"We were very happy to see that four tumors were completely gone and the rest had regressed, both by measuring their size and actually seeing their metabolic activity through PET," Zack said.

This approach to immune system engineering has intriguing implications, Zack said. T-cells can be engineered to fight disease, but their function is not long-lasting in most cases, and more engineered T-cells ultimately are needed to sustain a response. This new approach engineers the cells that give rise to the T-cells so that "fresh" cancer-killing cells could be generated when needed, perhaps protecting against cancer recurrence later.

Going forward, the team would like to test this approach in clinical trials. One possible approach would be to engineer both the peripheral T-cells and the blood stem cells that give rise to T-cells. The peripheral T-cells would serve as the front-line cancer fighters, while the blood stem cells are creating a second wave of warriors to take up the battle as the front line T-cells are losing function.

L'équipe aimerait tester l'approche dans des tests cliniques.

Zack said he hopes this engineered immunity approach will translate to other cancers as well, including breast and prostate cancers.

Zack espère que cette approche pourra servir pour d'autres acancers comme le cancer du Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 307163 et celui de la Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 307098
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MessageSujet: Re: Efforts pour vaincre le mélanome.   Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 Icon_minitimeMar 22 Fév 2011 - 9:53

Le mélanome, ou cancer de la peau, peut être facilement traité par la chirurgie quand il est localisé et sans métastase. Mais à un stade plus avancé, il provoque 1.500 décès chaque année en France (sur 8.000 nouveaux cas) liés à l'impossibilité de traiter en profondeur une fois que la tumeur a franchi l'épiderme. Deux nouveaux traitements, qui s'annoncent prometteurs, viennent d'être publiés dans le prestigieux New England Journal of Medicine. « L'année 2010 a été charnière pour ces cancers à un stade avancé dont le pronostic est sombre, faute de traitement efficace », se réjouit le Dr Sophie Tartare-Deckert, chercheur à l'unité Inserm 895 du CHU de Nice.

Les premiers pas d'une thérapie « ciblée »
Chez plus de la moitié (60 %) des patients souffrant de mélanome (plutôt ceux qui ont pris de forts coups de soleil pendant l'enfance), on a pu identifier une transformation d'un de leurs gènes. Cette mutation leur fait produire une protéine (dite « kinase ») constitutivement active, autrement dit qui agit en permanence et ne rencontrant aucun frein, et entraîne une transformation du mélanocyte qui prolifère alors. Le laboratoire français Roche a trouvé un inhibiteur de cette protéine kinase, capable de réguler son activité sans toucher aux cellules saines. Les résultats de l'essai de phase I, pratiqués sur des patients à un stade très avancé de cette maladie à fort potentiel métastatique, sont impressionnants : après dix jours de traitement, 80 % réagissent avec une réduction au scanner du volume des métastases sur tous les organes (poumons et os notamment). Les premières données de la phase II aux Etats-Unis semblent conforter ces bonnes nouvelles et, d'ores et déjà, certains centres experts en France proposent cette thérapie ciblée dans le cadre d'essais thérapeutiques (comme c'est l'usage pour un nouveau médicament) sur des patients sérieusement atteints dont la maladie est très avancée et qui ont reçu auparavant plusieurs autres molécules.

Un « médicament biologique » bientôt disponible ?
Deuxième voie de traitement, beaucoup plus avancée, celle de l'immunothérapie. « Une cellule cancéreuse a la propriété de se rendre invisible au système immunitaire de son hôte et, ainsi, de proliférer masquée », décrit le Dr Tartare-Deckert. En périphérie du mélanome, des lymphocytes du système immunitaire, sous influence des cellules tumorales, expriment des molécules (CTLA4) qui les rendent inopérants. L'objectif, avec ce nouveau médicament l'ipilimumab, de Bristol Myers Squibb, un anticorps monoclonal dirigé spécifiquement contre ces CTLA4, est de rendre leur efficacité aux lymphocytes voisins de la tumeur qui, alors, la reconnaissent et font leur travail, autrement dit l'éliminent.

Les effets de ce médicament, actuellement en phase III d'essai (proche d'une « autorisation de mise sur le marché ») sont étonnants eux aussi : « On observe une stabilisation de la maladie et, surtout, une augmentation significative de la survie des patients, ce qui n'avait jamais été démontré dans le passé avec aucune molécule », explique le Dr Tartare-Deckert. Le gain est certes modeste (six mois) mais, pour ces patients dont le pronostic vital était très sombre, il s'agit d'une belle avancée. L'anticorps monoclonal est testé également en France.

ooo

Quatre raisons de se méfier
Pour une tumeur de la peau de moins de 1 mm, le risque de métastase est minime. Voici néanmoins quatre raisons de se méfier :
> Une peau claire, de roux ou de blond, et plus encore si elle est parsemée de taches de rousseur et de grains de beauté (s'ils sont nombreux et/ou de grande taille, le risque est multiplié par quatre ou cinq).
> Les coups de soleil de l'enfance et de l'adolescence, à l'origine des deux tiers des mélanomes.
> Une lésion nouvelle. Six fois sur dix, les mélanomes surgissent de nulle part, sans grain de beauté « mutant » pour point de départ.
> Un grain de beauté qui se transforme. Cinq critères sont à surveiller (ABCDE).

Les alertes ABCDE
Voici les cinq critères de surveillance des grains de beauté, ABCDE pour simplifier :
> A comme Asymétrie (les deux moitiés du grain de beauté sont différentes).
> B comme Bords irréguliers (festonnés).
> C comme Couleur non homogène (de différentes couleurs, noir, marron, rosé, etc.).
> D comme Diamètre (de plus de 6 mm).
> E comme Evolution (cette tache pigmentée change rapidement d'aspect, de taille, de relief et de couleur).


Bronzette : La bonne dose de soleil
Le soleil, cinq à quinze minutes par jour (selon la qualité de la peau) sur 20 % de la surface corporelle, de mai à septembre, entre 10 et 15 heures, permet de synthétiser près de 80 % de notre stock de vitamine D, indispensable à de nombreux organes et aux os. Précautions : pas d'exposition prolongée entre 12 et 16 heures, tee-shirt, chapeau, lunettes de soleil et crème solaire d'indice élevé (qui protège juste des effets délétères des UV A et B pendant un temps déterminé, à condition d'être convenablement et régulièrement appliquée).

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Denis
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MessageSujet: Re: Efforts pour vaincre le mélanome.   Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 Icon_minitimeDim 6 Fév 2011 - 14:18

(Feb. 5, 2011) — An unexpected immune protein exacerbates cancer due to sun exposure, report researchers in the January 27th issue of Nature. The study suggests that drugs blocking the protein might halt tumor growth in skin cancer patients.

Une protèine exacerbe le cancer du à l'exposition au soleil. L'étude suggère que des médicaments bloquant cette protéine arrêteraient la croissance du cancer de la Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 307276

Cutaneous melanoma, an aggressive form of skin cancer, appears to be on the rise. And mortality rates from this difficult-to-treat disease are some of the highest in cancer. Severe sunburns at an early age raise a person's risk of cutaneous melanoma, but the way in which those burns lead to cancer has remained elusive.


Le mélanome de la peau, une forme agressive du cancer est de plus en plus fréquent. Le taux de mortalité est parmi les plus élevés des cancers. Un coup de soleil en bas âge rend la personne à risque d'avoir un cancer de la peau mais la façon dont ces coups de soleil devenaient cancers restaient inconnue.

In order to discover new ways of treating melanoma, Edward De Fabo, a research professor of in the department of Microbiology, Immunology, and Tropical Medicine at George Washington University Medical Center in Washington, D.C. and a co-corresponding author on the current paper, has been examining the pathway between ultraviolet (UV) rays and melanoma for over a decade. "We ultimately want to figure out what goes wrong so that we can fix it," De Fabo says.

Un chercheur a examiné pendant une dixaine d'années comment le rayon ultraviolet arrivait à développer le cancer. "Nous voulions trouver ce qui clochait pour pouvoir agir."

In 2004, he and his collaborators confirmed suspicions that UV-B radiation, as opposed to UV-A, triggered melanoma. And in the current Nature study, they find that UV-B causes white blood cells called macrophages to migrate higher in the skin of mice and release an immune protein, interferon-ÿ. Instead of protecting the body like most interferon proteins do, interferon-ÿ allowed tumors to grow by preventing the body's natural immune response.

Les chercheurs ont découvert que les rayons UV-B faisaient que les cellules blanches, appelées macrophages, migraient vers le dessus de la peau et relâchaient une protéine nommée interféron-y . Au lieu de protéger le corps comme les interférons font , l'interféron-y permet au cancer de croitre en arrêtant les défenses naturelles.

"We didn't expect to see interferon-ÿ aiding the tumor, instead of killing cancerous cells," De Fabo says. Interferons, named for the way they interfere with viruses, are traditionally thought to fight tumors. In fact, skin cancer is occasionally treated with another type of interferon, interferon-ÿ, but with limited success.

In exposing an unforeseen dark-side of these immune proteins, the report points to a new direction in drug development. Blocking interferon-ÿ prevented melanoma cancerous skin cells from growing into tumors in mice. A drug that intercepts interferon-ÿ, or its effects, might therefore be used to treat melanoma patients. Indeed, the team found that 70% of cancerous cells from melanoma patients contained high levels of the interferon-ÿ protein.

De Fabo and his colleagues made their discovery thanks to a new set of tools, which will aid melanoma researchers for years to come.

At George Washington University, De Fabo developed a high-tech UV radiation device able to shine a precise UV-A or UV-B beam onto several mice simultaneously. Meanwhile, Glenn Marino at the National Cancer Institute in Bethesda, Maryland collaborated with GW researcher Frances Noonan, to engineer mice that could develop the type of melanoma people have, in which cancerous skin cells, or melanoctes, occur near the epidermis. Together, with Raza Zaidi from Merlino's lab, the team made melanocytes glow by labeling them with a green fluorescent protein, so that the hidden cells could be readily extracted from the mice for further experimentation. De Fabo and Noonan's work was supported in part by the National Cancer Institute at the U.S. National Institutes for Health and the Melanoma Research Foundation.

"One real highlight of this study is our unique methodology, both in UV radiation technology and the creation of a mouse melanoma model that resulted from a really neat collaboration," De Fabo says. "These wonderful tools will help melanocyte biology --and hence melanoma studies -- hugely."
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agathe

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MessageSujet: Re: Efforts pour vaincre le mélanome.   Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 Icon_minitimeVen 19 Nov 2010 - 0:27

Bonne nouvelle !
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Denis
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MessageSujet: Re: Efforts pour vaincre le mélanome.   Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 Icon_minitimeJeu 18 Nov 2010 - 21:00

(Nov. 18, 2010) — A potent anti-tumor gene introduced into mice with metastatic melanoma has resulted in permanent immune reconfiguration and produced a complete remission of their cancer, according to an article to be published in the December 2010 issue of the Journal of Clinical Investigation.

Un puissant gène anti-tumeur introduit dans des souris avec le cancer de la Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 307276 a résulté en reconfiguration permanente du système immunitaire et a produit des rémissions complètes des cancers chez les souris

Indiana University School of Medicine researchers used a modified lentivirus to introduce a potent anti-melanoma T cell receptor gene into the hematopoietic stem cells of mice. Hematopoietic stem cells are the bone marrow cells that produce all blood and immune system cells.

Les chercheur sont utilisés un lentivirus modifié pour introduire le gène récepteur de cellule T anti-mélanome dans les cellules souches hematopoitic des souris. CEs cellules souches hématopoitiques sont les cellules de la moelle épinières qui produisent tout le sang et les cellules du système immunitaires.

The T cell gene, which recognizes a specific protein found on the surface of melanoma, was isolated and cloned from a patient with melanoma. The gene-modified stems cells were then transplanted back into hosts and found to eradicate metastatic melanoma for the lifetime of the mice.

Le gène de cellules T qui reconnait une protéine spécifique trouvé à la surface du mélanome a été isolé et cloné d'un patient avec le mélanome. Le gène de cellule souche modifié fut retransplanté dans les souris et a éradiqué le mélanome pour la vie de la souris.


"We found that the transplantation of gene-modified hematopoietic stem cells results in a new host immune system and the complete elimination of tumor," reported Christopher E. Touloukian, M.D., an assistant professor of surgery and immunology at the IU School of Medicine and a member of the Indiana University Melvin and Bren Simon Cancer Center. "To date, cancer immunotherapies have been hampered by limited and diminishing immune responses over time. We believe this type of translational model opens new doors for patients with melanoma and potentially other cancers by taking advantage of the potent regenerative capacity of hematopoietic stem cells and new advances in gene therapy."

Ce type de transplantation ouvre de nouvelles voix pour les thérapie du mélanome et de d'autres cancers.

This research was funded by a National Institutes of Health grant.

It has paved the way for a new clinical trial in humans funded by the V Foundation for Cancer Research. The pilot phase I trial will involve treatment of 12 patients and focus primarily on the safety and efficacy of the therapy, said Dr. Touloukian, who is the senior author on the JCI paper and the principal investigator for the clinical study. The clinical trial is expected to begin accruing patients by late 2011.

Des essais sur les humains commenceront à recruter des patients fin 2011.

In 2010, more than 68,000 patients will be diagnosed with melanoma and the disease will be associated with approximately 9,000 deaths. The state of Indiana has the 11th highest rate of melanoma incidence of all 50 states. Current treatments for metastatic melanoma, though exciting and innovative, have been highly toxic and largely unsuccessful with the most patients dying within 6 to 12 months after diagnosis.


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Denis
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MessageSujet: Efforts pour vaincre le mélanome.   Efforts pour vaincre le mélanome. - Page 2 Icon_minitimeJeu 31 Jan 2008 - 15:33

(Jan. 31, 2008) — It's increasingly believed among scientists that nearly every cancer contains small populations of highly dangerous cells--cancer stem cell--that can initiate a cancer, drive its progression, and create endless copies of themselves. On the theory that targeting these cells might be an effective therapeutic strategy, researchers around the world have begun isolating stem cells from various kinds of cancers. Now, for the first time, researchers at Children's Hospital Boston and Brigham and Women's Hospital (BWH) have found a strategy that selectively targets cancer stem cells for destruction, successfully halting one of the deadliest cancers--melanoma--in mice.

C'est de plus en plus l'avis des scientifiques que quasiment chaque cancer contient un petit nombre de cellules souches qui sont très dangeureuses. Elles initient le cancer, gère sa progression et créent d'infinies copoies d'elles-mêmes. Suivant la théorie que cibler ces cellules pourrait être une thérapie efficace, les chercheurs à travers le monde ont commencé à isoler des cellules souches d'une variété de cancers. Maintenant, pour la première fois, les chercheurs ont trouvé une stratégie qui cible sélectivement les cellules souches cancéreuses pour les détruire et ils ont arrêté le mélanome chez les souris.


Dernière édition par Denis le Ven 8 Mar 2019 - 17:26, édité 13 fois
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