Réunion du 8 novembre

Un grand hommage à Marie Uguay se prépare dans le cadre de l'exposition Le canal de Lachine 1825-2005 - La part des femmes. Rencontre avec Stéphan Kovacs, titulaire de l'œuvre de la poète.

Citation :

"Je suis certain que Marie serait très contente de voir que son œuvre circule ainsi encore aujourd'hui, et qu'elle serait très touchée par ce genre d'initiative." Premier lecteur des textes de Marie Uguay, Stéphan Kovacs fit la connaissance de la poète à l'université, en 1975. Il partagea la vie de celle qui est née sous le nom de Marie Lalonde en 1955 (Uguay fait écho à son grand-père) jusqu'à sa mort, en 1981, dans un petit appartement du quartier populaire de Ville-Émard. C'est précisément dans ce quartier, à la Maison de la culture Marie-Uguay, que la Société de promotion du canal Lachine a décidé d'honorer la poète, ainsi que 47 autres femmes par le biais de différentes activités.

@#@ @#@ @#@


FRANÇOIS BARCELO

Oeuvre réumé : J'enterre mon lapin.

Auteur québécois, François Barcelo faisait du roman noir sans vraiment le vouloir.
Adepte de l'humour grinçant, chroniqueur des familles dysfonctionnelles, Barcelo finit par identifier lui-même sa tendance au roman noir.
Après une série de romans publiés au Canada, il s'adressa à la Série Noire de Gallimard qui publia avec succès deux de ses romans en France "Cadavres" et "Moi, les parapluies" .
Un troisième sortira en cette fin 2000:
"Chiens sales".
Découvertes pour le lecteur européen, son humour noir et son écriture précise font merveilles.

@#@ @#@ @#@


Né à Grand-Mère en 1959, Louis Hamelin poursuit d’abord des études en biologie de l’environnement à l’Université McGill où il obtient un baccalauréat en sciences de l’agriculture en 1983. Il obtient ensuite une maîtrise en études littéraires à l’UQAM en 1990. C’est à partir de ce moment qu’il se consacre à l’écriture.

Chroniqueur littéraire au Devoir et à Ici Montréal, les textes parus dans cet hebdomadaire se retrouvent publiés en 1999 aux Éditions du Boréal, sous le titre Le Voyage en pot.

Ainsi, depuis les début des années 90, il a collaboré à une quinzaine de revues et de journaux, participé à de nombreuses rencontres et événements culturels, et à des lectures publiques, tout en publiant neuf livres, soutenu par le Conseil des Arts du Canada et le Conseil des Arts et Lettres du Québec. Critiques et public s’accordent aujourd’hui à dire que Louis Hamelin occupe une place de choix dans l’univers littéraire québécois.
On a parlé de ce livre :

Citation :

Betsi Larousse (Éd. XYZ, 1994): "J'essayais de parler du sens de la réalité des choses dans un monde de plus en plus , où l'on a tendance à perdre contact avec les choses réelles. C'est pourquoi il y a un sculpteur, proche des choses, de la matière, qui vit dans un monde diamétralement opposé à celui de la starlette. Pour moi, ce roman représentait une rupture dans le style. Il me semble en tout cas que l'écriture avait changé, et c'est peut-être mon livre le plus près de ma voix intérieure, si une telle chose existe!"

@#@ @#@ @#@



La dernière leçon

de : Mitch Albom
Editeur : Robert Laffont

Un homme à qui tout a réussi dans la vie retrouve son vieux professeur qui attend la mort avec philosophie. Il retournera le voir chaque mardi pendant de longs mois, pour chercher avec lui la réponse à cette question qui nous hante tous : comment vivre ? Et la réponse sera simple, lumineuse, profondément humaine - aux antipodes de tous les discours convenus. Marie de Hennezel, auteur de La Mort intime, a eu un coup de cœur pour cette belle histoire, simple et profonde, qu'elle a tenu à présenter au public français. Une émotion pleine d'humour qui évoque certaines pages du Scaphandre et le papillon.

@#@ @#@ @#@



On a parlé d'un texte d'Hélène Pednault sur le meutre de Polytechnique ce qui a suscité une certaine polémique.

@#@ @#@ @#@

Les fables du colporteur
Robert Brisebois
[Fiction]

L'auteur nous propose une série de petites histoires(fables) qui contiennent toutes un messages plus ou moins facile à décoder. Ce qui est original c'est qu'il laisse au lecteur le soin de trouver la morale. La complicité d'un ami l'aide dans ce jeu littéraire.



@#@ @#@ @#@

Carol Shields


Après avoir remporté le prix Pulitzer aux Etats-Unis, La mémoire des pierres a conquis la rédaction de Lire, qui l'a élue «meilleur livre de l'année» en 1995. Troisième titre de la Canadienne Carol Shields à paraître en français, ce roman est un véritable enchantement réunissant des personnages authentiques et une histoire riche en rebondissements. Mercy Stone attend tranquillement son mari en préparant un pudding aux groseilles, lorsqu'elle est soudain prise d'un malaise. Que lui arrive-t-il? Elle accouche, sans même s'être aperçue qu'elle était enceinte! Mais l'événement tourne mal, et elle meurt en donnant naissance à la petite Daisy. Toute l'existence de Daisy se déroulera sous les doubles auspices de la mort et de l'amour. Et il nous est impossible de rester insensible à cette héroïne qui, jusqu'à son dernier jour, tentera désespérément de guérir du drame de sa naissance.




auteure canadienne lauréate du prix Pulitzer. Mme Shields est décédée du cancer le 16 juillet 2003, à l’âge de 68 ans.
1 Bonté (2003)
2 La République de l’amour (1993)
3 Swann (1992)
4 La Mémoire des pierres (1995)
5 Une soirée chez Larry (1997)


@#@ @#@ @#@

Michel houellebecq

http://www.houellebecq.info/

Plateforme :

Citation :

Citations:

"...la souffrance spécifique qui s'attache au fait d'être artiste: cette incapacité à <être vraiment heureuse ou malheureuse; à ressentir vraiment la haine, le désespoir, l'exultation ou l'amour; cette espèce de filtre esthétique qui s'imposait, sans rémission possible, entre l'artiste et le monde."
"Je n'aurais jamais pensé que je trouverais, un jour dans ma vie, du plaisir à faire la cuisine. L'amour sanctifie."
" Vivre sans lecture, c'est dangereux, il faut se contenter de la vie, ça peut amener à prendre des risques."
"On peut habiter le monde sans le comprendre, il suffit de pouvoir en obtenir de la nourriture, des caresses et de l'amour." "Et si je n'ai pas compris l'amour, à quoi me sert d'avoir compris le reste ? «