Mangez des légumes verts et des noix, ils réduisent le risque de cancer du pancréas.

On savait déjà que les noix étaient excellentes pour la bonne santé cadio-vasculaire mais, selon une étude menée par une équipe de chercheurs de l’université du Connecticut et du Jackson Laboratory for Genomic Medicine, aux États-Unis, manger régulièrement des noix permettrait aussi de réduire les risques de développer un cancer du . En France, le cancer colorectal se situe au troisième rang des cancers les plus fréquents : le deuxième chez les femmes et le troisième chez les hommes. Il est responsable de la mort de 17 500 Français chaque année. Or, selon une étude publiée dans la revue spécialisée Cancer Prevention Research, 30 grammes de noix par jour, à partir de 50 ans, se révélerait efficace en guise de prévention, en particulier chez les hommes.

Pour parvenir à ces conclusions, les chercheurs ont constitué deux groupes de souris. Le premier groupe recevait une ration de nourriture classique, le second des noix à hauteur de 7 à 10,5 % de son apport calorique quotidien. Résultats : les rats mâles qui avaient mangé des noix avaient deux à trois fois moins de risque de développer un polype adénomateux, la tumeur à l’origine du cancer du côlon. Selon les chercheurs, c’est la teneur des noix en acides gras polyinsaturés, notamment en omega-3 et en omega-6, et en vitamine E, qui favoriserait un équilibre de la flore intestinale.

« En quelque sorte, on pourrait dire que les noix agissent comme des probiotiques » ont avancé les auteurs de l’étude. « Cette hypothèse est spécifiquement valable chez les souris de sexe masculin ; en revanche, nous n'avons pas constaté de différences significatives au niveau de la flore intestinale chez les souris de sexe féminin ».

Article rédigé par Georges Simmonds pour RT Flash

La très grande majorité des cancers du pancréas sont incurables et la prévention demeure la seule approche valable pour lutter contre cette maladie. En ce sens, des résultats récents indiquent que le simple fait de consommer régulièrement des noix pourrait réduire significativement le risque d’être touché par ce cancer mortel.

"je croque une petite pilule de vitamine D le matin avec une petite gorgée d'huile d'olive parce que quelqu'un m'a dit que c'était mieux comme ça"

merci; je découvre dans tes mots, Denis, que la vit. D est vendue en comprimés?? en effet, la vit D c'est une des vitamines liposolubles... d'où l'huile d'olives?
ici, on l'a uniquement en solution buvable, donc en ampoules (j'en fais une cure sur plusieurs mois car je suis très carencée) - c'est une seule grosse prise par mois, ce que je trouve un peu débile mais je suppose que c'est lié à la façon de rembourser les boîtes de médicaments en France (juste une hypothèse)
cette carence n'a pas inquiété mon médecin car les études sur les liens "vitamine D et cancer" sont controversées...

est-ce que vous avez des études sur l'argile verte?
ici les médecins avec qui j'ai pu en parler m'ont envoyée balader car il n'y a pas d'études scientifiques sur les remèdes traditionnels.

désolée de la digression... et du mélange dans les fils...

Je ne savais pas qu'il y avait du thé de melon amer. Tu en as prêt de chez toi du thé au melon amer ou tu fais venir par internet ?

C'est bon à savoir ça pour la prévention, à force de lire sur les maladies, on dirait que je les ai toutes

Celle qui m'a fait le plus peur, c'est le chordome parce qu'un moment, j'avais du mal à m'assoir, je mettais ça sur le compte des traitements de mon cancer et c'était ça aussi mais à ce moment-là, des gens sur le forum parlait de ce cancer et j'avais fini par aller voir un médecin qui m'avait envoyé passé une radiographie, mes os étaient maganés mais j'avais pas de cancer. J'avais mentionné le mot "chordome" au médecin qui ne connaissait pas ça. C'est un cancer rare et c'est rare que tu vas donner un nom de maladie à un médecin qu'il ne connait pas.

Autrement j'essaye de marcher plus et on dirait que ça m'aide pour les os, c'est l'infirmière au 811 qui m'a conseillé ça, un soir ou ça faisait particulièrement mal. Je marche et je croque une petite pilule de vitamine D le matin avec une petite gorgée d'huile d'olive parce que quelqu'un m'a dit que c'était mieux comme ça.

Merci Denis concernant cette info

Pour ma part je consomme des flavonoides dans mon alimentation déja comme probablement bien des gens ici qui ont cette satané maladie du crabe.
C'est la deuxième fois que j'écris le même texte car mon portable m'avait délaissé dans sa stupidité de me faire chier en reculant d'une page ....j'y ai foutu une bonne baffe en guise de remerciement.
Bon je continue en disant que j'ai consommé du melon amer assez longtemps durant plusieurs mois, mais que maintenant je consomme que du thé de melon amer à tout les jours car le déplacement à Montréal pour allé cherché ce légumes commencait à m'exaspéré.
Je boit aussi à tout les jours près de l'argile verte et un supplément de vitamines D, car l'argile est un guérissant naturel comme par exemple un animal blessé dans le bois ira d'instinc vers se produit en le buvant ou en se roulant dedans dépendamment ou est sa blessure.
Mère nature nous en fournit en abondance et c'est également très riches en minéraux...voilà mon speech est fini merci !"

 

Aug. 15, 2013 — Celery, artichokes, and herbs, especially Mexican oregano, all contain apigenin and luteolin, flavonoids that kill human pancreatic cancer cells in the lab by inhibiting an important enzyme, according to two new University of Illinois studies.


"Apigenin alone induced cell death in two aggressive human pancreatic cancer cell lines. But we received the best results when we pre-treated cancer cells with apigenin for 24 hours, then applied the chemotherapeutic drug gemcitabine for 36 hours," said Elvira de Mejia, a U of I professor of food chemistry and food toxicology.

The trick seemed to be using the flavonoids as a pre-treatment instead of applying them and the chemotherapeutic drug simultaneously, said Jodee Johnson, a doctoral student in de Mejia's lab who has since graduated.

"Even though the topic is still controversial, our study indicated that taking antioxidant supplements on the same day as chemotherapeutic drugs may negate the effect of those drugs," she said.

"That happens because flavonoids can act as antioxidants. One of the ways that chemotherapeutic drugs kill cells is based on their pro-oxidant activity, meaning that flavonoids and chemotherapeutic drugs may compete with each other when they're introduced at the same time," she explained.

Pancreatic cancer is a very aggressive cancer, and there are few early symptoms, meaning that the disease is often not found before it has spread. Ultimately the goal is to develop a cure, but prolonging the lives of patients would be a significant development, Johnson added.

It is the fourth leading cause of cancer-related deaths, with a five-year survival rate of only 6 percent, she said.

The scientists found that apigenin inhibited an enzyme called glycogen synthase kinase-3β (GSK-3β), which led to a decrease in the production of anti-apoptotic genes in the pancreatic cancer cells. Apoptosis means that the cancer cell self-destructs because its DNA has been damaged.

In one of the cancer cell lines, the percentage of cells undergoing apoptosis went from 8.4 percent in cells that had not been treated with the flavonoid to 43.8 percent in cells that had been treated with a 50-micromolar dose. In this case, no chemotherapy drug had been added.

Treatment with the flavonoid also modified gene expression. "Certain genes associated with pro-inflammatory cytokines were highly upregulated," de Mejia said.

According to Johnson, the scientists' in vitro study in Molecular Nutrition and Food Research is the first to show that apigenin treatment can lead to an increase in interleukin 17s in pancreatic cells, showing its potential relevance in anti-pancreatic cancer activity.

Pancreatic cancer patients would probably not be able to eat enough flavonoid-rich foods to raise blood plasma levels of the flavonoid to an effective level. But scientists could design drugs that would achieve those concentrations, de Mejia said.

And prevention of this frightening disease is another story. "If you eat a lot of fruits and vegetables throughout your life, you'll have chronic exposure to these bioactive flavonoids, which would certainly help to reduce the risk of cancer," she noted.
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15 août 2013 - Le céleri, les artichauts, et les herbes, l'origan mexicaine surtout, contiennent tous de l'apigénine et de lutéoline, les flavonoïdes qui tuent les cellules cancéreuses pancréatiques humaines dans le laboratoire en inhibant une enzyme importante, selon deux nouvelles études de l'Université de l'Illinois.

"L'apigénine seule induit la mort cellulaire dans deux lignées de cellules cancéreuses pancréatiques humaines agressives. Mais nous avons reçu les meilleurs résultats lorsque nous avons pré-traité les cellules cancéreuses avec l'apigénine pendant 24 heures, puis appliquer la gemcitabine, le médicament chimiothérapeutique, pendant 36 heures", a déclaré Elvira de Mejia, professeur de chimie alimentaire et toxicologie alimentaire.

L'astuce semble être en utilisant les flavonoïdes comme un pré-traitement au lieu de l'appliquer simultanément avec le médicament chimiothérapeutique, a déclaré Jodee Johnson, un étudiant au doctorat dans le laboratoire de de Mejia.

«Même si le sujet est encore controversé, notre étude a montré que la prise de suppléments d'antioxydants, le même jour que les médicaments chimiothérapeutiques peut nier l'effet de ces médicaments", dit-elle.

"Cela arrive parce que les flavonoïdes peuvent agir comme des antioxydants. L'un des moyens que les médicaments chimiothérapeutiques tuent les cellules est basée sur leur activité pro-oxydant, ce qui signifie que les flavonoïdes et les médicaments chimiothérapeutiques peuvent rivaliser les uns avec les autres quand ils sont introduits dans le même temps," at-elle expliqué.

Le cancer du pancréas est un cancer très agressif, et il y a peu de symptômes précoces, ce qui signifie que la maladie n'est souvent pas trouvé avant elle soit étendue. Le but ultime est de développer un remède, mais prolonger la vie des patients serait un développement important, Johnson ajouté.

Il est la quatrième cause de décès liés au cancer, avec un taux de survie à cinq ans de seulement 6 pour cent, dit-elle.

Les scientifiques ont constaté que l'apigénine inhibe une enzyme appelée glycogène synthase kinase-3β (GSK-3β), qui a conduit à une diminution de la production de gènes anti-apoptotiques dans les cellules du cancer du pancréas. Signifie que l'apoptose de la cellule cancéreuse d'auto-détruit en raison de son ADN endommagé.

Dans l'une des lignées de cellules cancéreuses, le pourcentage de cellules en apoptose est passé de 8,4 pour cent dans les cellules qui n'ont pas été traitées avec le flavonoïde à 43,8 pour cent dans les cellules qui avaient été traités avec une dose de 50 micromoles. Dans ce cas, aucun médicament de chimiothérapie a été ajouté.

Le traitement par le flavonoïde également l'expression du gène modifié. "Certains gènes associés à des cytokines pro-inflammatoires ont été fortement régulés à la hausse", a déclaré de Mejia.

Selon Johnson, l'étude est la première à montrer que le traitement de l'apigénine peut conduire à une augmentation de l'interleukine 17s dans les cellules pancréatiques, montrant son importance potentielle dans l'activité anti-cancer du pancréas.

Les patients atteints de cancer du ne seraient probablement pas en mesure de manger suffisamment d'aliments riches en flavonoïdes pour augmenter les niveaux de plasma sanguin de la flavonoïde à un niveau efficace. Mais les scientifiques pourraient concevoir des médicaments qui permettraient d'atteindre ces concentrations, selon de Mejia .

Et la prévention de cette maladie, c'est une autre histoire. «Si vous mangez beaucoup de fruits et légumes tout au long de votre vie, vous aurez une exposition chronique à ces flavonoïdes bioactifs, ce qui aiderait certainement à réduire le risque de cancer,» at-elle noté.

Mar. 12, 2013 — A University of Colorado Cancer study published this week in the journal Carcinogenesis shows that bitter melon juice restricts the ability of pancreatic cancer cells to metabolize glucose, thus cutting the cells' energy source and eventually killing them.

Une étude montre que le jus de melon amer diminuye la capacité des cellules du cancer du de métaboliser le glucose et finit par les tuer.

"Three years ago researchers showed the effect of bitter melon extract on breast cancer cells only in a Petri dish. This study goes much, much farther. We used the juice -- people especially in Asian countries are already consuming it in quantity. We show that it affects the glucose metabolism pathway to restrict energy and kill pancreatic cancer cells," says Rajesh Agarwal, PhD, co-program leader of Cancer Prevention and Control at the CU Cancer Center and professor at the Skaggs School of Pharmacy and Pharmaceutical Sciences.

voici 3 ans des chercheurs avaient démontré l'effet du melon amer sur les cellules de cancer du en laboratoire. Cette étude va plus loin, beaucoup plus loin, Nous utilisons le jus que des gens consomment en grande quantité dans certains pays d'Asie, Nous montrons que cela affecte la métabolisation du glucose, que ça restreint l'énergie et que ça tue les cellules du cancer pancréatiques .

Agarwal's interest came from connecting the dots of existing research in a novel way. Diabetes tends to presage pancreatic cancer and bitter melon has been shown to effect type-II diabetes, and has been used for centuries against diabetes in the folk medicines of China and India. Following this line of thinking, Agarwal and colleagues wondered what would happen if they closed out the middle man of diabetes and directly explored the link between bitter melon and pancreatic cancer.

The result, Agarwal says, is, "Alteration in metabolic events in pancreatic cancer cells and an activation of the AMP-activated protein kinase, an enzyme that indicates low energy levels in the cells."

Perhaps not coincidentally, bitter melon also regulates insulin secretion by pancreatic beta cells. After studies in cell cultures, the group showed that mouse models of pancreatic cancer that were fed bitter melon juice were 60 percent less likely to develop the disease than controls.

"It's a very exciting finding," Agarwal says. "Many researchers are engineering new drugs to target cancer cells' ability to supply themselves with energy, and here we have a naturally-occurring compound that may do just that."

The Agarwal Lab is now applying for grants that will allow them to move the study of bitter melon into further chemoprevention trials in mouse models of pancreatic cancer.

D’autres recherches ont démontré les effets bénéfiques de la vitamine D sur les cancers du sein, du côlon et du .

tiré de protégez-vous.ca du mois de janvier 2013

Je prends cette information d'un quidam sur le forum de Radio-Canada aussi elle n'a peut-être aucune base scientifique :

Citation :

il a été prouvé qu'il existe des plantes qui permettent de réduire les effets indésirables, c'est le cas notamment du gingembre ou encore du curcuma. Ce dernier a d'ailleurs comme faculté d'augmenter la chimiosensibilité du Gemzar sur l'adénocarcinome pancréatique, et de faire baisser potentiellement le taux de glycémie.

Mais je l'ai mis quand même parce que ça ne peut pas être nuisible, même s'il n'y avait aucune base scientifique, ça agit au moins comme un placebo. J'en ai ingurgité pas mal et je continue et peut-être que ça ne passe pas la barrière digestive qui dégrade les aliments mais j'ai l'impression d'aider ma santé et ça ça me fait du bien.

(July 23, 2012) — Increasing dietary intake of the antioxidant vitamins C, E, and selenium could help cut the risk of developing pancreatic cancer by up to two thirds, suggests research published online in the journal Gut.


Une augmentation de vitamines antioxidantes comme la vitamine C, E et du selenium pourrait aider à couper le risque de développer le cancer du de deux tiers suggère une recherche.

Une consommation abondante de folate d’origine alimentaire, principalement retrouvé dans les légumes verts, est associée à une spectaculaire réduction de 75 % du risque d’être touché par un cancer du pancréas.